Ah ! Je commence à saisir de quoi il s’agit, dit Lady C.
Oui, une sex-machine… L’une des meilleures du marché… Je l’ai améliorée à partir d’une base classique.
J’en mouille déjà… Hum… Mr Tambourine Man m’a gâtée encore. Il veille à mon plaisir. C’est un bonheur.
Il n’est pas là ? interroge le jeune concepteur…
Non. J’entends des gémissements là-bas, je pense qu’il fait jouir de sa langue ou de sa bite une belle invitée.
Vous souhaitez essayer la machine, Milady ?
Oh oui ! Bien sûr ! Pourquoi pas ?
Je vous en prie…
Lady C. s’allonge sur le confortable matelas de mousse tendre. Le jeune homme lui attache les poignets sur le côté, lui ouvre les cuisses déjà mouillées de désir, entrave ses echevilles, rabat sur sa poitrine une sorte de capot épais et pointe le gode mécanique entre les nymphes épanouies et ouvertes, ruisselantes. Elle ressent comme une certaine angoisse que le jeune homme perçoit.
Ne vous inquiétez pas… Vous allez aimer, j’en suis persuadé…
Oh mon Dieu, je suis à la fois hyper-excitée, vous le voyez… et stressée par cette situation…. Touchez, touchez mon trouble…
L’homme avance la main, touche le clitoris tendu qui frémit…
Lady C. gémit…
Il vous faut essayer la machine, dit l’homme, fort étonné par cette cliente peu ordinaire… Ordre formel de Mr Tambourine Man…
S’il le faut, soupire Lady C. dans un sourire…
Le jeune homme se dirige vers la tablette de bord de la machine… effectue quelques réglages et appuie sur un joy-stick… La machine se met en marche en silence, très souplement, avec une détermination qu’on devine sans faille. C’est cette force aveugle que redoute Lady C. Elle s’attend au meilleur du pire ou au pire du meilleur… Le gode électronique avance très lentement, inexorablement dans le vestibule de la vulve trempée. Millimètre par millimètre. La progession du gland dans le vagin est à la fois tranquille et fait naître une insupportable attente.
Soudain Lady C sent deux irrésistibles ventouses de silicone, aussi douces qu’une bouche experte lui aspirer les tétons dans un mouvement circulaire, très doux, très suave, irrésistible. Elle accueille avec joie cette caresse inédite. La machine est belle et parfaitement réactive. Ainsi un petit jet de lubrifiant vient pallier la sécheresse qui pourrait s’installer dans la vulve ouverte à tous les vents...
Lady C est une chair totalement réceptive, affolée par les sensations., livrée à la lubricité de la diabolique machine…
Le gode est incroyablement mobile, flexible, sa texture, sa chaleur même changent d’instant en instant. Le sexe de Lady C. n’a pas le temps de jouir d’une singularité temporaire que déjà le gode fait naître de nouvelles jouissances. Lady C. ne se laisse pas tout à fait aller, crispée dans l’observation attentive des sensations inouies que le robot fait naître en elle. Le jeune homme en est conscient…
Il appuie sur un interrupteur et soudain près des oreilles de Lady C un flot de mots obscènes, de douceurs dites d’une chaude voix pâle, sussurées, chuchotées, déversées fermement ou avec une infinie tendresse, la font fondre de plaisir liquide… Elle pleure, gémit, crie, ruisselle, tremble comme une feuille, tandis que le gode la transperce inlassablement, irrémédiablement…
Lady C hurle et finit pas jouir dans un monstrueux orgasme qui la laisse anéantie.
La machine s’arrête progressivement. Une mare de secrétions s’est formée dessous, sur le sol de tomettes orangées.
Elle reprend son souffle, elle est pâle, plus pâle que jamais…
On mon Dieu ! Quelle volupté ! Cette machine est infernale !
Le jeune homme sourit. Sa braguette est gonflée.
Je vais vous dire, cependant, je viens de vivre une expérience extraordinaire mais je veux savourer dans ma chatte, là, maintenant, une vraie bonne bite humaine, chaude, maladroite, pourquoi pas ? une verge odorante, une vraie bonne queue de mec qui veut me baiser ! Viens, détache-moi, porte-moi sur ce lit rond couvert de fourrures et mets la moi profond, putain, j’ai envie, baise-moi chéri, défonce-moi !
Le jeune homme ne se fait pas prier mais d’abord il parcourt le corps entravé de Lady C. de baisers onctueux. Il fait pénétrer deux doigts dans la chatte tuméfiée de la jeune femme, en goûte les fragrances délicieuses tandis qu’elle le supplie de la détacher et de la baiser comme une chienne. Lui, la laisse attachée, le temps de se dévêtir intégralement puis il saute sur la couchette, s’agenouille au-dessus du visage de Lady C. et lui enfourne un sexe roide, sec, large dans la bouche. Lady C. aime cette vigueur et avale le chibre en grognant de plaisir.
Elle le repousse.
Ne décharge pas dans ma bouche, s’il te plaît ! Je te veux dans ma chatte…
Il la détache enfin, embrasse ses poignets, ses chevilles un peu meurtries puis la soulève et la couche sur la fourrure du grand lit rond. D’instinct, elle se positionne en levrette. Il fait glisser sa verge dans la raie et la fente débordantes de cyprine puis, d’un coup, sans ménagement, il s’enfonce dans le conduit hypersensible de la femme. Elle hurle, crache, secoue la tête. Son vagin connaît des contractions spasmodiques. Le jeune homme, ravi par la vue du pâle fessier de superbe facture décharge abondamment dans un total abandon.
Ils resteront là, collés l’un à l’autre, dans une sorte de torpeur douce, jusqu’à ce que Mr Tambourine Man, enlaçant d’une main une belle quadragénaire rousse et de l’autre empoignant une bouteille de champagne leur dise :
Mes amis, il faut nous restaurer. J’ai une faim de loup.
Puis se baissant vers Lady C toujours embrochée par la jeune queue et lui baisant la bouche :
Ma machine et son charmant livreur te conviennent-ils ma chérie ?
Oh oui, mon amour ! Comme tu es attentif à mes plaisirs… Et toi ? Cette belle salope rousse t’a-t-elle bien fait jouir ?
Une merveille ! N’est-ce pas, Anne-Marie…
Anne-Marie sourit, glousse et applique une pichenette au sexe de Mr Tambourine Man puis, tendant sa coupe, elle la relève de sorte que le gland de son nouvel amant trempe dans les bulles…
Certains mettent une olive… moi je mets ton gland chéri !
Chacune a sa recette, ma beauté. Tchin.
MD
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