Nous sommes face à face, assis, nus. Tu es ouverte, la jambe repliée sur l’accoudoir de ton fauteuil. Devant toi, je caresse ma bite qui enfle. Nous ne devons pas nous toucher l’un l’autre, juste nous regarder et guetter la première mouillure de l’autre.
Tu passes ta paume sur ta motte, comme pour la débarrasser de miettes. Puis tu caresses ton ventre et une de tes mains enserre ton sein dont tu fais ériger la pointe entre l’index et le majeur. Tu me souris. Un peu provocante. Je te bois des yeux. Tu descends et tu écartes délicatement tes nymphes puis tu caresses l’intérieur de tes cuisses.
Je frotte mon téton gauche et j’empoigne mes couilles de la main droite.
Une goutte de liqueur sourd de mon gland. Tu veux te lever, venir la pourlécher mais je la recueille du doigt et en m’approchant je te la fais goûter. Tu te repais de cette goutte avec délectation. Debout, je regarde vers ta chatte, ta main qui te caresse très suavement. Je veux m’agenouiller pour t’ouvrir.
- Retourne t’asseoir…
Je m’exécute. Tu te lèves, tu te trémousses, toujours la main sur le sexe, tu esquisses une danse, tu te tournes pour me montrer tes fesses, tu te penches même pour exhiber ton cul, puis tu me fais face et tu me fais lécher tes doigts à ton tour.
- Je veux lécher ta bite !
C’est impérieux, sans appel. Tu t’accroupis.
- Suce moi en te fouillant !
Lentement tu ouvres la bouche autour de mon gland, ta langue en titille le méat, un filament de mucus court entre ta lèvre inférieure et le bout de mon gland. Ta langue soulève mon prépuce. Je crie, c’est presque douloureux tant c’est bon. Ton gémissement est étouffé par la queue que tu engloutis. Je vois ta main s’agiter dans ton ventre. Des gouttes de cyprine tombent au sol, sous toi.
- Viens juter sur ma bouche, petite pute !
Tu te relèves. Tu poses mes pieds sur les accoudoirs et, divinement obscène, tu viens coller ta chatte juteuse, gonflée de miels, sur ma bouche, pile poil à ma hauteur même si tu dois un peu fléchir tes jambes..
- Bouffe-moi, bois-moi, fais couler ta salope ! Continue de te branler…
Tu te cambres. Tu cries, ton jus dégouline sur mon menton, sur ma barbe. Tu te frottes et tu décharges en gémissant. Mon nez est plein de tes fragrances. Je me masturbe d’une main de l’autre je te tiens pas une fesse. Tu t’agites sur ma bouche, tu es une fontaine de plaisir qui se répand sur mon torse désormais. Tu t’appuies au dossier du fauteuil et ton clito va et vient sur ma bouche qui te dévore.
- Encule moi de tes doigts !
J’écarte tes fesses, tout en continuant à te gamahucher, titille ton œillet et d’un coup, je le pénètre de façon rectiligne. Un flot de cyprine m’arrive sur le visage. Tu cries, tu danses sur mon doigt qui t’encule, sur ma face que tu inondes.
Soudain tu te détaches, tu ôtes mon doigt et lentement, très lentement, tu viens t’empaler sur ma bite trempée.
Tu hurles. Tu m’enlaces, tu m’étreins avec violence.
- Mes seins, mange mes seins, oh je glisse sur ta bite. Tu me remplis !
- Coule, coule mon ange, viens faire cogner ton col sur mon gland qui te ramone.
Mon sperme te fouaille le vagin et nous explosons ensemble, pleins de rires et de larmes de joie et de folie.
MD
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