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  • Michel Debray
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Mercredi 11 janvier 3 11 /01 /Jan 17:20

 

 

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Je t’ai invitée à passer une soirée au Château des Lys, un club libertin de Paris. Tu portes une robe noire courte, des bas à couture avec porte-jarretelles, une parure de dentelles rouge. Je suis en costume de lin grège sur une chemise blanche à manches bouffantes et un slip taille basse couleur chair. Je t’ai caressée pendant une bonne partie du trajet, le doigt écartant ton  string couleur carmin, pour mieux te le glisser dans la fente.

 

Nous buvons un verre au bar. Les hôtes sont charmants. Deux femmes  en jupette écossaise dansent à la barre verticale. L’une se contorsionne et montre sa chatte épilée aux grosses lèvres. L’autre se laisse embrasser goulûment par son compagnon. Il y a des couples flirtant dans des canapés de couleur rouge. Assez jeunes dans l’ensemble. Une femme d’âge mûr me sourit et vient me frôler…

Je t’invite à danser. Nous nous collons avec l’appétit féroce des corps se connaissant depuis peu . Je caresse tes fesses en retroussant le bas de ta robe. Tu frottes ton ventre à ma braguette. Tu nous vois dans le miroir du dance-floor

-         On voit bien mes fesses ? me questionnes-tu.

-         Oui mon ange, je te trousse jusqu’à la taille.

-         Touche-moi, sens comme je mouille.

Je glisse mon doigt entre tes nymphes, tu l’inondes.

Le patron du Château arrête la musique et au micro, convie tous les invités à descendre dans la cave voûtée pour un jeu. Il s’agit, dans le noir absolu, de retrouver sa compagne ou son compagnon. Nous nous lâchons et nous descendons les escaliers à tâtons. Dans l’obscurité, chacun avance, touchant, évaluant des formes. On frôle ou son s’attarde, en fonction du grain de peau, de la soyance d’un vêtement. Une main anonyme touche ma braguette, une autre s’insinue dans ma chemise et caresse mes poils. Je perçois un corps voûté de femme, immobile, je sens qu’elle s’est plantée là, comme une balise désirante, attendant tous les contacts. Je passe ma main sur son dos, puis dans le creux de ses reins nus entre un petit haut et une jupe. Elle se trémousse à mon contact. Mais c’est un mouvement aveugle incessant où l’on veut emmagasiner le plus possible de sensations… Des mains caressent ma barbe. Pas un mot. Silence et halètements, quelques rires de surprise. Les formes invisibles vont et viennent. On ne ressens que des ondes mouvantes. Des bouffées de parfum me parviennent. Soudain une bouche se colle à la mienne. Je te reconnais. Dans la nuit totale, tu glisses quelque chose dans ma pochette de veste. Je tâte. C’est ton string trempé. Je le porte à nos narines.

-         Des mains inconnues me l’ont ôté, souffles-tu dans un sourire. Je mouille comme une chienne. Touche.

Je plaque ma main sur ta chatte et perçois une autre main qui s’insinue entre tes cuisses mouillées. La main insidieuse disparaît… Peu audacieuse.

La lumière se rallume progressivement.

Nous remontons tous au bar.

C’est le moment de monter dans les étages et les coins câlins. Nous dansons encore un moment, ma paume est collée à ta chatte qui ruisselle.

-         Viens.

Je t’entraîne dans les escaliers aux lumières de néon rouge. D’abord nous marchons sur une dalle de verre sous laquelle des voyeurs contemplent les dessous des femmes, un verre à la main. Certaines s’arrêtent franchement, en écartant les jambes pour mieux s’offrir. 

Nous nous retrouvons dans le couloir des glory-holes. Des trous situés à des hauteurs différentes permettent à des bites de passer, invitant à la dégustation.

-         Hum…j’adore ! Tu me permets de goûter à toutes ces pines ?

-         Je t’en prie mon cœur.

Tu t’accroupis et commence à lécher une belle bite sombre, au prépuce de soie brune. Tu saisis les couilles glabres en gémissant. Je me place derrière toi, accroupi aussi, et je te branle le clito pendant que tu dégustes le chibre exotique qui ne tarde pas à décharger dans ta bouche. Tu as un orgasme liquide sur ma main qui te branle.

-         Encore, oui, une autre queue.

Cette fois elle est  à hauteur de main. Tu es débout et tu branles une verge épaisse et pâle. Puis tu te penches pour en faire décalotter le gland. Derrière toi, je soulève ta robe pour t’enfoncer ma langue dans ton cul qui palpite. Le foutre jaillit entre tes lèvres. Tu jouis encore.

-         Oui oui ta langue, encule-moi, mon chéri…

Tu te redresses. Tu m’attires vers toi et je sens sur tes lèvres le goût du sperme inconnu. Distraitement tu caresses d’autres sexes jaillissant des glory holes…

-         Hum, je les boufferais bien toutes…

-         Comme tu veux, mon cœur…

-         Non, non, je veux aussi ton plaisir à toi… regarde, regarde cette belle chatte !

De fait, une femme nue est allongée sur un vaste sofa rond. Un homme lui a fourré sa queue dans la bouche, elle suce mollement. Un autre frotte sa verge sur un téton mordoré. Cette femme est très belle, mais sa chatte sublime, vieux rose, couleur de vermeil, est épanoui mais désespérément sec et personne ne s’occupe d’elle.

-         Fais la jouir,  mon ange. Fais reluire cette belle salope.

Tu me pousses vers le bijou de chair que j’entreprends de savamment lécher. La belle frémit. D’un coup de rein, sa chatte, tout son bassin viennent à la rencontre de ma langue qui l’explore. Tu t’allonges près de cette belle femme et un beau  Black vient soulever ta robe pour appliquer sur ta vulve en eau sa grande bouche aux lippes épaisses.. Je m’applique sur le sexe magnifique dont les nymphes prennent du volume, je fais saillir son clito jusqu’alors enfoui, encapuchonné pour mieux le gober. La belle s’agite, me tenaille la tête entre ses cuisses gainées de nylon. Tu gémis sous la langue omniprésente du Black.

-         Je veux ta queue et la sienne, dans ma chatte, dans mon cul, mon trésor.

Tu implores. J’achève la beauté qui explose en spasmes voluptueux mais un peu secs, juste une petite mouillure sur ma moustache… Elle ordonne alors aux deux types qui inlassablement occupaient l’un sa bouche, l’autre ses tétons orangés de venir la baiser à tout de rôle. Je m’allonge sur le dos et t’enjoins de venir t’enculer sur ma queue tendue. Le Noir a le visage maculé de ta mouille. Il sourit de toutes ses dents, t’ouvre les cuisses et vient enquiller son mandrin dans ta chatte dilatée. Je sens son membre coulisser en toi à travers la cloison de ton cul. Tu hurles de bonheur. Des voyeurs viennent se masturber sur toi, tu étales leurs foutres mélangés sur tes seins dardés. Le Black et moi éjaculons presque en même temps. Tu sursautes, tu hoquètes, tu perds conscience. Ton vagin et ton cul débordent bientôt de nos spermes…

 

(Dans la réalité, les préservatifs sont évidemment de mise…mais pour vous exciter, mesdames, je ferai quelles entorses à la réalité…)

 

MD

 

 

 

http://www.chateauclub.fr/visite.html

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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