Elle a décidé de venir le voir jouer sur scène. A cet effet elle a revêtu sous un long manteau de laine rousse un petit haut transparent sous lequel elle a omis de
mettre un soutien-gorge et une jupette écossaise qui recouvre ses petites fesses pommées et son mini-triangle pubien à la limite de la décence…
Pendant le trajet, elle sentait son sexe s’adoucir avec suavité à chaque fois que son escarpin de cuir rouge appuyait la pédale d’embrayage de sa voiture…Elle
souriait, certaine de l’effet qu’elle allait faire sur son amant qui ignorait encore qu’elle serait au premier rang des spectateurs…
Quand elle pénétra dans la salle de spectacle elle constata d’abord avec soulagement que des places étaient libres juste devant la scène. Puis, se rendant à un
siège vacant, elle eut le sentiment que chacun pouvait deviner sa relative nudité et elle en conçut un trouble délicieux. Il lui sembla même qu’elle en rougit…
Elle retira son manteau, prit conscience que ses tétons pointaient sous le blanc chemisier, posa le vêtement sur le siège voisin et s’installa en croisant les
jambes. Ses bas noirs crissèrent…Elle se sentit belle, désirable et désirante. Son sexe frémit d’un désir diffus, printanier, juvénile. La salle s’emplit peu à peu…Elle était bien, un peu fébrile
cependant. Elle s’accagnardit sans son fauteuil de velours rouge et posa sa main sur son sein gauche. Immédiatement sa fraise rose se dressa sous sa paume. Elle aurait pu s’assoupir, là, dans sa
bulle intime.
Le noir se fit ainsi que le silence. Lorsque qu’un projecteur douche éclaira la scène de sa lumière blanche, elle le découvrit, lui, debout, un peu crispé, clignant
des yeux. Devant lui, un pupitre supportait un livre. Il portait une chemise blanche aux larges manches romantiques et un gilet et un pantalon noir. Il s’éclaircit la voix, dit un timide : «
Bonsoir ». Elle sentit alors son cœur battre plus fort et sortit de sa torpeur. Il commença à lire. Elle reconnut la voix mâle, passant du grave à des inflexions plus douces, les mêmes qu’il
avait au téléphone lorsqu’il lui disait de jolies horreurs qui la faisaient fondre…Elle le voyait presque comme un étranger, elle le trouva beau, dans son écrin de lumière alors que lui ne
s’aimait pas, préférant, disait-il souvent, son intelligence, sa créativité à son propre physique. Elle n’entendait que cette voix sans trop prêter attention à la teneur du texte. Quand elle le
vit bouger sa main dans une caresse aérienne dans l’espace nu du plateau, elle reconnut un geste familier. Alors elle sut qu’il livrait - pour elle, juste pour elle - un poème en prose qu’il lui
avair écrit. Elle sentit son vagin se contracter. Elle faillit crier. Elle eut cependant une sorte de hoquet. Le regard du lecteur se détacha du fond sombre de la salle et se porta sur le premier
rang. Il la découvrit. Eut une hésitation. Esquissa un sourire qui contrastait avec la gravité du texte. Il continua jusqu’à l’issue de ce premier morceau. La salle applaudit. Il se courba. Elle
ouvrit les jambes et remonta sa jupe jusqu’à l’orée de sa chatte. Il vit cela et il eut un rire étouffé. Il ouvrit son livre à une autre page. Cette fois, son regard s’égara souvent vers l’ombre
douce qui irradiait entre les cuisses de sa maîtresse. Elle ouvrit un bouton de son chemisier et se caressa le sein avec l’évidence du désir. Elle sentit que son sexe s’humectait. Elle ne puit
s’empêcher de le recouvrir de son autre main. Une chaleur humide en émanait.
Il lui sembla que l’artiste ne s’adressait qu’à elle. Elle était dans le cylindre de lumière, avec lui, et elle fondait. Sa respiration s’accéléra. Derrière elle,
quelqu’un toussa et la ramena à la réalité. C’est vrai, depuis qu’il l’avait découverte au premier rang, il ne lisait plus que pour son amante.
Il n’avait pas prévu d’entracte. Pourtant il en annonça une et elle soupira d’aise et d’impatience. Il lui fit un signe discret vers une porte. Elle se leva,
constata une tache suspecte sur son siège, sentit ses sucs mouiller le haut de ses bas, frissonna sous sa jupette et s’en fut dans un dédale de couloirs. Elle le retrouva enfin. Il l’étreignit
avec force et douceur, la prit par la taille, plaqua sa bouche sur la sienne dans un baiser vorace et d’une main, soulevant sa jupe, il lui empoigna la motte. Elle posa sa main sur le paquet qui
gonflait la braguette de son amant. Elle gémit.
- Viens, souffla-t-il.
Ils marchèrent ainsi en se tenant par le sexe jusqu’à la pièce exiguë qui lui servait de loge.
Il débarrassa la table de maquillage (il avait juste un peu noirci ses yeux) et l’assit, les fesses à cru sur le plan, dos au miroir entouré de lampes électriques.
Il s’installa dans son fauteuil et écarta les cuisses blanches de sa maitresse. La vulve était comme tuméfiée, les nymphes s’épanouissaient dans leur palpitant écrin et sous le clitoris dardé
comme un grain de café, la fente laissait sourdre son désir liquide.
- Quelle surprise ! fit-il en la dévêtant ne lui laissant que sa jupe, ses bas et ses souliers..
Il embrassait chaque morceau de chair dénudée.
- Si je m’attendais ! Quel beau cadeau tu me fais pour cette première ! Et nue sous ta jupe, en plus, ah ! je t’adore !
- Prends-moi, là, tout de suite ! gémit-elle. Oh, j’ai tellement envie de ta queue !
- J’ai encore une seconde partie à assurer, ma chérie, fit-il avec un pauvre sourire, d’ailleurs il vont s’impatienter.
- Oh ! Non ! Non ! Fais moi jouir. Oui, Fouille-moi, baise-moi.
- J’ai mieux que ça pour te faire patienter…
Il prit sur la tablette un marge pinceau à blush et, en lui suçant alternativement les seins, il caressa les grandes lèvres, les petites lèvres, le clito
décapuchonné – cela lui arracha des cris à elle – fit glisser la masse de poils doux dans la fente trempée puis vint titiller son anus. Ses fesses étaient posées sur le rebord de la table et
ainsi toutes ses parties intimes, vultueuses, se trouvaient en dehors : la vision était d’une obscénité heureuse. Elle haletait et partit dans une suite de cris qui ne cessèrent d’un coup lorsque
quelqu’un frappa à la porte.
- Hum ! Excusez-moi, mais il va falloir retourner sur scène…
Il se racla la gorge.
- Oui, Tout de suite. J’arrive.
Elle remit son chemisier, en profita pour se donner un coup de brosse et allait s’essuyer avec un mouchoir en papier.
- Non ! fit-il. Reste ainsi. Garde tes sucs
- Mais je dois puer la femelle en rut !
- Je te humerai de la scène. Toi. Seule. Et tu exhaleras ton odeur de petite salope que j’aime, rien que pour moi.
- Je garde ton pinceau… En souvenir… Tiens, il est tout humide. Pourquoi ?
Ils rirent.
- Va, dit-elle. Je te rejoins bientôt.
Il sortit. Trouva le régisseur dans un couloir.
- Je faisais des vocalises, dit-il, le plus sérieusement du monde.
- Tu te fous de moi ? fit l’autre.
- On ne peut rien te cacher !
Elle ferma la porte de la loge à clé, s’installa dans le fauteuil, face au miroir. Posa ses jambes écartées sur la tablette et, se regardant bien droit dans les
yeux, se masturba avec le pinceau dont le manche lui servit bientôt à se pénétrer comme une furie. Elle ne cilla que lorsque la jouissance la fit se cabrer, hurler et inonder le siège.
Sur scène, il avait commencé sa lecture.
Elle regagna sa place au premier rang, les jambes un peu flageolantes et cette fois ne perdit pas une miette du spectacle de son amant.
Elle ressentit une immense fierté lorsque les applaudissements éclatèrent quand se fit le noir de fin. Il salua, fit quelques rappels. Elle eut envie de se lever,
de se tourner vers le public et de crier :
- Cet homme que vous applaudissez est mon amant ! C’est lui qui me baise ! C’est lui qui me fait jouir. Applaudissez- le aussi pour cela !
Ils se retrouvèrent dans la loge.
- Qu’on ne nous dérange pas, avait-il dit au régisseur.
- Compris, fit l’autre avec un large sourire.
Elle se mit nue cette fois, entièrement, ne conservant que ses bas et ses chaussures rouges.
- Baise moi !
- Attends…
Il ouvrit un placard. En sortit une bouteille de vin entamée et deux verres tulipes.
- Buvons ! A nous ! A toi !
- A ton succès, mon amour !
Le vin couleur rubis coula dans les verres. Ils trinquèrent, les yeux dans les yeux. Ils burent, lentement, avec volupté. Elle laissa couler les dernières gouttes
sur ses seins.
- Viens lécher, dit-elle, langoureuse.
Il ne se fit pas prier. Elle frissonna.
Elle lui ôta son gilet, sa chemise un peu moite de transpiration, la huma en fermant les yeux.
- Hum, toi, toi, toi !
Elle tira sur la boucle de la ceinture de pantalon, descendit le zip de la braguette, le tira vers le bas. Il sautilla pour s’en dépêtrer.
- Ton slip, enlève-le, lentement, en faisant le show, pour ta salope !
- Voilà une heure trente que je fais le spectacle !dit-il en riant.
Il s’exécuta cependant et mima un strip-tease un peu clownesque. Ce n’est pas dans ces gestes stéréotypés que les hommes sont les plus sensuels. C’est dans la
manière de passer les vitesses sur la boule du levier phallique qu’ils peuvent l’être, ou en soupesant un outil…
Elle s’accroupit, la vulve ouverte, ruisselante et goba le gland violacé qui s’agitait devant elle. La suavité de la liqueur qui s’en écoula d’un coup la fit gémir
de bonheur.
- Non, fit-il dans un soupir, pas dans ta bouche.
Elle se releva, l’embrassa, la bouche pleine de son jus transparent qu’elle lui communiqua.
Puis elle se tourna vers le miroir, se cambra, les mains en appui sur la tablette.
- Regarde-nous, fit-elle. N’est-ce pas que nous sommes beaux ?
- Oui. J’aime tout de toi, j’aime ta folie.
Elle tourna son visage, chercha un baiser en coin, puis, les yeux chavirés :
- Là, maintenant ! ordonna-t-elle
- Où ?
- D’abord dans ma chatte, baise-moi ! Va loin ! Touche mon col ! Défonce-moi !
Il s’enfonça dans un océan de délices. Elle le reçut avec exaltation. Les couilles velues venaient battre sur son périnée. Il la tenait par les hanches et imprimait
un lent mouvement de va et vient.
- Plus fort, cria-t-elle, plus vite ! Je veux pisser mon jus de femelle !
Il accéléra le rythme, la pilonna avec conscience. Il respirait fort. Elle faisait tourner son cul pour le mieux sentir sur toutes les parois de son vagin. Elle
jouit, longuement, en crescendo, débordant de ses miels. Et s’affala, le torse sur la table. Elle haletait, gémissait comme une enfant. Il se tenait roide en elle. Immobile.
- Maintenant, encule-moi ! Je veux ton sperme dans mon cul !
Elle ouvrit elle-même ses fesses, magnifiquement impudique. Il s’extirpa de l’antre aquatique et posa son gland sur l’anus palpitant.
- Vas-y ! implora-t-elle, à la fois souffrante et impérieuse.
Il la pénétra inexorablement, jusqu’à la garde. Elle poussa un cri déchirant. Il savait qu’au bout de quelques poussées il allait se rendre. Elle se frottait
furieusement le clitoris, se fouilla de deux doigts et se pâma dans une indicible jouissance. C’est alors qu’il éjacula en grondant, lentement, à gros bouillons qu’inconsciente elle ne perçut
qu’à peine dans ses intérieurs…
Après qu’ils furent un peu revenus à eux, il se dégagea du fourreau, comme à regret…
- Rideau ! fit-il en souriant…
- J’espère qu’il y aura un rappel, minauda-t-elle.
- Après, ma belle. Allons d’abord souper…
MD
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grrrrrrrrrrrrrrrrr si belle
que sont-ce que des fesses pommelées quand il ne s'agit pas de la croupe d'une jument?
La correction étant faite, mon commentaire devient sans objet, et de ce fait paraîtra absurde ... ou le fait d'un imbécile ... à qui n'aura lu que l'après
mais ... un prote n'a pas le droit d'être vaniteux : simplement fier quand la leçon est publiée corrigée