Lundi 12 mai 1 12 /05 /Mai 11:41
Google-images pauvre en photos qui me frappent l'oeil.
Je repère la mort de Bob Marley survenue le 12 mai 1981.
Ma mère est morte le 12 mai 1966, j'avais 21 ans.
Ma plus jeune soeur est née le 12 mai 1952.
Allons, je vais chercher dans mes archives de quoi nourrir ce jour superbe de soleil dans le nord de la France.

Quelques toiles et photos d'origine mise près de l'autre...


Ma demoiselle d'Avignon



Dany 2006



 Cacha à la fourrure

Sa page sur mon site :
http://m_debray.club.fr/CYBERMODELES3/page15.htm

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 16:40



 


Maria Casares par Leonor Fini


Sylvia Monfort par Leonor Fini

 

 


 



Leonor FINI

1908 - 1996

Née à Buenos Aires d'une mère triestienne et d'un père argentin qu'elle n'a pratiquement pas connu, elle a passé son enfance et son adolescence à Trieste auprès de sa mère et de sa famille maternelle dans un milieu bourgeois très cultivé. Cet univers dans lequel elle baigna toute sa jeunesse lui permit d'acquérir une culture très cosmopolite.

De nature indépendante, elle quitta sa famille à 17 ans et s'établit à Paris peu avant la dernière guerre. Elle s'y lia d'amitié avec Paul Eluard, Max Ernst, Georges Bataille, sans jamais appartenir au groupe surréaliste.


Elle ne fréquenta aucune école des Beaux-Arts et sa formation est entièrement autodidacte, d'où sans doute la difficulté de l'identifier à un courant particulier de l'art contemporain, car son évolution a surtout été marquée par des affinités électives et par son propre "Musée imaginaire."

A ses débuts elle a peint de nombreux portraits dont ceux de Jean Genet, d'Anna Magnani, de Jacques Audiberti.

 
Ayant le goût du spectacle elle a eu l'occasion d'exprimer son génie dans toutes les formes possibles de l'art. Ainsi elle a créé des décors et des costumes à la fois pour le théâtre, des ballets et des opéras.

Que ce soit à Paris ou au cours des trois mois d'été qu'elle passait dans sa maison en Touraine, elle peignait tous les jours, l'après-midi, pendant quatre ou cinq heures. Pourtant, elle ne terminait jamais plus de dix toiles par an, en raison des exigences techniques de son travail, et moins encore quand elle acceptait des commandes de portraits, ce jusqu'à la fin des années cinquante.

Si arrivée au terme d'une série qui l'avait stimulée, elle s'interrompait de peindre, elle passait au dessin, où son trait était rapide, nerveux, spontané. Dans les rares moments d'arrêt d'une expression plastique, elle a toujours écrit avec une rapidité qui rapproche son écriture "littéraire" de celle du dessin. Elle n'a publié ses textes qu' à partir de 1973.

De nombreux poètes, écrivains, peintres et critiques lui ont consacré des monographies, des essais ou des poèmes dont Paul Eluard, Jean Cocteau, Giorgio de Chirico, Albert Moravia, Max Ernst entre autre. Neuf films ont été consacrés à son oeuvre dont "La Légende Cruelle" de Gabriel Pommerand et Arcady,1951.

Leonor Fini a continué de peindre jusqu'à la fin de sa vie.

D’après le site « officiel » de Leonor Fini 

http://www.leonor-fini.com/index_f.html

J’aime la peinture de Leonor Fini car elle est notamment dans ses « cérémonies » souvent d’inspiration saphique à la fois très féminine, hiératique et impeccable. Leonor Fini crée un univers, une ambiance, de cet érotisme froid qu’on retrouve dans l’Histoire d’O de Pauline Réage. Sans concession au voyeurisme très masculin, Leonor Fini montre des corps non pas prêts à l’amour mais à de subtils rituels d’initiation, de soumission glacée et de silencieuses tortures/jouissances mentales.

Nulle ironie chez Fini, contrairement à Magritte, créateur lui aussi de mondes étranges, on peut rapprocher son œuvre de celle de Balthus.

 


 

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 15:45

Un blog assez fort qui nous change des miévreries habituelles.




Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 11:48
En ce moment, les pages Images de Google (selon la date du jour) donnent de piètres résultats... Effet saisonnier ?

Je plonge donc dans mes archives, en fait, mes fichiers temporaires...


Une jolie liane à la cambrure de rêve qui fait la gueule et se montre agressive.
Parfois, ça remet les vaches à l'heure et les pendules seront bien gardées.

 

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 15:45






La page précédente sur Egon Schiele
Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 15:16

 

Egon Schiele - Autriche - 1890 - 1918

Egon Schiele commença à peindre dès 1905, notamment des autoportraits. Son père décéda cette année-là, et son oncle, qui devint son tuteur, tenta de l'orienter vers une carrière dans les chemins de fer. Avec l'accord de sa mère et l'appui de son professeur de dessin, il entra à l'Académie des beaux-arts de Vienne, où il eut du mal à supporter la tutelle académique de ses professeurs.

 

 À Vienne, il découvrit cependant un art différent lors d'une exposition d'artistes du deuxième mouvement de Sezession (Sécession en français), plus proche de l'Art nouveau. En 1907, il rencontra Gustav Klimt, qui s'intéressa à lui et fut pour lui son modèle et son maître. Schiele lui voua une grande admiration, admiration qui fut réciproque de la part de Klimt. Il fit sa première exposition en 1908.

 Il rencontra en 1911 une jeune femme à la réputation sulfureuse, Wally Neuzil, qui lui servit de modèle. Il fut arrêté en 1912 en raison de ses dessins érotiques et du soupçon porté contre lui de détournement de mineurs, ce qui lui valut de passer vingt-quatre jours en prison. L'une de ses œuvres les plus célèbres de cette époque fut Le Cardinal et la nonne, plagiat du Baiser de Gustav Klimt. À partir de 1913, il participa à de nombreuses expositions internationales.

 

Il rompit avec Wally Neuziel et épousa Edith Harms le 17 juin 1915, inaugurant ainsi une période moins tourmentée de sa création. Le 28 octobre 1918, sa femme, alors au sixième mois de sa grossesse, décéda de la grippe espagnole. Egon Schiele mourut de la même maladie, trois jours plus tard, le 31 octobre 1918.

 

Les œuvres sont nombreuses. Ce qui frappe, c’est la qualité du dessin. Net, avec un trait marqué, énergique et sûr, parfois même violent le dessin de Schiele se différencie de l’aspect un peu myope et brouillon d’autres expressionnistes comme Edvard Munch, par exemple. Le squelette est présent sous une chair rarement opulente... Schiele se peint d’ailleurs lui même de façon beaucoup plus décharnée que ses photos le laissent supposer. Ses portraits et ses nus sont en outre saisis dans des poses insolites, voire caricaturales, Egon Schiele ayant étudié les attitudes de certains déments dans un asile psychiatrique, ainsi que les positions des marionnettes manipulées, ce qui donne cet aspect « désarticulé » propre à certains de ses personnages et à son art. Comme chez Bellmer et ensuite de nombreux surréalistes, Schiele s’intéresse aux poupées, aux pantins.

 


Bien qu’elle soit rare et discrète, réduite parfois à des frottis de brosse, la couleur chez Egon Schiele est forte et expressive.

 

Schiele a fait près d'une centaine d'autoportraits le représentant parfois nu, avec un visage desséché et tourmenté, ou affligé d'un strabisme impressionnant, allusion humoristique à son nom de famille: en effet, « schielen » signifie loucher en allemand, et nombre de critiques hostiles à son art n'hésitaient pas à en faire des jeux de mots.

 

 

Il a aussi réalisé des paysages, urbains notamment, dont le peintre Hundertwasser s’est sans doute inspiré.

 

Ses peintures parfois masturbatoires provoquaient et provoquent sans doute encore les spectateurs, suscitant chez eux un certain malaise par leur rapport à la mort et à l'érotisme, mais aussi par certaines couleurs verdâtres de la décomposition.

 

Schiele est sans doute, avec Klimt, l’expressionniste le plus talentueux.

 

 

Note personnelle et immodeste : on m’a souvent comparé à Egon Schiele, ce qui est pour moi flatteur, mais ressortit davantage du jugement sur le fond, sur les sujets érotiques voire pornographiques que sur la forme, le dessin, l’ossature de la composition absolument maîtrisée chez Schiele...

 

Un Anglais m’a demandé de réaliser un nu de sa femme asiatique "à la Schiele" et au cours de l’exécution d’une toile "Lucille aux roses", j’ai soudain vu quelque chose qui ressemblait à un Schiele. Ce n’est qu’un moment d’une toile que j’ai achevée à ma manière nettement plus colorée.

  cliquez sur l'image pour accéder à la page du modèle


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Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 12:41
Pentecôte, c'est l'occasion de présenter la nouvelle mode ecclésiastique.


Modèle : Gouvernante de Cardinal, créé spécialement pour la Secrétaire particulière de Mgr Barbarin, Primat des Gaules.

Je plaisante, mais c'est à peine un gag. Mgr Barbarin qui fut naguère "papabile" s'entretient comme un danseur mondain et sa secrétaire est un vrai canon (sans jeu de mot).

Mgr Barbarin souffre d'un cancer de la prostate. Or que signifie le mot "prostate" ? Mettre en avant.
L'inconscient parle par le soma, c'est-à-dire le corps.
Se mettre "en avant" et avec quelle ostentation quand on est prélat d'une église qui se revendique des pauvres est une belle contradiction. Que l'inconscient révèle par la maladie...

Bonne santé au citoyen Barbarin.

Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 12:22

Les 10 mai se suivent et ne se ressemblent pas.

10 mai 1968

10 mai 1981


Affiche de mai 68
parfaitement adaptée à mai 2008
en Sarkozie

EN 2001, CHIRAC A CHOISI LA DATE DU 10 MAI POUR COMMEMORER CHAQUE ANNEE L'ABOLITION DE L'ESCLAVAGE

Par Michel Debray - Publié dans : Jours
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Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 12:06


Un blog de BDSM, sous-titré "Une soumission particulière - Sans tabou, sans interdit"

Vous êtes prévenus...

 

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 11:37

Lez / Zone

Un blog lesbien superbe, plein de tendresse, de sensualité et de combat.

http://lezzone.over-blog.com/
Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Arts érotiques
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  • Michel Debray
  • Le blog de Michel Debray
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  • 03/11/1945
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