Jeudi 24 avril 4 24 /04 /Avr 12:52
http://www.julietasans.com/index.html

Julieta SANS est une jeune photgraphe argentine.

Son travail met en scène un "naturel" où perce une pointe d'affectation. Oeuvre très féminine. Je me garderai de préciser ce qu'est une oeuvre (littéraire, picturale, cinématographique, graphique...) féminine. Je dirai simplement que je le vois, je le sens, de façon intuitive...


Le pan du peignoir brunâtre cache le sexe et en même temps en reproduit métaphoriquement et en les agrandissant les plis et les recoins... Et l'oeil, tout naturellement va s'y nicher...


Série : Backs (dos)

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 14:31
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir sur mon blog, un peu, chaque matin,
Elle y laissait joueuse un petit commentaire
Qui me mettait le coeur et le sexe en travers...

Librement inspiré de Victor Hugo.

L'adresse de son joli blog est dans mes liens et en cliquant sur cette photo



Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 14:22
http://www.choke.fr/dotclear/index.php?2008/04

Un journal extime, rien qu'en images. Le quotidien sublimé par la photo. Genre "La première gorgée de bière" de Delerme père...

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 14:02

Ma descente dans la perversion Soumise à des inconnus par mails

Un blog intéressant, qui sent le vécu d'une soumission volontaire parce qu'excitante et génératrice de plaisir.

"Je me prénomme Sophie. J'ai trente ans, je suis mariée et on me dit assez jolie.J'ai toujours été une femme bien comme il faut. Issue d'un milieu aisé, avec des parents ayant toujours insisté sur le bien et le mal, je me rangeais du côté des gens ayant le sens du devoir.

Il y a quelques mois de cela, j'ai reçu un message électronique curieux qui me proposait de me divertir, en échange d'une soumission totale. Le message était libellé avec des termes recherchés et des tournures agréables, sans aucun mot vulgaire, ce qui m'a incitée à le lire."


http://www.blogg.org/blog-57501.html
Par Michel Debray - Publié dans : Nuits - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 22 avril 2 22 /04 /Avr 16:19

Avec l'amant de sa mère

Quand une petite fille a deviné quel est le bon ami de sa maman, elle ne doit, sous aucun prétexte, aller le dire à son papa.

Ne désignez jamais à l'amant de votre mère une jeune fille qui se branle pour lui, surtout si cette jeune fille, c'est vous.

Si l'amant est en avance et que madame votre mère vous prie de faire attendre, faites-le bander mais ne le sucez pas.

Elle ne doit pas non plus, à l'heure où sa mère revient du rendez-vous, lui demander si c'était bon, combien de fois elle l'a fait, si le monsieur bandait bien, etc. .. Ces questions ne mériteraient que le fouet.

Il lui est également interdit de prendre à part le bien-aimé pour lui demander : "Déchargez-vous dedans? Est-elle bien cochonne ? Suce-t-elle gentiment ? Avale-t-elle le foutre ? Se fait-elle enculer ? etc. ".

Ni surtout pour lui dire : "Papa a baisé maman la nuit dernière. C'est ma bonne qui me l'a dit." Cette dernière information ne serait pas accueillie avec plaisir.

Si vous savez que votre mère attend son amant chez elle, ne vous cachez pas sous le lit, surtout pour sortir en faisant : "Boum! c'est moi!" pendant qu'on jouit dans sa bouche. Vous seriez capable de la faire étrangler.

Ne choisissez pas non plus cet instant pour entrer brusquement dans la chambre en criant : "Voilà papa !" lorsque vous savez très bien que monsieur votre père est en voyage.

Si monsieur votre père est absent pour six mois ou un an, ne vous hasardez pas, un jour d'adultère, à cacher l'injecteur de votre maman, de telle sorte qu'elle s'en aperçoive trop tard. Les plus graves conséquences pourraient s'en suivre, et la farce ne serait pas goûtée.

Si vous découvrez que vous êtes la fille de l'amant et non du mari, n'appelez pas ce monsieur "papa" devant vingt-cinq personnes.

C'est le mari de votre mère que vous devez appeler papa. Et même si vous êtes certaine de ne pas lui être unie par les liens du sang, ne lui dites pas à l'oreille : "Je veux bien te sucer, tu n'es pas mon père !" La fin de la phrase détruirait tout ce que les premiers mots auraient de vraiment aimable.

Si une visite se présente quand votre mère fait l'amour et si l'on vous charge d'aller répondre : "Maman est souffrante" , ne donnez pas de détails sur la maladie. Si l'on vous demande : "Qu'est-ce qu'elle a ?" ne répondez pas : "Une pine dans le cul."

Rubrique spéciale pour se faire dépuceler

À partir de l'âge de huit ans, il n'est pas convenable qu'une petite fille soit encore pucelle, même si elle suce la pine depuis plusieurs années.

Quand vous aurez huit ans accomplis, si l'on vous demande votre pucelage, il faut le donner; si on ne vous le demande pas il faut l'offrir poliment.

Pour vous faire dépuceler, étendez-vous au milieu du lit, ôtez votre chemise ou tout au moins relevez-la jusqu'aux aisselles, écartez les jambes et ouvrez à deux mains les lèvres du con. Si le monsieur préfère d'abord dépuceler vos petites fesses, présentez-les immédiatement : c'est à lui de choisir la voie qui lui plait.

Si votre dépucelage a lieu sur l'herbe, ou sur le banc d'un jardin, ou dans une voiture, ou sur un siège de water-closets, ou dans la cave, sur un tonneau, ou dans le grenier sur une vielle caisse, ne vous plaignez pas d'être mal couchée. On baise où l'on peut.

Quand on vous aura dépucelée, gardez-vous bien d'aller le raconter à monsieur votre père. Cela ne se fait pas.

Ne le dites même à votre bonne que si elle a l'habitude de vous branler tous les soirs, auquel cas elle risquerait de découvrir elle-même la trace du loup.


Avec un amant

Ayez tous les amants qu'il vous plaira, mais ne racontez pas aux jeunes ce que vous faites avec les vieux. Ni réciproquement.

N'oubliez pas de dire "s'il vous plait" quand vous demandez une pine, ou de répondre "merci" quand on vous la donne.

Quand vous êtes debout devant un monsieur qui bande au niveau de votre ceinture et se propose de vous enconner, montez sur un tabouret pour mettre votre petit con à la hauteur des circonstances.

En général, cependant, placez-vous plutôt à genoux sur un fauteuil, relevez vos jupes sur le dos et ouvrez-vous les fesses avec les deux mains, de façon à présenter vos deux orifices entre lesquels le monsieur pourra choisir sa voie en toute liberté. C'est la posture la plus jolie.

Quand vous venez de sucer quelqu'un, n'allez pas à la cuisine pour cracher le foutre dans la marmite. Cela vous ferait mal juger des domestiques.

Si madame votre mère vous accompagne chez votre amant, laissez là baiser la première, c'est l'usage; et quand vous baiserez vous-même, faites lui minette pour l'occuper.

Tant que vous serez impubère, vous pourrez sans aucun danger faire l'amour avec les nègres si les nègres vous excitent; mais dès que vous aurez vos règles, priez vos amants noirs de vous enculer, car si vous accouchiez d'un petit mulâtre, cela n'irait pas sans dommage pour votre renommée.


Avec les domestiques

Si vous êtes une petite fille extrêmement baiseuse, si vous avez tout le temps la chemise pleine de foutre et les draps couverts de taches, branlez un peu la bonne pour qu'elle ne dise rien.

Ne sucez jamais le valet de chambre en présence de la cuisinière. Elle serait jalouse et vous dénoncerait.

En montant dans l'automobile de vos parents, n'embrassez pas le chauffeur dans le cou, même si vous lui êtes très reconnaissante de ce qu'il vient de vous baiser six fois.

Ne vous plaignez pas à madame votre mère de ce que la nouvelle bonne ne veut pas vous faire minette. Faites la chasser sous un autre prétexte.

N'enculez pas de force la femme de chambre avec un manche à balai. Vous pourriez lui faire très mal.

Quand votre bonne anglaise est endormie, ne lui coupez pas les poils pour vous faire des moustaches blondes.

Si la cuisinière veut bien vous laisser examiner sa connasse dans tous les détails, ne fourrez pas dedans du poil à gratter.

Si vous surprenez la fille de cuisine en train de se branler avec le rouleau à pâtes, ne le répétez pas à madame votre mère. Quand une pauvre fille est en chaleur, elle prend ce qu'elle a sous la main.

Ne faites pas feuille de rose à vos domestiques. C'est un service que vous pouvez leur demander mais qu'il est plus convenable de ne pas leur rendre.

N'entrez jamais à l'office en relevant vos jupes jusqu'à la ceinture et en criant : "Pinez-moi donc tous !" Ces gens n'auraient plus de respect pour vous.

Quelque soit la vénalité du valet de chambre qui vous enfile, ne lui donnez pas un bijou de madame votre mère chaque fois qu'il montera sur vous.

N'exigez pas d'une femme de chambre qu'elle vous fasse minette plus de deux fois par jour. Il ne faut pas fatiguer les domestiques.


Avec M. le Président de la République

Appelée à l'honneur de réciter un compliment devant le Président de la République, ne lui dites pas à l'oreille quand il vous embrasse : "Viens chez maman, je te ferai bander."

Si même vous le reconnaissez comme un vieil habitué de la maison où vous prostituez votre petite bouche, ne l'appelez pas "gros bébé" devant sa maison militaire.

Ne l'appelez pas non plus "vieux satyre" en lui réclamant cent mille francs pour le prix de votre discrétion.

Si, par contre, il vous fait enlever secrètement, et se précipite sur votre derrière pour assouvir sa lubricité, rien ne vous oblige à vous laisser violer par le chef de l'état.

Si, de votre plein gré, vous couchez avec lui, et s'il vous prie de lui faire pipi dans la bouche, ne lui objectez pas que cet acte serait indigne du respect que vous lui devez. Il connaît le protocole mieux que vous.

Vous pouvez demander à monsieur le Président de la République une mèche de ses cheveux pour vous rappeler ses faveurs, mais il serait indiscret de lui couper la pine pour la conserver en souvenir de lui.

Si au cours d'une vadrouille nocturne, vous rencontrez le Président de la République, complètement soûl, tombé dans le ruisseau, faites-le reconduire à l'Élysée avec les honneurs dus à son titre.

Si monsieur le Président de la République venait à mourir subitement pendant que vous tétez son foutre, vous pouvez raconter l'histoire à tout le monde : on ne vous poursuivra pas. Il y a des précédents.


Pour sucer

Ne dites jamais à un homme du monde : "Faut-il vous la sucer ?" Ce sont les petites filles de rues qui s'expriment ainsi. Dites tout bas, et à l'oreille : "Voulez-vous ma bouche ?"

Si c'est un monsieur que vous n'avez jamais sucé, ne vous livrez pas à des lècheries savantes tout le long de la pine et derrière les couilles. Il aurait mauvaise opinion de votre passé.

Prenez modestement la pine dans la bouche, en baissant les yeux. Sucez lentement. Écartez les dents pour ne pas mordre et serrez les lèvres pour ne pas baver.

Quand le monsieur est sur le point de jouir, ne vous interrompez pas pour lui demander des nouvelles de sa mère, même si vous avez oublié de le faire en son temps.


Au lit avec une amie

Dès que vous êtes couchée avec une amie, mettez-lui la main au con, n'attendez pas qu'elle vous en prie.

Ne vous moquez pas d'une jeune fille parce qu'elle est encore pucelle. Il y a des personnes infortunées qui n'ont jamais fait bander personne.

Souvenez-vous que dans la position dite "69" la place d'honneur est réservée à la personne couchée. Une petite fille doit toujours occuper la place de dessus.

Si votre amie s'y prenait mal pour agiter sa langue au point où elle vous touche, il serait du dernier mauvais goût de lui pisser à la figure dans un accès de mécontentement.

Quand vous éteignez la lumière en disant à votre compagne : "Laissez moi vous appeler Arthur", ne vous dissimulez pas que vous lui faites une confidence.

Ne faites pas honte à une jeune fille qui vient d'exécuter sur le trou de votre cul ses plus savantes feuilles de rose. Elle l'a fait certainement dans une bonne intention.


Au lit avec un vieux monsieur

Si des revers de fortune obligent vos parents à vous prostituer avant l'âge légal, montrez-vous digne de la confiance qu'ils vous accordent et prouvez-leur qu'ils n'ont pas eu tort de vanter vos jeunes talents.

Enfermée avec le vieillard, ne vous déshabillez pas tout de suite. Laissez le fouiller sous vos jupes et glisser lui-même ses vénérables doigts jusqu'à la partie de votre corps qui l'intéresse le plus.

N'abusez pas des titres honorifiques en parlant à votre protecteur. Excellence, Monseigneur, Monsieur le vice-président du Sénat sont des expressions qu'il vaut mieux laisser de côté. Bien plus, ne craignez pas de l'appeler : Cochon ! Petit Salop ! Grand Polisson ! Ces gros mots prononcés avec un petit sourire seront toujours bien accueillis.

Dans toute circonstance, tourner le dos à un vieillard est une attitude considérée comme impolie. Cependant une petite fille nue qui présente ses fesses à un vieux marcheur est sûre de n'être pas grondée.

Si le monsieur vous pose des questions sur vos mœurs, sachez les présenter comme pire qu'elles ne sont. Affirmez par exemple que vous vous masturbez quatre ou cinq fois par jour, même si vos habitudes n'en comportent qu'une, et que vous pourléchez tous les soirs le clitoris de madame votre mère, même si vous savez qu'elle préfère votre amant.

il éjacule, avalez silencieusement jusqu'à la dernière goutte, et dites-lui une phrase aimable sur le goût de la liqueur que vous avez bue.

Cela fait, ne priez pas le monsieur de vous donner dix sous. Les petites filles du monde sucent pour l'honneur.

Si vous êtes couchée avec un monsieur que vous connaissez très bien et que vous faites décharger pour la vingtième fois, vous pouvez alors lui sucer la peau des couilles et lui fourrer la langue dans le cul sans préambule; mais laissez lui croire qu'il est le seul à qui vous accordiez ces petites complaisances. Si le monsieur débande entre vos lèvres, n'en accusez pas la faiblesse de ses moyens, mais votre propre inexpérience.

S'il meurt, commencez par reboutonner son pantalon avant d'appeler la bonne, et ne racontez jamais dans quelles circonstances il a rendu son âme à Dieu.



Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 22 avril 2 22 /04 /Avr 16:04

COIN FUMEURS


COIN FAST-FOOD


COIN MUSIQUE 

Par Michel Debray - Publié dans : Jours - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 21 avril 1 21 /04 /Avr 19:04

http://www.amoitiemoi.com/

Rose tient un vrai journal de femme, avec ses doutes, ses interrogations, sa peur du temps qui passe, ses histoires d'amour, sa solitude, son narcissisme tempéré et ses coups de cafard.
En cela son blog est un document, loin des généralités idéologiques fumeuses sur le "fait féminin".

       

"C'est étrange la vie. Un jour, on regarde une photo prise il y a, quoi? une année, et on n'est plus sûr que celle qui est dessus dedans dessous est bien la même. J'ai conscience que je me regarde aussi chaque jour dans le miroir sans vraiment me voir mais là c'est autre chose. Je ne me reconnais pas, je ne reconnais pas celle-là. Etrangère à moi-même. Bien qu'indéniablement moi. Je ne renie nullement cette autre, au contraire... Simplement aujourd'hui, j'ai la sensation de ne plus être cette créature (="tout ce qui est créé"). Je ne crie pas "plus jamais" mais il me semble que... En fait, je crois que je n'ai plus peur de celle que je suis "en vrai". Enfin, que j'ai moins peur. Moins peur d'être moi-même. Moins peur de moi-même. Moins peur d'être. ...?

Il aura fallu tant perdre pour trouver...

Et penser que ce blog idiot... est... la clé? Une clé. Qu'il m'a permis de dire, montrer, hurler, entendre, échanger... tout ce que j'avais désappris, oublié, abandonné. Me réapproprier l'essence, retrouver mon individualité, conquérir celle en devenir...

Pauvres mots

Sans oublier ceux celles que ce blog m'a permis de connaître...

Oui. Pauvres mots"


Mars 2008 
Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 21 avril 1 21 /04 /Avr 14:47

 Pourquoi les contorsionnistes (nus ou nues) fascinent-ils tant ?
Sans doute parce que l'on ne peut s'empêcher de fantasmer sur l'auto-fellation ou l'auto-cunnilingus...

Du reste certain(es) dotés d'une grande flexibilité, d'une longue verge ou d'une longue langue ne s'en privent pas...


Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 21 avril 1 21 /04 /Avr 14:35
Erin Vorak, un blog très sympathique, avec les autoportraits de la belle.

Son profil :
Erin Vorak
Lieu : Paris, Ile de France, France Parisienne. 1/4 Vietnamienne, 3/4 Française. 42 ans. Ancienne hôtesse de l'air. Aimant la musique, la photographie, le cinéma, l'histoire, les voitures décapotables, la voile et un peu exhib...

 


Son blog : http://aufondagauche.blogspot.com
Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 14:03

Au musée

Ne grimpez pas sur le socle des statues antiques pour vous servir de leurs organes virils. Il ne faut pas toucher aux objets exposés; ni avec la main, ni avec le cul.

Ne crayonnez pas des boucles noires sur le pubis des Vénus nues. Si l'artiste représente la déesse sans poils, c'est que Vénus se rasait la motte.

Ne demandez pas au gardien de salle pourquoi l'Hermaphrodite a des couilles et des tétons. Cette question n'est pas de sa compétence.


Aux Champs-Élysées

Si vous avez déjà des tétons, ne vous découvrez pas à droite et à gauche pour donner le sein à votre poupée. Cela est permis aux nourrices, mais non aux petites filles.

N'achetez pas une baguette de cerceau pour vous la planter dans le con devant tout le monde. Faites cela chez vous.

N'entrez pas dans les urinoirs pour voir pisser les messieurs.

Si un vieux satyre vous montre son membre au détour d'une allée, vous n'êtes nullement obligée de lui montrer votre petit con par échange de courtoisie.

Quand vous venez de baiser dans un massif en plein jour, ne vous lavez pas le cul dans le bassin du rond-point. Cela vous ferait remarquer.


Dans la Rue

Donner dix sous à un pauvre parce qu'il n'a pas de pain, c'est parfait; mais lui sucer la queue parce qu'il n'a pas de maîtresse, ce serait trop; on n'y est nullement obligé.

Si vous avez envie de coucher avec un monsieur qui passe, ne lui demandez pas vous-même. Faites lui parler par votre bonne.

Ne vous faites jamais fourrer une lance d'arrosage dans les parties naturelles. Ces instruments-là éjaculent trop fort pour votre petite capacité.

Si vous apercevez, le long d'un trottoir, un étalon violemment amoureux, n'avancez pas la main pour le soulager. Ce n'est pas dans les usages.

Dans une foule compacte, si une main mystérieuse vient vous tâter le cul, écartez franchement les cuisses pour donner des facilités.

Ne dessinez pas des pines sur les murs, même si vous avez un réel talent de dessinatrice.

Ne sucez pas les messieurs dans les pissotières avant 1h du matin.


Dans les boutiques

Si vous vous faites gougnotter par une vendeuse du Louvre dans un salon d'essayage, ne hurlez pas que vous jouissez, cela ferait un scandale affreux.

En sortant des cabinets inodores, ne demandez pas une réduction sous prétexte que vous n'avez fait que vous masturber.

N'entrez jamais dans un bordel pour demander une tribade quand vous n'avez pas vingt francs sur vous.

S'il vous manque un peu de monnaie pour payer votre acquisition, ne proposez pas au marchand de le sucer pour le surplus, surtout si sa femme vous écoute.

N'entrez pas chez un coiffeur de dames en lui demandant effrontément de vous friser les poils du cul.

N'envoyez pas votre godemiché à la mercière pour y faire poser des rubans.


Au théâtre

Ne mettez pas la main sur le pantalon de votre voisin pour voir si le ballet le fait bander.

Si vous remarquez qu'une danseuse a les cheveux blonds et les aisselles noires, ne demandez pas tout haut pourquoi.

Ne dites pas non plus tout haut : "C'est cette grande brune-là qui couche avec papa !" Surtout si madame votre mère vous accompagne.

Même si vous avez des renseignements complets sur les talents de la troupe, ne dites pas pour toute la loge : "Celle-là suce comme une pompe ; elle tue qui elle veut ; et celle d'à côté, elle marche par le cul."

Si vous entendez, dans la pièce, des facéties peu risquées, des allusions, des à-peu-près, ne les expliquez pas aux grandes personnes, même si les grandes personnes ont l'air de ne pas comprendre.

Ne demandez pas non plus pourquoi le beau ténor n'enfile pas la soprano qui chante tout le temps comme si elle mouillait. Cela ne se fait guère sur la scène.

Si le rôle de l'amant est tenu par une femme travestie, ne hurles pas à travers le théâtre : "Sale gousse ! Rince ta langue ! Ous-qu'est ton godemiché ?" et d'autres phrases impertinentes que le public n'entendrait pas sans protestations.


À la mer

En passant auprès d'un monsieur qui se baigne, ne l'empoignez pas par les couilles, quelques facilités qu'offre son costume à vos attouchements. Ne vous branlez pas en faisant la planche, ça se verrait.

Au bain, ne demandez pas aux personnes présentes la permission de faire pipi. Faites-le sans autorisation.

Autant que possible ne vous enfermez pas avec un monsieur dans votre cabine de bain. Entrez-y plutôt avec une jeune fille, qui vous fera minette aussi bien, si ce n'est mieux, et ne vous compromettra pas.

Si vous écrivez des obscénités sur les cloisons de votre cabine, ne les signez pas du nom de la dame qui vous a précédée.

Quand par un interstice des planches, vous apercevez dans la cabine voisine une dame qui se croit seule et qui se branle, ne frappez pas à la cloison en lui demandant "si ça va venir". Au lieu de l'encourager, vous la troubleriez.

Si un monsieur vous demande pourquoi vous ne prenez pas de bain, ne répondez pas : "j'ai mes règles".


À l'hôtel

Ne sonnez pas le maître d'hôtel à onze heures du soir pour lui demander une banane. À cette heure-là, demandez une bougie.

Ne demandez pas à la directrice si la bonne sait faire minette. Interrogez-la vous-même.

Ne vous mettez pas à la fenêtre pour appeler les passants, même si vous avez une grande envie de baiser, et personne pour vous satisfaire.

Vous pouvez regarder par le trou de la serrure pour savoir pourquoi votre maman s'enferme toute seule avec un jeune homme que vous ne connaissez pas, mais gardez-vous de lui crier : "Hardi maman ! ça vient, ça vient !" Au lieu de l'exciter vous apporteriez un trouble regrettable à ses occupations.

Si par le même subterfuge vous surprenez dans une chambre un touriste s'amusant avec une bonne de l'hôtel, il est inutile de le crier dans l'escalier pour avertir la directrice qui, certainement, ne s'en soucie pas.


A la campagne

Ne faites pas annoncer par le tambour de la commune que vous avez perdu votre pucelage. L'homme qui l'a trouvé ne vous le rendra pas.

Rencontrée dans un lieu désert par un cheminot qui vous empoigne, laissez-vous baiser tout de suite. C'est le plus sûr moyen de ne pas être violée.

Ne branlez pas sept ou huit petits paysans dans un verre pour boire le foutre avec du sucre. Cela vous donnerait mauvaise réputation dans le pays.

Devant le jardinier qui arrose la terre pour y faire pousser le gazon, ne vous arrosez pas la motte pour y faire pousser des poils. Il rirait de votre naïveté.


Devoirs envers le prochain

Pénétrez-vous de cette vérité que toutes les personnes présentes, quels que soient leur sexe et leur âge, ont la secrète envie de se faire sucer par vous, mais que la plupart n'oseront pas l'exprimer.

Respectez donc d'abord l'hypocrisie humaine que l'on appelle aussi vertu, et ne dites jamais à un monsieur devant quinze personnes : "Montre-moi ta pine, tu verras ma fente." Il ne vous montrerait certainement pas sa pine.

Si au contraire vous vous arrangez pour être toute seule avec lui, dans un lieu où il soit certain de n'être dérangé par personne, non seulement il vous montrera sa pine, mais il ne s'opposera pas à ce que vous la suciez.

La plupart des conseils qui suivent dérivent des principes précédents.


Devoirs envers votre père

Si monsieur votre père vous dit d'une voix furieuse : "tu n'es plus ma fille !" ne lui répondez pas en rigolant : "Il y a longtemps que je le savais !"

Quand monsieur votre père se présente dans la société qui vous entoure, ne dites pas : "Voilà le cocu !" ou, si vous le dites, dites-le tout bas.

Si vous buvez un verre de bière dans le billard de votre papa, vous ferez mal; et si vous pissez dedans pour qu'on ne s'en aperçoive pas, vous ne ferez qu'aggraver votre faute.

Si vous vous asseyez sur la cuisse gauche de monsieur votre père, ne vous frottez pas le cul sur sa pine pour le faire bander, à moins que vous ne soyez seule avec lui.

Si monsieur votre père vous prie de le sucer, ne dites pas étourdiment que sa pine sent le con de la bonne. Il pourrait se demander d'où vient que vous reconnaissiez cette odeur-là.

Si monsieur votre père vous conduit au bordel pour vous faire gougnotter par des putains habiles, ne donnez pas votre adresse à toutes ces demoiselles pour échanger avec elle des cartes postales. Une petite fille du monde ne doit aller au bordel que dans le plus strict incognito.

Si vous êtes en train de vous branler quand votre père entre dans votre chambre, arrêtez-vous : c'est plus convenable.

Si monsieur votre père daigne éjaculer quelquefois dans votre petite bouche, acceptez cela les yeux baissés, et comme un grand honneur dont vous n'êtes pas digne. Surtout n'allez pas vous en vanter comme une sotte à l'oreille de votre maman.


Devoirs envers votre mère

N'appelez jamais votre mère : "Vieille vache ! Rouchie de pissotière ! Gougnotte à putains ! Foireuse de foutre ! Vérole ambulante ! etc." Ce sont là des expressions qu'il faut laisser au vulgaire.

Ne lui dites jamais non plus : "Je t'emmerde ! Va te faire enculer ! je te chie dans la gueule !"

Et surtout ne lui dites pas : "Tu me sors du cul !" puisque c'est vous au contraire qui sortez du sien.

Le soir quand madame votre mère vient vous border dans votre lit, attendez pour vous branler qu'elle ait quitté la chambre.

Si madame votre mère vous demande qui vous aimez le mieux embrasser, ne répondez pas : "C'est le cul de la bonne."

Quand vous allez chez celui de vos amants qui a l'habitude de vous enculer, ne vous fardez pas le trou du cul dans le cabinet de toilette de madame votre mère, avec le bâton de rouge qui lui sert pour les lèvres.

Ne ceignez pas un godemiché pour enfiler madame votre mère avant qu'elle ne vous en prie.

N'offrez pas à votre maman de jouer un rôle, si petit qu'il soit, dans ses voluptés conjugales. Attendez qu'elle vous le propose.


Devoirs envers votre frère

Rien n'est plus vilain qu'une petite fille qui regarde bander son frère et ne fait rien pour le soulager.

Branlez votre frère dans son lit; mais pas dans le vôtre; cela vous compromettrait.

Quand vous venez de sucer votre frère, ne crachez pas le foutre à la figure de votre institutrice. Si elle allait se plaindre, cela ferait des histoires.

La plupart des petites filles se font dépuceler par leur frère, ce qui offre moins d'inconvénients que l'intervention d'un étranger.

Si votre frère vous monte dessus à 3 h du matin et vous plante gentiment sa pine dans le cul, ne lui répondez pas que vous avez sommeil.


Devoirs envers votre sœur

Le jour où mademoiselle votre sœur ne voit ni son amant ni sa tribade, mettez-lui poliment la main sous les jupes et demandez-lui si elle veut bien se contenter de vous.

Si elle répond qu'elle aime mieux se branler toute seule, retirez-vous discrètement.

Quand mademoiselle votre sœur est en train de pisser, ne lui retirez pas le pot pour la faire pisser par terre; ce serait une farce de mauvais goût.

Lorsqu'elle est à genoux dans sa chemise de nuit et dit ses prières du soir, ne lui fourrez la langue dans le cul que si elle en exprime le désir.

Si vous trouvez un monsieur tout nu dans le lit de mademoiselle votre sœur, n'allez pas le dire à monsieur votre père. La visite n'est pas pour lui.

Si mademoiselle votre sœur a des poils sur la motte avant que vous n'en ayez vous-même, ne les lui arrachez pas sous prétexte que c'est injuste.

Quand mademoiselle votre sœur part pour le bal, n'écrivez pas derrière sa robe : "Enculez-moi, messieurs SVP ". Abstenez-vous de toute inscription de ce genre.

Pendant les fiançailles, ne dites pas à votre futur beau-frère qu'elle a beaucoup de talent pour sucer la queue. Quoiqu'il doive profiter de ce talent intime, le fiancé ne l'apprendrait pas sans quelque mouvement d'humeur.

Si l'on vous demande ce que fait votre sœur dans sa chambre, ne répondez pas qu'elle se branle, même si vous êtes sûre de ce que vous dites.

Ne racontez à personne que mademoiselle votre sœur net son traversin entre ses cuisses, se frotte contre lui et l'appelle Gaston.

Si mademoiselle votre sœur se sert plusieurs fois de votre godemiché sans vouloir vous le rendre, n'allez pas vous plaindre à vos parents. Ne comptez pas non plus sur leur esprit de justice, les jours où elle refuse de vous faire minette. Dans les deux cas vous seriez fouettée.

Ne vous moquez pas de mademoiselle votre sœur, si elle refuse de se faire enculer. Une jeune fille du monde est absolument libre de ne donner qu'un trou à ses amoureux.

Quand votre grande sœur en chemise est à genoux sur le prie-Dieu, ne lui faites pas minette, cela lui donnerait des distractions.


Devoirs envers Dieu

Tous les soirs, avant de vous branler, faites votre prière à genoux.

Admirez la bonté de Dieu qui donne à chaque petite fille un con pour y plonger toutes les pines du monde, et qui pour varier vos plaisirs, vous permet de remplacer la pine par la langue, la langue par le doigt, le con par le cul, et le cul par la bouche.

Remerciez-Le d'avoir créé les carottes pour les petites filles, les bananes pour les jouvencelles, les aubergines pour les jeunes mères, et les betteraves pour les dames mûres.

Bénissez-le d'avoir mis en vous le désir de décharger et créé mille moyens pour en arriver là. Si vous désirez un amant, demandez-le-lui, il vous le donnera. Si c'est une gougnotte qu'il vous faut, dites-le lui sans honte. Dieu lit dans votre cœur. Vous ne sauriez le tromper.

Ne priez pas quand vous êtes toute nue. Mettez une chemise de nuit, ne la relevez ni par-devant ni par-derrière devant les personnes présentes. Si vous portez un godemiché en érection sur votre motte, retirez-le. De même si vous l'avez dans le cul.

Pendant que vous priez à genoux, si quelqu'un profite de cette position pour essayer de vous enculer, ne vous prêtez pas à cette inconvenance.

Avant d'aller communier, si vous sucez quelqu'un, n'avalez pas le foutre, vous ne seriez plus à jeun. mais vous pouvez en boire le vendredi. Le foutre, pas plus que le lait, n'est considéré comme un aliment gras.

Quelques jeunes filles trop surveillées achètent une petite sainte vierge en ivoire poli et s'en servent comme d'un godemiché. C'est un usage condamné par l'Église.

Par contre vous pouvez vous servir d'un cierge à cet effet, pourvu que le cierge ne soit pas béni.

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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