Mardi 29 avril 2 29 /04 /Avr 18:32

C'est le 9 mars 1960 que Klein organise sa pre- miére performance "anthropométrique", à la Galerie internationale d'art contemporain de Maurice d'Arquian à Paris, devant une centaine d'artistes, critiques et collec- tionneurs. Neuf musiciens commence la symphonie monotone "composée de deux parties : un énorme son continu suivi d’un silence aussi énorme et étendu, pourvu d’une dimension illimitée", silence pendant lequel on entendit un spectateur déclaré, paraphrasant le mot de Sacha Guitry, "Oh privilège du génie ! Après un morceau de Klein, le silence qui suit est encore de lui...". Trois modèles se badigeonnent les seins, le ventre et les cuisses de couleur bleue. Elles réalisent ensuite diverses anthropométries, en se plaquant ou se trainant au sol, dont la plus connue est "Anthropométrie de l'époque bleue". Yves Klein, en tenue de soirée, s’y présente en chef de cérémonie, dirigeant à la fois ses violons et les femmes peintes qui laisseront leur trace sur la toile. Cette soirée fut la première manifestation d'u mouvement naissant des "Nouveaux réalistes" qui réunit autour de Pierre Restany et d'Yves Klein, Tinguely, Hains, Arman, Dufrêne, Raysse et Spoerri.

"(...) je me suis servi de pinceaux vivants pour peindre, en d’autres termes du corps nu de modèles vivants enduits de peinture, ces pinceaux vivants étant constamment placés sous mes ordres, du genre : "un petit peu à droite ; et maintenant vers la gauche ; de nouveau un peu à droite", etc. Pour ma part, j’avais résolu le problème du détachement en me maintenant à une distance définie et obligatoire de la surface à peindre (...)

 

 

Inutile de dire que ça m'en touche une sans réveiller l'autre...
Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 29 avril 2 29 /04 /Avr 11:25

BON ANNIVERSAIRE ANGGUN !

Anggun, de son vrai nom Anggun Cipta Sasmi, qui signifie "la Grâce créée dans un rêve", est un chanteuse d'origine indonésienne, aujourd'hui de nationalité française, née le 29 avril 1974.
Elle a connu un succès fulgurant dès l'âge de 14 ans, dans son pays et la région du Sud-Est Asiatique (Indonésie, Malaisie  Singapour). Tout lui réussissait, elle avait monté son propre label, produisait même d'autres artistes, et cela à l'âge de 20 ans. C'est alors qu'elle décida de changer de vie, pour se trouver de nouveaux challenges : une carrière internationale. Partant du principe qu'aucun producteur européen ne viendrait pas la chercher dans son pays, elle fit donc ses valises et s'envola pour l'Europe dès 1994.




Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 12:01

Les seins aboient, la caravane passe...



Vous n'imaginez pas ce que Citroën peut faire pour vous...


Une chatte, une bite... What else ?
Par Michel Debray - Publié dans : Jours - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 11:53
Son site : http://membres.lycos.fr/nathbuz/

Frais, joyeux, décoratif, féminin...



Pas vraiment érotique, juste sensuel, reposant...
Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 27 avril 7 27 /04 /Avr 10:58
Je l'aime comme au premier jour. Ni plus ni moins. Mais mieux...


Par Michel Debray - Publié dans : Jours - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 26 avril 6 26 /04 /Avr 12:50

PICARDIE ERRATIQUE, PICARDIE ÉROTIQUE

OISE - RN 31- ENTRE CLERMONT ET LE BOIS DE LIHUS

Visite du site archéologique de Catenoy. Elle, vêtue légèrement, escarpins vertigineux, maquillage hyperdiscret, se libère de son string de dentelle noire. Lui. Conduisant, la caresse de la main droite. Au Bois de Lihus, sa main trempée rétrograde. Direction RN 17 vers le nord. Estrées-Saint-Denis. Estrées du latin strada signifie longue rue. Se méfier des pandores. Jambes en compas sur la planche de bord. Elle se laisse huiler la moule et lubrifie abondamment, visage impassible au feu rouge. Explosion orgasmique à la sortie du bourg. Arrêt à l'ancienne sucrerie d'Estrées. Elle, visite nue ce chef-d'œuvre d'archéologie industrielle. Lui, film en vidéo, la bite à la main. Contraste étonnant, détonant, de la chair bronzée et de l'acier rougi, rongé. Elle est à la fois sereine (elle vient de jouir et sait qu'elle va jouir encore, son con palpite) et inquiète. Des voix et des abois de chiens se font en-tendre de la courée voisine. Lui. Un filet de liquide préséminal suinte de son méat, trempant son short. Sa respiration se fait haletante sous le poids conjugué de la caméra et de l'excitation. Ses tempes battront au rythme de la grosse veine pénienne. Ils quitteront la RN 17 à Cuvilly.

SOMME - RD 935. Dans le virage de Rollot, elle a explosé sous la caresse inondant le siège de cuir de la voiture. Village traversé, les cuisses serrées sur sa propre mouillure, sur son clito douloureux à force d'être sollicité. Il lui taquine le bout des seins. Elle bondit comme une carpe. Un flot nouveau s'échappe de son sexe. Son cul est barbouillé de sécrétions. Elle le suce dans la traversée de Montdidier. Il n'éjacule pas. Quelques passants troublés croient apercevoir un cul ruisselant à l'avant d'un habitacle de voiture. Ils n'ont pas la berlue. Ils n'ont pas l'habitude non plus... Il l'a forcée à se cambrer, à hisser ses fesses vers le haut tandis qu'elle le savoure comme un sucre d'orge. Lui, flatte en roulant la merveille callipyge. Il enfonce la phalangine de son médius dans le trou du cul lubrifié. Caresse rare qu'elle n'apprécie que longuement et savamment préparée.

ENTRE MONTDIDIER ET MOREUIL

Ils s'arrêtent près d'un champ moissonné fraîchement et le cultivateur a eu l'heureuse idée de disposer ses meules cylindriques de façon suffisamment anarchique en même temps que suffisamment structurée pour que ce champ ressemble à une sorte de monument mégalithique. Loin de la route principale, ils peuvent batifoler dans les chaumes d'or pâle et rosé. Elle se dénude et se faufile entre les cylindres de paille chaude. Le ciel est bleu, l'air presque torride. Il est midi au soleil. La campagne est déserte. Elle s'allonge sur sa robe fendue. Elle écarte les cuisses à la convoitise de son regard à lui. Elle se caresse doucement tandis qu'agenouillé près d'elle, il va chercher dans ses reins de quoi l'inonder. Elle s'amuse du doigt des filaments de mucus qui s'échappent de leur sexe. Elle tisse entre la vulve et le gland un pont fragile et gluant. Enfin, à sa demande, il lui pisse sur le ventre, le pubis et la vulve. Elle gémit doucement. A son tour, elle laisse monter vers lui un jet dru et sonore dont il trouve à s'emperler la moustache. Sur la petite route qui les ramène à la voiture garée près d'un hangar, elle soulève sa robe et laisse au vent léger le soin de sécher son entrecuisse. Elle rit en tortillant des hanches. Il la suit de loin. Caméra au poing, il zoome plus clôt sur un fondu au noir.

AMIENS

Les hortillonnages en se branlant. Elle mange une pêche dégoulinante, la main sur sa chatte tiède tandis qu'il filme le viaduc Jules Verne de Camon, alors en voie d'achèvement. La caméra est ensuite fixée à l'arrière et filme un petit bout du Pré Porus. Ils se branlottent à la douce. Il évite de secouer la voiture lorsqu'il passe les vitesses. Exactement le contraire de ce qu'il fera tout à l'heure, quand elle se sera introduit dans le vagin, aux alentours de Quevauvilliers, des boules de geisha. Cathédrale Notre-Dame. Il prend des photos. Elle passe son buste à l'extérieur du véhicule. En s'asseyant sur le bord de la portière. Ses jambes, à l'intérieur de l'habitacle, sont écartées. Il pose son appareil et enfonce son visage dans la mousse odorante. Il la fait glousser d'un coup de langue vertical, profond, imparable, du bouton frémissant à l'œil brun plissé sur un sourire aux multiples commis-sures.

SOMME - RN 29 ENTRE AMIENS ET POIX DE PICARDIE

Sur la droite, un chemin pierreux monte vers une carrière de cran. Puis une petite route. Une ferme terminus où un chien aboie comme un perdu. Elle est vêtue de son collier de perles. Il fait demi-tour dans la cour de la ferme. Le chien aboie. Les oies nasillent, les culs terreux nazillent, la vieille mère hiératique chausse ses lunettes. Ils ont eu un peu peur. Elle se cramponne à sa verge pour affronter l'hostilité des lieux. Ils s'enfuient dans un tourbillon de poussière et de rauquements. Une emblavure moissonnée domine l'étendue. Vers le sud-ouest, le soleil doucement amorce son début de déclin. La lumière est orange. Elle est nue sur un plaid bleu. Le ronflement de la route de Rouen a la couleur mauve de l'horizon. Au sud, les peupliers de la RN1 se détachent sur l'horizon. Ils se sont mis à l'abri relatif d'une pièce de maïs desséché. Elle joue avec les boules qui occupent le volume tumultueux de son vagin. Sa vulve jongle littéralement. Elle expulse doucement une boule de plastique blanc dans laquelle roule une bille d'acier chahuteuse. Son con la ré-ingurgite. La fait réapparaître à moitié. L'absorbe encore. Lui, cependant, la tête avec opiniâtreté. Elle feule. Les boules jaillissent dans un spasme ravageur. Il enfonce deux doigts dans la conque gonflée. Elle hurle sous le soleil. Il pompe ses tétons avec une avidité de poulpe. Elle le supplie de la pénétrer. Il s'enfonce dans une béatitude mouillée. Elle coule sur ses couilles. Il sent le soleil lui chauffer les reins. Il jouit, crémeux et compact.

SOMME - VALLÉE DE LA SELLE - AU-DESSUS DE CONTY

Elle porte une longue robe violette sous laquelle elle est nue. Il l'a troussée jusqu'à la taille et la caresse depuis Saleux. Ils cherchent un coin pour s'arrêter mais n'aiment pas les sous-bois humides. Ils préfèrent la lumière et la chaleur des plateaux crayeux. Elle se retient d'éclater vraiment. Elle se mord les lèvres tandis qu'il conduit d'une main et traverse les villages immergés dans la torpeur vespérale. Elle fume une cigarette tandis que son bourgeon gonflé comme un pois chiche quête un contact qu'elle sait devenir irréversible. Il quitte la route et s'engage sur un chemin de lisière. Ils descendent de la voiture. Tremblants d'excitation. Il met sa poitrine à nu… l'entraîne sous le couvert, la force à s'accroupir. Son sexe est gonflé comme une outre. Il introduit un doigt et le sent couler abondamment dans sa paume en cuvette. Elle s'éjecte de la robe moulante qui l'entrave. Se réaccroupit. Lui, debout, se donne à lécher. Elle happe la grosse fève cardinale. Elle se fouille en pompant la verge trapue. Il lui pince le bout des seins. Il jouit dans sa bouche incandescente. Alors, foudroyée par un mascaret d'orgasmes en rafale, elle urine longuement. L'humus du sous-bois absorbe vite cette pluie aux odeurs d'asperge. Elle tremble. Il se tourne pour pisser dans les fougères. Elle saisit la verge encore épaisse et, d'une main, écrit un "Je t'aime" liquide sur la couverture végétale.

OISE – COMPIÈGNE - RN 31

Ils ont dîné au Mandarin, le restaurant chinois de la route de Pierrefonds. Elle porte une robe noire à volants, une parure noire, des bas caramels. Son slip est dans la boîte à gants. Ils roulent dans la cité impériale déserte. Il lui demande de se masturber. Elle ne tarde pas à couler. Il la saborde d’un index ravageur, à l’arrêt d’un feu rouge. Elle gît au bas de son siège, retenue par une ceinture de sécurité dérisoire.

A Venette, elle se remet  d’aplomb. Il lui faut prendre de l’essence. Il lui dit de « maintenir la pression ». A moins de cinq mètres du pompiste enfermé dans sa guérite, elle s’ouvre, les jambes posées sur le tableau de bord. Lui, fait le plein. Libre service. Elle se fouille en regardant au loin. Il la contemple un instant avant d’aller remplir son chèque. Il réintègre la voiture. Il lui demande d’ôter sa robe. Elle s’exécute. Son soutien gorge noir est purement décoratif. Avant de mettre le contact, il vérifie la suavité de sa chatte gorgée de sucs. Elle suinte mille liqueurs qu’il renifle sur son médius et suce enfin avec un sourire satisfait…

Moteur.

 

SOMME – RN 1 Entre AMIENS et BRETEUIL sur NOYE

Les leviers de vitesse sont d’au moins trois types.

Poignée en forme de T (SM Citroën-Maserati, par exemple) à l’usage des amateurs de sensations très fortes, du genre poing fermé dans les conduits, encore appelé fist-fucking par les Barbares.

Poignée sphérique. Diamètre 5 cm. Levier au plancher. La pénétration doit se faire à l’arrêt. Les sièges avant reculés au maximum. Les secrétions sont recueillies dans le fourre-tout situé dans le rail central, entre les deux passagers. Lui, installé sur le dossier du siège conducteur (en position couchette) peut exciter le clitoris de sa passagère d’un orteil délicat. Opération à réaliser de préférence en GSA Break, entre l’aéroport de BEAUVAIS-TIL et RIEUX.

Poignée en forme de petite poire (diamètre maximum 35 millimètres). Levier au volant. La passagère peut happer la manette à condition de rouler en quatrième (en troisième sur les anciens modèles Peugeot). Le conducteur peut choisir une route au revêtement légèrement ondulé. Les secousses transmises au levier de vitesse  enchâssé dans la chatte feront merveille. Éviter toutefois les nids de poule ou les routes en totale réfection.

Les lignes droites de la RN1 sont particulièrement propices à cette forme heureuse de masturbation. Diurne, ce jeu innocent risque fort de troubler les braves camionneurs. Se détourner cependant des campagnes betteravières où les chaussées sont par trop glissantes…

La variante anale du jeu doit être impérativement interprétée à l’arrêt, toujours en quatrième ou en seconde sur véhicule Citroën DS à boîte mécanique. Le choix du rapport dépend de la longueur du périnée de la passagère…

Michel DEBRAY (Paru dans LEUP-WEROU n°4 - 1986-1987)

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 26 avril 6 26 /04 /Avr 12:24

En explorant mes fichiers temporaires Internet... la suite, avec une jolie Camila, flexible et expressive.


Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 25 avril 5 25 /04 /Avr 19:48



Images reçues de la jeune beauté...
Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 25 avril 5 25 /04 /Avr 14:19



Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 25 avril 5 25 /04 /Avr 14:13
Portugal. 25 avril 1974.
Début de la Révolution des Oeillets.
Plus tard le socialiste Mario Soares, devenu président de la république fera incarcérer Otello de Carvaho, principal acteur de la révolution pour gauchisme.


Par Michel Debray - Publié dans : Jours
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