Samedi 20 septembre 6 20 /09 /Sep 12:41

Sous ce vocable travaillent deux artistes :
Anthony Christian and Marian "Fanny" Christian.
Ce sont des détourneurs de sujets académiques
et c'est à la fois drôle et techniquement réussi.




http://www.anthonychristian.co.uk/ehoneypotter.html

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 14:29
Martine est un cybermodèle.

Si vous allez voir Nicole et la Flûte enchantée, Nicole Gravide, vous verrez un vrai modèle que j'ai photographié moi-même et qui a suscité des toiles. Pareil pour Sandrine.

Nicole, qui posait pour la première fois (la flûte) a été magnifique de naturel et d'érotisme. Il y a eu ensuite une série avec Nicole Gravide.

Il y en a eu d'autres mais toutes n'ont pas souhaité voir ces photos publiées.
J'ai donc accepté ce pacte.
 
Les cybermodèles sont des modèles inconnus que je rencontre sur le Net et qui m'envoient des photos.

Dans tous les cas, je choisis, en concertation avec le modèle, je réalise une ou plusieurs toiles.
Si la toile plaît le modèle peut l'acquérir.

M.D.










Autres photos sur le site
http://m_debray.club.fr/CYBERMODELES3/page49.htm
Par Michel Debray - Publié dans : Cybermodèles - Communauté : chaude&caline
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Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 14:31

Lee Miller (1908 - 1977). Cette égérie du surréalisme fut tour à tour modèle, assistante et photographe. Elle est l'une des artistes les plus méconnue de son époque. Le milieu de la photographie ne retient que de trop rares noms au féminin pluriel.Outre les Dora Maar, Berenice Abbott, Germaine Krull, Bettina Rheims, s'il l'on ne considère que la période de l'entre-deux-guerre, Paris a connu pas moins d'une trentaine de femmes photographes ayant laissé un travail admirable dans les 2 métiers distincts que sont le reportage et le studio. Lee Miller est née en 1908 à Pougkeepsie dans l'état de New York. Elle est mise très tôt en contact avec la photographie par son père qui la prend pour modèle. Elle posera pour des centaines de nus dans la maison familiale.

1924- 1929, Ses débuts chez Vogue, New-York. A une époque où le talent féminin commençait à être reconnu par le monde de la photographie, le tout favorisé par l'essor de la presse illustrée et del a publicité, Condé-Nast l'introduit dans le milieu de la mode New-York aise, nous sommes en 1924. L'année suivante elle est mannequin vedette de vogue. Elle devient très vite le modèle favoris de nombreux photographes tels que Horst P. Horst, Steichen, Hoyningen-Huene, Arnold Genthe, et Man Ray. Et Lee de déclarer un jour : "J'étais vraiement terriblement, terriblement jolie, je ressemblais à un ange, mais au fond de moi, j'étais un démon.". En décembre, 1928, Miller est heureuse de casser un tabou, en étant le premier modèle pour une publicité d'hygiène menstruelle. Edward Steichen pris cette photographie de Lee pour Kotex. La publicité parue pour la première fois dans "McCall's magazine" en juillet 1928.



1929 - 1932, La période surréaliste. On retient de cette blonde à l'air enfantin, qu'elle fut le modèle, l'assistante, et la maîtresse de Man Ray. En 1929 elle vint à Paris et travailla donc pour le photographe surréaliste, et son succès fit qu'elle ouvrit son propre studio. Elle devint une photographe portraitiste et de mode très appréciée, mais le plus gros de son travail elle le fera influencée par le milieu surréaliste. Elle réalise des photographies dans "l'ambiance surréalisante", et s'essaye à la solarisation. La petite histoire raconte que l'assistante découvrit par hasard le procédé de solarisation, popularisé par Man Ray. La grande histoire en attribua la paternité à ce dernier. En 1931, elle participe à l'exposition "La publicité par la photographie" à la Galerie d'Art Contemporain. Cette même année elle incarne une statue dans le film "Le Sang du poète" de Cocteau.






Selon certains témoins, cette photo, signée Man Ray, serait en réaliré un autoportrait réalisé avec un retardateur. Cette image a inspiré de nombreux artistes connus et inconnus...

 

...

1944, La seule femme correspondante de guerre. En 1944 elle devint une correspondante accréditée par l'US Army, et fit équipe avec le photographe de Time Life, David E. Scherman . Elle suivra les troupes américaines lors du débarquement du 'D' Day + 20. Elle fut probablement la seule femme correspondante de guerre de l'armée américaine, à couvrir la guerre en Europe. Elle découvrira l'Allemagne exsangue, une partie de son travail oscille entre 'étrangeté surréalisante, et une description hyperréaliste de la mort. Elle assistera au siège de St Malo, à la Libération de Paris, aux combats au Luxembourg et en Alsace, à la jonction de l'armée Russe et Américaine à Torgau, à la libération des camps de concentration de Buchenwald et Dachau. Elle logera avec les troupes dans la maison de Hitler, de Eva Braun, à Munich. La veille de la reddition de l'Allemagne, elle photographiera à Berchtesgaden, la maison "Wachenfeld" de Hitler en flammes .Puis suivant toujours les troupes alliés jusqu'au plus profond de l'Europe de l'est, elle photographiera à Vienne de navrantes scènes d'enfants agonisant, la rustre vie de l'après guerre en Hongrie, l' exécution du premier ministre Lazlo Bardossy.

Lee Miller dans la baignoire de Hitler au moment de la chute de Berlin en 1945




1945, l'étincelle créatrice a disparue
. Après la guerre elle continuera à travailler pour Vogue encore 2 ans. En 1947 elle se mariera avec Roland Penrose et emmènera sa contribution à la réalisation des biographies de Picasso, Miro, Man Ray et Tapies. Quelques uns de ses portraits réalisés par des artistes de renom tels que Picasso restent parmi les plus beaux de l'art pictural du xxème siècle. Elle cessera toute activité photographique vers 1948, pour écrire des livres de cuisine. On ose imaginer comme il a du être difficile pour la photographe de couvrir les événements de la mode et les apparitions de célébrités, après avoir emmené sa pierre au mouvement surréaliste, photographié la souffrance et les horreurs de la guerre. Elle meurt en 1977, à Farley Farm dans le Sussex, laissant derrière elle un travail photographique remarquable, l'image d'une femme audacieuse, courageuse "refusant d'être figée dans sa beauté" (Irène Frain), et un fils A. Penrose qui lui consacrera plusieurs biographies. C'est principalement par ses photographies surréalistes pleines d'esprit qui lui permirent d'être reconnue comme une artiste à part entière.

Lee Miller par Picasso

Lee Miller - Autoportrait


Source : http://www.photo.mattfx.net/pages/pfemme.html

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 17 septembre 3 17 /09 /Sep 12:23

 

CHER eBAY

Raison de ma résiliation.

J'ai été censuré sur eBay pour avoir mis en vente cette toile :

 



Sur e-Bay, ce jour, je découvre la toile ci-dessous mise en vente par Pascal Patagon
.


J'aimerais connaître ce qui motive la censure de ma toile, plutôt naturaliste (un sexe féminin est visible)
alors que cette scène SM de ligotage et bâillonnage passe - semble-t-il - sans problème ainsi que des gravures ou figurines représentant la copulation. - MERCI

PS - Est-il possible d'exposer sur eBay les dessins et toiles d'Egon Schiele, par exemple ?

M.D.
 
      

La réponse a été que la représentation du sexe était interdite. On peut cependant montrer et vendre des godes...  Concernant Egon Schiele, les imbéciles puritains d'e-Bay ont répondu à côté (il est vrai que ma question était élliptique !) en disant qu'il était interdit de vendre des faux sans les signaler comme copie.
La question demeure donc entière : peut-on vendre sur e-Bay ces toiles (vraies) de Schiele où l'on voit manifestement des sexe féminins si l'on en est le propriétaire légal ?

______________

Les censeurs d'e-Bay récidivent régulièrement.
Ainsi
DIAVOLITO en a été lui aussi victime avec ses aquarelles de nus masculins (qu'il réussit beaucoup mieux que ses nudités féminines...)

J'ajoute ce 3 octobre qu'il m'a écrit ceci :

"mes peintures
Diavolito
Bonsoir, en me citant et en reproduisant mes peintures, il aurait été sympa de me demander mon avis et accessoirement de publier l'adresse de mon blog! merci pour votre répone , cordialement Diavolito"

Je ne l'ai pas cité mais j'ai réagi à un acte de censure.
J'ai publié l'adresse de son blog comme le montre le paragraphe originel ci-dessus.
En vérité ce monsieur n'a pas supporté que je critique ses nus féminins.
J'ai donc retiré ses images. 
Maintenant, allez sur son site et essayez d'y déposer un message.
Vous constaterez que ce n'est pas évident. Bon vent à ce monsieur.

 J'ajoute que j'ai reçu des propositions pour un vieux tracteur agricole américain que je n'ai évidemment jamais mis en vente et que je n'ai jamais vendu une seule toile sur e-Bay ni sur un autre site d'enchères !
Ce qui marche, ce sont les contacts personnels en réel ou sur le Net...

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 14:51

J'ai un faible pour les femmes-femmes, les femmes qui ont un certain vécu, une certaines patine...





« .

 

« La jeune fille, ce qu’elle est en réalité, une petite sotte et une petite salope : la plus grande imbécillité unie à la plus grande dépravation. »

 

Charles BAUDELAIRE - Journaux intimes (1887), Mon coeur mis à nu.


Heureusement, depuis, elles ont fait des progès considérables ! 

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 18:29

Ce site, gratuit au départ, est consacré à une Asiatique atypique, souriante sauf quand elle jouit, phtographiée et filmée dans les situations érotiques les plus étonnantes.

De faible gabarit, dotée de seins menus aux tétons très étirés, d'un buisson pubien aux longs poils de jais, cette aimable Orientale est capable de boire ses sécrétions à la pipette ! Elle a encore bien d'autres talents...

Le site
http://www.myfunasianwife.com/Galleries/galleries.htm depuis est devenu payant mais on trouve encore des images gratuites de petit format.

Voici ce que j'ai pu, naguère, récupérer...


























Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Samedi 13 septembre 6 13 /09 /Sep 12:56


Comme de coutume, lorsqu'elle publia La vie sexuelle de Catherine M., nombre de critiques blasés de tout tombèrent sur le joli râble de Catherine Millet, mettant en cause sa qualité d'écrivaine. Parallèlement, Jacques Henric, son mari, sortait Légendes de Catherine M., avec des photos de la belle.

Catherine Millet sort cette rentrée Jour de souffrance où elle analyse sa propre jalousie losqu'elle découvre les infidélités de son époux. Cette fois, la presse est presque unanime : Catherine Millet est une véritable écrivaine.




Catherine Breillat - véritablement malade de la tête - provoquait l'ire des bigots de la "chose" avec son film Romance X. Ce n'est pas Rocco Siffredi qui émut aux larmes vaginales la femme de ma vie mais mais la scène de bondage infligé par l'impassible François Berléand à l'héroïne jouée par Caroline Ducey...
A l'inverse j'étais mal à l'aise devant ce spectacle.
Va comprendre Charles...



De la même façon ma compagne était en eau à la lecture des escapades sexuelles de Catherine M. et son sexe adora itou La femme de papier de Françoise Rey ainsi que Le bandeau de l'ami Jean-François Mopin...




Aussi pour moi, un livre, un film, une oeuvre qui fait mouiller une femme ne peut pas être mauvais...


L'entretien de Jérôme Garcin avec Catherine Millet est aussi visible sur AMOURS PLURIELLES 

Et voici pour finir un article LA VERITE CRUE, consacrée à trois écrivaines "impudiques" que les petits marquis de l'impuissance critique ont éreintées en leur temps : http://www.peripheries.net/article251.html

Bon, je reviens d'ici peu avec du cul pur et dur car finalement il n'y a que ça qui vous intéresse !

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 11 septembre 4 11 /09 /Sep 17:53
Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 11 septembre 4 11 /09 /Sep 14:59
Les précédentes pages d'autoportraits sont ICI



















Photos trouvées sur VoyeurWeb

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Photos érotiques
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Mercredi 10 septembre 3 10 /09 /Sep 12:25

Je déteste BHL, le philosophe du BHV médiatique, milliardaire, bidonneur de reportages à la con, idéologue de l'ultra-libéralisme, poseur, narcissique, bref je déteste celui que l'entarteur Noël Godin range sous le vocable admirable de "pompeux cornichon".

Mais j'ai beaucoup de tendresse pour son épouse (chacun est libre de son cul n'est-ce pas ?) Arielle Dombasle et ceci depuis fort longtemps.



A l'époque où fleurit la grossièreté, Arielle apporte avec un style et un corps qu'elle s'est littéralement forgés une touche fraîche d'élégance un peu outrée, une politesse fort civile dont l'époque est très chiche, une auto-dérision que certaines et certains feraient bien d'imiter.



A l'époque où Rohmer tourne l'incroyable Perceval le Gallois avec Dombasle et Luchini, la belle n'est pas la pin-up qu'elle est encore aujourdhui à 50 ans. La bouche très fine, les seins petits, le nez légèrement torve, Arielle est une comédienne blonde qu'on remarque précisément à cause de son phrasé particulier dû à ses origines hispano-américano-françaises.



La métamorphose corporelle achevée, elle tourne les Pyramides bleues où elle expose son corps remodelé.



J'aime Arielle Dombasle parce qu'elle est libre. Parce qu'elle ose. Tourner avec Klaus Kinski dans une adaptation japonaise d'Histoire d'O : Les Fruits de la passion en 1981 ne devait être facile quand on connaît la réputation sulfureuse de Kinski.
Je regrette du reste qu'elle ne signale pas cette oeuvre (médiocre) dans sa filmographie "officielle".

http://www.dailymotion.com/related/x2xupp_damien-baize-avec-arielle-dombasle_fun/video/x36vr0_arielle-dombasle-et-klaus-kinski_sexy



Arielle Dombasle et Klaus Kinski
par tinareo


Si elle est l'une des actrices fétiches d'Eric Rohmer, Arielle Dombasle tourne avec Polanski, Robe-Grillet, Raul Ruiz, entre autres.

J'ai particulièrement aimé Les Infortunes de la beauté de J. Lvof qui traite avec bonheur de la problématique de la relation peintre/modèle.

Chanteuse baroque, ses disques sont attachants à cause ou malgré une légère fausseté de voix. Meneuse de revue chez Jérôme Savary, Dombasle après avoir réalisé une émission spéciale Professeur Choron sur le Canal + de la grande époque affiche avec brio sa beauté mature au Crazy Horse Saloon en 2007.


Son site : http://www.arielle-dombasle.net/








EXTRAIT DU FILM
Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Art' sex
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