Mercredi 15 octobre
3
15
/10
/Oct
14:05
Anne
Anne de Bretagne 2 - Huile sur toile - 61 sur 46 cm

Julie Flamenca 2 - Huile sur toile - 61 sur 46 cm
http://perso.club-internet.fr/m_debray/PEINTURES/index.htm
Par Michel Debray
-
Publié dans : Couleurs
-
2
Mardi 14 octobre
2
14
/10
/Oct
14:30
Par Michel Debray
-
Publié dans : Formes et lumières
-
2
Vendredi 10 octobre
5
10
/10
/Oct
15:24
Même si j'envie le confort testiculaire que peut offrir le kilt, les joueurs de cornemuse écosssais ne sont pas - vous l'aurez compris - précisément ma cup of tea !
On peut cependant concevoir que nos compagnes craquent pour l'excellent et élégantissime Sean Connery.
A la vérité, la jupette écossaise n'est pas un vrai kilt, elle ne fait qu'en reprendre le motif du tartan et l'aspect plissé. Parfois une breloque, une chaînette,
un médaillon de ceinture rappellent l'ornement traditionnel du vrai kilt.
Attention ! portée par une femme, la jupe-kilt mi-longue, avec un chemisier blanc et des talons plats peut faire tomber votre spermatogenèse de 75 % !
La jupette écossaise vous donne un petit air de Lolita, certes, mais surtout met en valeur le galbe des jambes si elle est portée avec des escarpîns. Des guêtres dans le même tissu que la jupe
peuvent apporter confort des chevilles et une once savoureuse de féminité. Certaines mettent des scoquettes blanches ou des mi-bas accentuant ainsi l'aspect nymphette.
Géraldine sur Rabbitfinger
Vue sur VoyeurWeb
Caro sur RabbitFinger
RIDEAU !
Par Michel Debray
-
Publié dans : Formes et lumières
-
5
Jeudi 9 octobre
4
09
/10
/Oct
12:37
INVITATION
A l’occasion des Portes Ouvertes des ateliers
d’artistes de Montreuil,
GRANDE VENTE DE P.O.P (Petites Oeuvres à
Porter)
et bien d’autres surprises......
doudousex , laques, peintures,dessins, sculptures, soldabites, ventres en tout genre, soldabêtes, grandes oeuvres et petits formats, pour rire ou s’émouvoir et........ s’enrichir en krackant de 1à1000000000000
euros.
(DOLLARS ACCEPTÉS)
Invitées: Stephanie Maï-Hanus, plasticienne ,Do Thienard, chanteuse lyrique
Par Michel Debray
-
Publié dans : Coeur
-
0
Jeudi 9 octobre
4
09
/10
/Oct
12:11
Bon, je présente ça autrement.
Dans la Grande Halle de la Villette du 10 au 15 octobre de 10h à 22h,
on peut voir les œuvres d’une sélection de jeunes artistes,
dont les miennes : les films, le CD-ROM, la perf de l’an 2000 en intégralité –
bref, une rétrospective.
Il y aura également des photos de moi shootées par des professionnels de la profession.
Je serai présente pendant toute la durée de l’expo.
C’est donc l’occasion de venir m’entretenir un peu si tu en rêves depuis si longtemps et que tu ne sais pas comment faire.
J
Pour mettre un peu de vie dans tout ça, je vais exécuter une petite perf deux fois.
Une première fois DEMAIN vendredi 10 à 20h00.
Une seconde fois SAMEDI 11 à 18h00.
On ne peut être plus clair.
C’est tout.
Ah, non…
Viens !
PAF : 5 €
Par Michel Debray
-
Publié dans : Coeur
-
1
Mercredi 8 octobre
3
08
/10
/Oct
12:27
Par Michel Debray
-
Publié dans : Formes et lumières
-
4
Lundi 6 octobre
1
06
/10
/Oct
11:47
Née en 1957, Christine Boisson est pour moi l'une des actrices les plus érotiques du cinéma français.
Se présentant dans une agence de mannequin, Christine Boisson est remarquée par Just Jaeckin, alors photographe, qui lui offre son premier rôle dans Emmanuelle en 1974. Après
quelques rôles secondaires la cantonnant souvent à se dénuder, elle s'inscrit en 1976 au Conservatoire d'Art Dramatique de Paris. Bien décidée à apprendre son métier d'actrice, elle préfère
alors se consacrer au théâtre.
De retour au cinéma en 1980, elle se révèle aux côtés de Gérard Lanvin en incarnant l'indépendante chauffeur de taxi Cora dans Extérieur nuit de Jacques Bral. Evitant la
facilité, les choix de Christine Boisson la portent vers des films plutôt sombres et confidentiels comme Identification d'une femme (1981, Michelangelo Antonioni) et Rue
barbare (1983, Gilles Béhat), qui lui fait remporter le Prix Romy Schneider en 1984.
Les années 90 arrivant, Christine Boisson tourne de plus en plus régulièrement avec des cinéastes déjà confirmés mais sans pour autant viser l'assurance d'un succès commercial. Elle se retrouve
ainsi devant les caméras de Yves Boisset (1988, Radio corbeau), Claude Lelouch (1990, Il y a des jours... et des lunes) et Elie Chouraqui (1993, Les
Marmottes) ; ou encore celles de la nouvelle vague contemporaine comme Olivier Assayas (1993, Une nouvelle vie), Laetitia Masson (1999, Love me) ou
Jeanne Labrune à la télévision.
Elle sauve par sa maturité éclatante la Mécanique des femmes (vidéo) de
Jérôme de Missolz d'après Louis Calaferte.
Sa voix un peu rauque et voilée, son côté félin, son corps souple et menu lui confèrent une grâce et une présence exceptionnelles. Du reste Christine Boisson est rare médiatiquement : ce qui
renforce son mystère.
(Doc. Allociné)
Par Michel Debray
-
Publié dans : Toiles
-
2
Vendredi 3 octobre
5
03
/10
/Oct
15:20
Par Michel Debray
-
Publié dans : Formes et lumières
-
3
Vendredi 3 octobre
5
03
/10
/Oct
13:15
24/09/2008 - Photos de seins : un crime, en France ?
Pour avoir osé envoyer quatre cartes postales représentant des seins nus, l'artiste de mail-art Philippe Pissier est aujourd'hui
passible de trois ans d'emprisonnement. Il est accusé de trouble à l'ordre public.
Le mail-art est une forme d'art qui consiste à envoyer des oeuvres d'art par la Poste. En juin 2008, l'artiste Philippe Pissier est invité à participer à une exposition de mail-art érotique en
Allemagne. Il envoie donc, dûment timbrées, quatre cartes postales représentant - attention, attention - le buste d'une jolie femme. Détail fatal : elle porte sur chaque sein non pas des piercings
mais des pinces à linge... Saisi d'une vertueuse indignation, le centre de tri postal porte immédiatement plainte.
Estimant, sans doute elle aussi, que des images de poitrine féminine sont pornographiques, Isabelle Ardeef, substitut du procureur de la République de Cahors, ordonne une enquête préliminaire.
Convoqué à la gendarmerie, Philippe Pissier apprend qu'il est passible de trois ans d'emprisonnement et de 175.000 euros d'amende, en vertu de l'article 227-24 du code pénal. Motif : trouble à
l'ordre public et mise en danger du psychisme des enfants par une oeuvre pornographique.
Philippe Pissier proteste: "Je suis majeur, les employés du centre de tri postal sont majeurs, le facteur est majeur et le destinataire est majeur. Je ne vois pas où est le problème." Le voilà
pourtant perquisitionné à son domicile. Le 3 juillet, la brigade de recherche de Cahors emporte son ordinateur et quelques dizaines de ses oeuvres. Depuis... rien. Philippe Pissier, privé de son
outil de travail, attend de savoir ce que la justice française lui réserve.
Le 11 septembre, un journal local - L'Echo - titre ironiquement : "Un dangereux artiste démasqué dans le Lot": "Si une telle image mobilise à ce point les forces de l'ordre, à quoi doivent
s'attendre les maisons de la presse, kiosques à journaux, galeries de peinture et musées, où la nudité dépasse souvent abondamment la mise en image d'une paire de seins, même ornée de pinces à
linge." Le journaliste rappelle avec justesse qu'à une certaine époque les papes faisaient mettre des slips aux statues et aux anges des fresques.
Dans la Dépêche du Midi, un confrère, Florian Moutafian, s'interroge avec angoisse : "Va-t-on fermer les musées, les maisons de la presse et arrêter les pubs pour le gel douche (avec poitrines
apparentes bien plus accessibles aux mineurs)?". Maître Baduel, l'avocat de Philippe Pissier, trouve la plaisanterie moins drôle : "Il faut se demander si la shariah est applicable à Cahors,
dit-il. Je peux comprendre qu'à Dubai on conseille aux touristes d'éviter le monokini, mais en France? Sommes-nous donc maintenant en terre d'islam?"
Au tribunal de Cahors, ni le président ni le procureur de la République ne semblent au courant de l'affaire. Le substitut, Isabelle Ardeef, refuse de communiquer. Officiellement, "l'enquête suit
son cours." Une enquête qui, probablement, amènera les autorités à interdire non seulement les cartes postales grivoises (en vente partout sur notre territoire) mais l'allaitement au sein (une
forme sournoise et rampante de pédophilie, à coup sûr). Les mères ne sont-elles pas coupables de montrer leurs seins nus à de si jeunes âmes? Scandale épouvantable, elles se font même titiller les
tétons par leur propre progéniture, dans le but - soyons-en certains - de se procurer d'inavouables sensations.
Si vous aussi vous voulez participer de cette grande oeuvre de restauration morale, je vous
suggère d'encourager les autorités à combattre les seins nus. Envoyez vos encouragements au TGI de Cahors sous la forme d'une carte postale. Une suggestion au hasard : envoyez la reproduction de ce
chef d'oeuvre de l'école de Fontainebleau - Gabrielle d'Estrées - montrant la belle Gaby se faire pincer un téton par sa soeur.
Ce tableau est en libre accès au Louvre où tous les enfants peuvent le voir. La Poste portera-t-elle plainte contre vous? Les gendarmes viendront-ils perquisitionner à votre domicile? L'enquête
prendra-t-elle un an? ou deux? Récupérerez-vous votre ordinateur en état de marche après avoir purgé votre peine? Cela peut sembler ahurissant - de la science fiction - et pourtant... Cela se passe
en France en ce moment.
Philippe Pissier chez cARTed :
http://www.carted.eu/cartes/j157/15905.htm
Vous pouvez réagir à l'article :
http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2008/09/photos-de-seins.html
cARTed t'invite donc à acheter une petite carte postale avec des seins nus chez ton marchand de
journaux ou les boutiques de tes musées et à l'envoyer avec tes amitiés à :
Isabelle Ardeef
Substitut du Procureur de la République
Tribunal de Grande Instance
Boulevard Léon Gambetta
46000 CAHORS
Transmis par Manuel VAZ
Article précédent sur ce blog
Par Michel Debray
-
Publié dans : Jours
-
0
Jeudi 2 octobre
4
02
/10
/Oct
11:58
GOOD BYE MARYLOU - Michel Polnareff
Quand l'écran s'allume je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu'on se dit avec les doigts
Et j'envoie dans la nuit
Un message pour celle qui
Me répondra OK pour un rendez-vous
Message électrique quand elle m'électronique
Je reçois sur mon écran tout son roman
On s'approche en multi
Et je l'attire en duo
Après OK elle me code Marylou
Goodbye Marylou,Goodbye...
Quand j'ai caressé son nom sur mon écran
Je me tape Marylou sur mon clavier
Quand elle se déshabille
Je lui mets avec les doigts
Message reçu OK code Marylou
Quand la nuit se lève et couche avec le jour
La lumière vient du clavier de Marylou
Je m'envoie son pseudo
Mais c'est elle qui me reçoit
Jusqu'au petit jour on se dit tout de nous
Goodbye Marylou,Goodbye...
Quand l'écran s'allume je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu'on se dit avec les doigts
Et j'envoie dans la nuit
Un message pour celle qui
A répondu OK pour un rendez-vous
Goodbye Marylou,Goodbye...
Ecrite au début des années 90 cette chanson est, si j'en crois mes informations, la première à traiter de l'amour électronique.
Internet commençait à peine à se populariser mais le Minitel rose existait depuis 1985.
Depuis, elle semble ne pas encore eu de "suiveuses".
Si vous connaissez un texte sur le sujet, n'hésitez pas à m'en faire part.
Par Michel Debray
-
Publié dans : Prénoms
1
Derniers Commentaires