Lundi 3 novembre 1 03 /11 /Nov 11:38

Emission radio libertaire 13 novembre 2008

 
RADIO LIBERTAIRE 13 novembre Entre chiens et Loups 20h 30 22h
Région parisienne 89.4
Internet MP3 qualité ADSL :
http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib.m3u
MP3 qualité modem : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib-modem.m3u
OGG qualité ADSL : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib.ogg.m3u
OGG qualité modem : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib-low.ogg.m3u

André Robèr anime l’émission
Actualité de l’érotisme et du libertinage

avec Michel Debray, peintre érotique
Blog Arts érotiques : http://poilnet.erog.fr/
SITES :
http://m_debray.club.fr/
LE POILNET DANS LA MAIN
(Peintures érotiques et expressionnistes de Michel Debray et de Clovis Trouille) :
http://perso.club-internet.fr/m_debray



et ses invités :
 
Maïna Lecherbonnier, écrivaine, blogueuse.

http://mainaphrodite.canalblog.com/




Dita, blogueuse, nouvelle libertine

http://dita.over-blog.com/



Frédéric Bourgeade,libertin, amateur d'art, blogueur

http://lesvieuxsinges.canalblog.com/


Par Michel Debray - Publié dans : Jours - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 31 octobre 5 31 /10 /Oct 13:41
Anna, après une longue absence, vous m'apprenez que depuis plusieurs mois, le sexe pour vous se pratique du féminin, avec une amie que nous appellerons Virginie.
 
L'homosexualité féminine occasionnelle, refoulée dans les souvenirs de collège ou de lycée, vécue dans l'unique occasion d'une relation à trois, dans le rôle de l'amante ou de l'épouse, l'homosexualité féminine assumée, constitutive ou choisie après quelques mésaventures hétérosexuelles m'a toujours fasciné.
Au même titre d'ailleurs que l'homosexualité masculine, tant la question de l'identité sexuelle m'a toujours tenaillé.
 
Vous acceptez, Anna, et c'est un honneur et un bonheur pour moi, de répondre à mes questions sur le sujet.
 
J'ai vu deux femmes hétérosexuelles que le hasard de la vie avait réunies dans "mon" lit. Les étreintes ne m'étonnèrent guère puisque, épouse et amante, elles n'avaient jamais eu d'expérience saphique.
 
C'est le film Je, tu, il, elle de Chantal Akerman, tourné en 1974, que je découvris une façon de faire l'amour au féminin. Je n'ignore pas que vous êtes étudiante en art cinématographique.
 
Je cite Cyril Beghin :
"Trente ans avant, dans Je, tu, il, elle (1975), ce sont deux femmes faisant l'amour dans un lit blanc qui lestent l'image d'un même cri sourd. Les plans sont fixes, le lit est comme posé au bord du cadre, les corps bataillent longuement sous une lumière vive, jusqu'à vaincre le cliché homosexuel et nous laisser face au mystère de deux formes blanches s'enlaçant à l'infini. Peu de bruits, aucune parole, l'éloquence de l'image a été défaite de ce qui pouvait la relier à une histoire (qui sont ces deux femmes?) ou à un jugement (puisque cette sexualité est toujours d'abord jugée)."
"Reste un érotisme impressionnant où les corps, comme le piano de Demain, on déménage, semblent suspendus pour longtemps dans un acte muet, d'avoir absorbé tous les bruits du monde. La protagoniste de Je, tu, il, elle a auparavant vécu quelques jours seule dans une chambre presque vide, à écrire et compter le temps, en voix off, dans une sorte de tentative de repli définitif sur elle-même ; et puis elle est sortie - au bord d'une route un camionneur l'emmène, on ne sait où, la drague, lui raconte sa vie. Elle écoute, ne dit rien, jamais. Chantal Akerman joue cette jeune nomade attentive qui, comme l'héroïne des Les Rendez-vous d'Anna (1978), alterne solitudes extrêmes et écoutes grandes ouvertes des autres avant de retrouver un corps plein, autonome, et de le chanter. Après sa cérémonie amoureuse, Je, tu, il, elle s'achève sur une comptine : "Entrez dans la danse, voyez comme on danse..." où rentrent parfois plusieurs voix qui fredonnent doucement, en résurgences timides d'un monde enfin repeuplé après ces passages à vide." 
 
 
 
Chantal Akerman est l'une de ces femmes. Sa vision des étreintes féminines est donc spécifique et ne saurait être généralisée, si tant est que cela soit possible.
Cependant mon intérêt pour la fonction érotique me fait découvrir à côté de minorités considérées ici ou là comme "perverses", de grandes constantes et la lecture des réponses à mes questions intimes en sont l'illustrations.
La cinéaste bruxelloise montre des étreintes forcenées, entrecoupées de spasmes qui peuvent être interprétés comme de courts orgasmes. Il s'agit d'une sorte de lutte dont le but ultime et impossible est la fusion. Contrairement au coït hétérosexuel, il règne là une "égalité", une gémellité où la dominance semble absente. Pas de pénétration digitale, pas de 69, pas de dualité active/passive, juste une caresse violente, peau contre peau, cuisse de l'une s'insérant entre les cuisses de l'autre. Les peintres et dessinateurs de tribades ont jadis représenté de telles unions.
 
Afin d'avoir une vision plus large, j'ai consulté le site Lez Attitude. Les premières photos n'apportent rien de nouveau par rapport aux poncifs de la photo de charme. Entre l'infect cliché de la gouine virago aux épaules de camionneur et les modèles impeccables doit se trouver une certaine spécificité du corps lesbien...
Le site de Laurence Chanfro Lesborama me saute aux yeux, d'autant que l'on nous prévient : images choquantes ! Sans doute cette artiste me taxera de machisme et pourtant je ressens une curieuse "sororité" avec son travail. Sans doute celle des artistes expressionnistes... Certes, comment nier la présence de photos pornographiques de certains cybermodèles ? Les dames se prêtent souvent volontairement et avec plaisir à un exhibitionnisme souvent induit par leur compagnon. Mais nul, je crois, ne peut évacuer l'amour désespéré que je porte aux femmes que je peins et/ou que je photographie.
Cathy Peylan ouvre un monde plus varié, allant du couple de femmes ou back-rooms pluriels proches de l'univers gay.
 
Voilà chère Anna, je vous invite à commenter chacun de ces paragraphes à la lumière de votre (ou vos) expérience(s) proches ou lointaine...
 
Je vous embrasse.

M.D.

P.S. - Anna ne donnant plus de signe de vie, j'invite mes lectrices à donner leur opinion. Merci

Ris

Picasso


Avril

Avril

Corinne Tee

Courbet





Illustrations pour Giamani par Suzanne Balivet

Gerda Wegener

Toulouse-Lautrec

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 18:40

C'est quand même plus joli qu'un doigt dans la chatte voire dans le cul, non ?
On pourrait encore parler d'art digital...









doigt4.jpg      doigt3.jpg

 

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Photos érotiques
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Lundi 27 octobre 1 27 /10 /Oct 13:16
Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Photos érotiques
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Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 13:00

Emmanuelle Arsan, de son vrai nom Marayat Andriane, née en 1940 à Bangkok, est une romancière française d'origine thaïlandaise.

Elle épouse à l'âge de 16 ans un diplomate français. Elle joue le rôle de Maily aux côtés de Steve McQueen et de Richard Attenborough dans La Canonnière du Yang-Tse (The Sand Peebles) de Robert Wise sous son vrai nom.

Mais c'est surtout comme écrivain qu'elle sera célèbre, en publiant chez
Éric Losfeld, sous pseudonyme, son roman Emmanuelle (1959) qui sera aussitôt interdit de publicité. Cela ne l'empêchera pas d'obtenir un succès planétaire et de faire l'objet d'une quinzaine d'adaptations cinématographiques dont le film éponyme de Just Jaeckin en 1972.

L'image de la vraie Emmanuelle Arsan a été occultée par celle de l'actrice Sylvia Krystel, héroïne du film.

Contrairement à ce qu'on peut prétendre, Emmanuelle Arsan est un écrivain (on a dit que son mari lui tenait la plume...) dont l'oeuvre hédoniste et épicurienne préfigure un Michel Onfray, par exemple, dès les années 60.


http://emmanuellearsan.free.fr/










Emmanuelle Arsan par Pierre Molinier

 


Photos tirées du film "Laure"

Emmanuelle ne porte pas de culotte, c'est sa vaste et belle toison qui fleurit entre ses cuisses


Par Michel Debray - Publié dans : Prénoms - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 24 octobre 5 24 /10 /Oct 18:01

Julia Cuddlewell a montré la première fois son talent dans son jeune âge. Elle a été élevée entouré par l' Art et ses parents, pour s'orienter dans la peinture, les visites fréquentes dans les musées pendant ses vacances. Quand elle a découvert la série de peintures érotiques par le peintre Anthony Christian, artiste connu sous le nom de Lilly Egg Collection qui l'a inspirée, elle a développé une création dans le genre érotique. Pour être initiée à la discipline de cet art particulier, elle a eu le souhait et l' avantage d'étudier avec Anthony  Christian et ils ont partagé deux années à Bali.

Voici quelques oeuvres de l'artiste.

 


Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 13:48



Le terme savant d'urolagnie désigne l'érotisation des fonctions urinaire et de l'urine, entraînant des pratiques que peu de personnes avouent et que beaucoups detestent

On parle encore d'ondinisme qui englobe tous les jeux érotiques autour de la miction, autrement dit, les jeux pipi !
.

Il faut sans doute chercher l'origine de cet érotisme de l'urine dans la nostalgie qui nous habite tous peu ou prou du paradis aqueux, odorant et perdu du tiède utérus maternel...

Cela peut aller du goût pour voir un homme ou une femme pisser (on peut aussi éprouver du plaisir à s'exhiber pissant) ,de la jouissance à se libérer d'une envie volontairement contenue, de l'arrosage mutuel (douche dorée en langage poétique) jusqu'à à la consommation d'urine entre partenaires.

Rembrandt a peint ou croqué des pisseuses. D'autres peintres (dont votre serviteur) l'ont fait aussi. C'est une question de postures naturelles qui peuvent échapper à la vulgarité en raison de l'aspect naturel de l'acte.J'ajoute que la représentation graphique du jet est une sorte de défi aux artistes.


Les photos sur le Net sont innombrables.J'ai donc préféré composer un florilège impliquant l'art puisque les amateurs pourront trouver sur la Toile toutes les images qu'ils souhaitent.

Méat coule pas !

Gilles Berquetlink

¨
Picasso : hommage à Rembrandt




YoshidumiHayashi

Lysiane Potvin




Nankino


Charlotte

Duchamp

Les urinoirs du Vatican

Ondine (Michel Debray)


Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 19 octobre 7 19 /10 /Oct 13:45

MANDELBAUM Stéphane

(1961-1986)

Artiste belge.
Le parcours de Stéphane Mandelbaum (fils de Arie, lui même dessinateur) né en 1961, aura été de courte durée. Cet artiste devenu braqueur "parce qu' il n'éprouvait pas au travail cette pleine sensation d'être qu'il découvrit lorsqu'il se mit radicalement en péril"... comme dit Georges Meurant, sera assassiné en 1986 et son corps retrouvé par des gamins sous les sinistres piliers du viaduc de Beez (Belgique). Reste l'oeuvre d'un artiste tourmenté par une homosexualité en délire et vivant, par défi, dangereusement.

En fait, à la fin de sa vie, Mandelbaum fréquentait les mauvais garçons qui l'ont finalement tué. Cela n'est pas sans évoquer la fin du cinéaste italien Pier Paolo Pasolini. (M.D.)

Intense, diverse, souvent poignante, elle témoigne du talent d'un homme, qui, sans grand bagage, domine avec aisance la technique du dessin et saisit naturellement l'essentiel. Cette recherche de l'essentiel commence dès l'adolescence. Pour preuve ce "Shoret", portrait en pied d'un boucher juif, fait d'une huile épaisse, quand il avait 15 ans.

Plus tard, en 1980, il représentera, au bic, sur papier, un autre "Shoret" au regard goguenard, au tablier montant haut sous les bras, au couteau prêt à trancher et entouré de petits messages et graffitis qui en disent long sur un judaïsme lourd à porter. On peut y déchiffrer, entre autres : "Je dansai avec une femme qui était une putain juive. J'en éprouvai un sentiment étrange" ou encore : "je fréquentais des gangsters juifs". 

Les dessins sont à la fois touchants et durs. Avec une bouleversante économie de moyens, Mandelbaum communique son mal-être. Il provoque ? Non, il souffre. Il appelle au secours. Les rebelles ont du mal à se faire entendre et l'artiste est de ceux là, empêtré dans ses phantasmes de sexualité et de mort.

Ses compositions sont des pages d'histoire remplies de secret que chacun traduira à sa guise. Tel le portrait de Nasser à la gueule de travers, coiffé de papier brun et surgissant au milieu d'un petit monde de personnages hétéroclites dont Monsieur Mitsuhirato, l'enquiquineur agressif sorti du Lotus Bleu. "Bonjour, messieurs" griffonne l'artiste non sans humour.

Des individus réels ou imaginaires épinglés jusque dans le moindre détail, à coups de petits traits simplifiés, émergent du support immaculé créant un incessant tourbillon de contrastes, d'ombres et de lumières.

On croise Bacon, aux yeux hagards. Goebbels, hurlant sa haine, les poings serrés.

On lit : "J'ai braqué une banque" ou "je suis né juif"... Rien n'est serein dans l'oeuvre de Mandelbaum. Un (auto ?) portrait « sans titre » trace en quelques coups de bic acérés presque violents, le visage veule et déchirant d'un mec prêt à tous les mauvais coups. Il n'attend plus rien de la vie. Le torse est viril, le nez épais, la bouche désabusée. Le cheveu lourd occulte le regard. La détresse est inscrite au plus profond de ce fascinant visage et noue les tripes de qui s'attarde à le regarder. Même l'art qui aurait pu le sauver n'a rien pu pour Mandelbaum. Son présent n'était que mise en danger, sa perception des choses exacerbée. On songe à Pasolini que son interprétation personnelle des mythes aura conduit au bout de l'enfer. Comme lui, Mandelbaum laisse une oeuvre forte et un goût amer de "trop peu" ». Colette Bertot         Copyright © 2003 Mémoires et Colette Bertot.

Je ne connaissais rien de cet et c'est un peu par hasard que j'ai trouvé puis cherché ces oeuvres intenses.







Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 10:36



BIOGRAPHIE

1833 : le 7 juillet, naissance à Namur de Félicien Rops, fils unique de l'industriel Nicolas Rops et de Sophie Maubille. Il fait ses études au Collège Notre-Dame de la Paix à Namur.
1849 : décès du père de Félicien Rops qui passe sous la tutelle de son oncle Alphonse, échevin à Namur. Il est renvoyé du Collège des jésuites de Namur et poursuit ses études à l'Athénée de Namur. Il s'inscrit à l'Académie des Beaux-Arts de Namur.
1851 : Rops est inscrit à l'Université Libre de Bruxelles, pour une candidature en philosophie préparatoire au droit.
1852 : Rops est fiancé à Charlotte Polet de Faveaux, fille d'un juge au tribunal de Namur.
1854 : A sa majorité, il dispose de la fortune de son père.
1857 : mariage avec Charlotte Polet de Faveaux.
1858 : naissance de son fils Paul Rops.
1859 : naissance de sa fille Juliette Rops.
1862 : séjour à Paris
1864 : Rops rencontre Baudelaire, en visite à Namur.
1865 : décès de sa fille Juliette.
1868 : Vice-président de la Société Libre des Beaux-Arts de Bruxelles.
1869 : le 4 décembre, Rops est l'initiateur de la fondation à Bruxelles de la Société internationale des Aquafortistes. Rops rencontre Aurélie et Léontine Duluc, qui deviennent ses maîtresses.
1870 : Léontine Duluc donne naissance à une fille, Claire.
1874 : Félicien Rops s'installe définitivement à Paris, où il vit avec les deux soeurs Duluc. Il entretient par ailleurs de nombreuses liaisons amoureuses. Rops effectue de nombreux séjours à la côte belge et dans les Ardennes.
1879 : voyage en Hongrie.
1880 : voyage en Espagne.
1885 et 1887 : voyages aux Etats-Unis et au Canada pour établir un réseau d'exportation des créations de la maison de couture d'Aurélié et Léontine Duluc.
1886 : Rops est membre du groupe des XX à Bruxelles.
1888 : Rops fait la connaissance à Paris d'
Armand Rassenfosse.
1892 : Rassenfosse présente
Auguste Donnay à Rops.
1893 : en juillet, Rops séjourne à Liège et rend visite à son ami Armand Rassenfosse, à qui il remet son testament et qu'il désigne comme co-exécutaire testamentaire.
1898 : le 23 août, décès à Essonnes de Félicien Rops.

Source : http://www.wittert.ulg.ac.be/fr/flori/opera/rops/rops_notice.html


Pornocrates


Sainte Thérèse

Sainte Thérèse





Hypocrisie


Félicien Rops est un artiste multiforme. Dessinateur, aquarelliste, illustrateur, graveur, il est un peu plus "bourbeux" dans ses paysages de Wallonie peints à l'huile dans des tons sombres et lourds.

Il pratique avec brio la provocation dans des oeuvres graphiques.

Pornocrates est son oeuvre la plus réputée.


Le Musée provincial Félicien ROPS de Namur (Belgique) :
http://www.ciger.be/rops/ est un très bel endroit où l'on peut comprendre aisément les différentes techniques d'estampes.

J'ajoute qu'on boit à Namur d'excellentes bières belges notamment dans un café sympa du côté du théâtre et qui s'appelle le Café de Paris, proche du café Le Roi Baudoin, à éviter...



Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 16 octobre 4 16 /10 /Oct 13:20

Clip Pomme c

J'ai son image
J'ai son e-mail
Son cœur au bout du clavier

J'ai son visage
Et l'envie d'elle
Sans jamais l'avoir touchée

Dois-je sauver ? (dois-je sauver ?)
Ou bien abandonner ?

Pomme C
Un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme qui m'allume
Et qui me quitte
On s'aime trop vite
Le vice et le virtuel

Elle m'écrit
Mais mon écran
Formate les sentiments

Mais j'imagine
Qu'une machine
Ne peut que faire semblant

M' A D S L
N'est pas vraiment réel

Pomme C
Un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme qui m'allume
Et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vice et le virtuel

Un peu d'amour, copier coller
Un peu d'amour, pomme C
Un peu d'amour télécharger
Un peu d'amour à sauver
A sauver
Mais l'amour n'est pas virtuel

Pomme C
Un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Mais l’amour n’est pas virtuel
Pomme qui m'allume
Et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vice et le virtuel

Dois-je sauver
Ou bien dois-je abandonner ?

Ce texte - entendu vaguement (Calogero n'est pas trop ma tasse de thé - m'a été adressé par Nathalie Thouplet à la suite de l'article Good Bye Marylou.
Un bon point pour Calogero néanmoins : il a un Apple Madc Intosh et donc s'évite les viris, spames et autres pop-ups !
M.D.

Nathalie THOUPLET - Artiste-Peintre

8 rue des Comtes de la Roche - 67310 SCHARRACHBERGHEIM - tél. : 06 66 91 10 71

site : http://nathalie.thouplet.site.voila.fr

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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  • Michel Debray
  • Le blog de Michel Debray
  • Homme
  • 03/11/1945
  • photo les femmes le sexe littérature peinture
  • On peut emprunter des textes, des photos, mais au moins citer leur source. Merci.

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