Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 16:11

Un certain nombre de choses que je sais d'elles ( Pour Carole)

Celle-ci, comme sa mère, fait la vaisselle en tablier avachi mais se fait prendre par derrière, vêtue d’un seul tee-shirt, sur un balcon  donnant sur la rue où elle sourit aux passants en étouffant un râle plaisir.

Celle-là est mère d’élève et commente âprement avec la maîtresse le livret scolaire de son fils, les poils du pubis encore collés par le coït rapide mais délicieux qu’elle vient de partager avec son mari fiévreux et alité mais doté d’une trique brûlante.

Cette autre donne sa carte bleue à la caissière du supermarché où elle s’est un peu exhibée dans les travées en choisissant des brisures de riz pour son serin. Elle porte une jupe courte et des bas autofixants. Comme elle a les yeux brillants, la caissière la dévisage et elle rougit en cherchant sa carte de fidélité…

Celle-ci s’occupe de sa vieille mère qui décaroche un peu mais prend le temps de répondre aux coups de téléphone brûlants de son amant qui lui envoie une photo de sa bite érigée sur son portable. A la vue de l’organe désiré, elle a une brusque contraction du vagin.

Celle-là s’aperçoit au dernier moment qu’elle est en train de torcher le nez de son petit dernier avec un mouchoir en papier dans lequel elle vient de s’essuyer la chatte après une saine lecture masturbatoire.

Cette autre reçoit un client dans son bureau tout en jetant un œil sur une mini-vidéo muette de sodomie qu’elle passe en boucle sur son ordinateur.

Celle-ci achète des aubergines et des concombres sans penser à mal le moins du monde et ne se surprendra à penser se faire enculer par ces légumes qu’au moment-même où elle les tranchera pour la salade ou un masque de beauté.

Celle-là vient de recevoir un nouveau lave-linge et décide tout à trac de s’asseoir dessus en amazone au moment de l’essorage non sans avoir introduit en elle ses boules de geisha. Elle tombera en pâmoison au moment du freinage du tambour.

Cette autre déguste son carpaccio de coquilles Saint-Jacques en jouant avec son pied gainé de soie et sous la nappe du restaurant sur la bosse durcie de la braguette de son commensal.

Celle-ci porte des pulls ras-de-cou en ville et se caresse entièrement nue sur son siège de passagère sur l’autoroute des vacances.

Celle-là a une voix de femme-enfant et hurle comme une chanteuse de flamenco lors d’un divin cunnilingus.

Cette autre jardine accroupie, la fente sciée par le fil de son string et prend un malin plaisir à arroser ses semis avec ses jus intimes.

 

Elles sont romantiques, amoureuses, maternelles, dévouées…

Elles peuvent être fougueuses et chiennes dans le désir et le plaisir.

Elles peuvent se résoudre à jamais à l’abstinence.

Elles peuvent se laisser aller à la débauche.

 

J’aime toutes ces femmes.

 

M.D.


 DE LA SEDUCTION



Sabrina

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Epicuriens et libertins
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Lundi 6 avril 1 06 /04 /Avr 16:55












Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : La beauté sexy
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Samedi 4 avril 6 04 /04 /Avr 17:08


"Igor Mitoraj est né en 1944 d’une mère polonaise et d’un père français. Il est diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie où il a été l'élève de
Tadeusz Kantor, et vit depuis 1968 en France et en Italie. Au début des années 70, fasciné par les arts précolombiens, il part au Mexique, où il commence à sculpter. Il rentre en Europe en 1974 et expose à Paris en 1976 à la galerie La Hune. En 1979, il se rend à Carrara en Toscane où il commence à utiliser le marbre comme support principal, tout en continuant à travailler la terre cuite et le bronze. En 1983, il installe son atelier à Pietrasanta. Igor Mitoraj est considéré comme un des plus éminents artistes contemporains polonais.

Certaines de ses sculptures, souvent de grande taille, sont exposées en plein air, dans de nombreuses villes en Europe, aux États-Unis et au Japon. Doivent être signalées les polémiques brûlantes suivre l'insertion cependant (5 avril 2008) d'un travail de Mitoraj dans la Place Trento à Tivoli, de front l'église de S. Maria Maggiore et de l'entrée de la Villa d'Este. La place du travail a mis en fait pour risquer la célébration du rite séculier de l’"Inchinata". Le travail a été déplacé le jour 11 août, dans ce chemin la cérémonie sacrée a été rendue possible. La statue a encore été mise alors in situ le jour 20 août 2008. Les citoyens de Tivoli qui déjà a signé une pétition populaire (4800 signatures, source "Il Messaggero") contre l'installation de la sculpture, aussi esthétiquement et historiquement entièrement étranger au site, ils espèrent que dans attente l'enlèvement puisse être définitif.

Le thème majeur des œuvres de Mitoraj est le corps humain, sa beauté et sa fragilité, ainsi que d'autres aspects plus profonds de la réalité humaine n'apparaissant pas au premier coup d'œil. Son œuvre s'inscrit dans une démarche résolument postmoderniste. S'inspirant de la statuaire antique, en particulier ses proportions idéales, l'artiste rappelle cependant au public sa nature humaine et son imperfection : ses sculptures sont délibérément blessées ou écorchées et se retrouvent parfois même clouées au sol."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Igor_Mitoraj














ARTICLES PRECEDENTS

 

 



Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 4 avril 6 04 /04 /Avr 14:16
Eduardo Laborda (Saragosse, 1952) est peintre, dessinateur, producteur de cinéma et collectionneur des mille et un objets. Il tient à être clair dès le début.

"Il n'y a pas d'amour sans douleur. J'ai souffert à Saragosse, qui est une ville destructrice et qui exerce une attraction spéciale, une immense affection pour elle, c'est pourquoi je l'ai tant peinte.Dans ma relation avec Saragosse il y a une part de douleur et une part de plaisir, mais c'est ma ville. De plus, quand tu commences dans la peinture tu rêves d'être célèbre, d'atteindre un prestige national, de dépasser des frontières avec ton oeuvre, mais maintenant j'ai seulement le désir passer à l'histoire comme un peintre local, de Saragosse. Ce serait là mon plus grand triomphe
..."

Taduit de l'espagnol par M.D.














Hyperréalistes précédents ici



 

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 11:29


"Quand je ressens le regard d'un homme j'ai envie de lui dire rassure-toi, je te vois. Je le vois même si je ne le regarde pas.

Non, non, je ne me méfie pas de toi, je n'ai pas peur de toi. J'ai peur de celui qui est en toi. Celui que tu ne connais pas tant que ça.

Je sais que tu me trouves jolie mais lui ne te murmure t-il pas à l'oreille que je suis..."bonne"?

Pendant que toi tu penses que ma robe est bien portée ne l'entends-tu pas te dire: "quel beau cul"?

Toi, tu ne me fais pas peur, mais lui je m'en méfie et pour cause, il est si imprévisible. Il est en toi, tu crois le connaître mais souvent il te bouscule, il se croit bien placé pour te montrer le chemin.

Pendant que toi tu trouves ma démarche sensuelle et gracieuse lui il te fait remarquer "cette salope qui roule ses fesses pour t'aguicher".

Tu rêves de m'inviter au restaurant en résistant à lui qui me voit dans ton lit gémissante, gourmande et insatiable.

Tu as envie de me prendre la main pour m'emmener marcher sur la plage. Tu es rêveur comme moi, sentimental et romantique. Mais lui il te harcèle, il te pousse à être maladroit, brute et indélicat. Il veut que tu me "prennes" bestialement, par les hanches comme une chienne.

Tu prends peur et tu te ressaisis.

Moi je te vois mais je ne te regarde pas.

Non, je n'ai pas peur de toi mais de celui qui est en toi.

Tu as envie de m'aborder je le vois dans tes yeux qui brillent. Mais tu n'oses pas m'approcher, tu es bien élevé, tu as peur de me brusquer. Ton regard est pourtant sur moi, je le sens et j'y prends plaisir. Mes rondeurs t'attirent et j'en suis consciente. Ma féminité s'affiche, ma fierté s'affirme d'autant plus que ta virilité me trouble.

Non, c'est vrai tu ne me fais pas peur. Ni même celui qui est en toi, car tu le connais mal mais tu lui résistes. Lui en toi me fait peur mais toi en lui me rassures.

Tous les deux vous n'en faites qu'un. Oui un seul qui ne me fait pas peur, un seul... celui que je vois même si je ne le regardes pas.

Je partirai ainsi en t'ayant vu me regarder. Je t'aurais ainsi vu sans avoir osé te regarder. Toi, tu es parti après m'avoir observée, tu m'as regardée et tu m'as vue mais tu n'as pas osé m'aborder, car ... tu es bien élevé.

Non je n'ai pas peur de toi. Je suis même heureuse de t'avoir rencontré."

 
Carole.


Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 31 mars 2 31 /03 /Mars 15:36

D'APRES LES EXERCICES DE STYLE DE RAYMOND QUENEAU

 

Texte de base

 

Un jour vers midi du côté du parc Mon­ceau, sur la plate-forme arrière d'un auto­bus à peu près complet de la ligne S (aujourd'hui 84), j'aperçus un personnage au cou fort long qui portait un feutre mou entouré d'un galon tressé au lieu de ru­ban. Cet individu interpella tout à coup son voisin en prétendant que celui-ci faisait exprès de lui marcher sur les pieds chaque fois qu'il montait ou descendait des voyageurs. Il abandonna d'ailleurs ra­pidement la discussion pour se jeter sur une place devenue libre.

Deux heures plus tard, je le revis devant la gare Saint-Lazare en grande conversation avec un ami qui lui conseil/ait de diminuer l'échancrure de son pardessus en en fai­sant remonter le bouton supérieur par quelque tailleur compétent.

 

LETTRE ÉROTIQUE


Cher UNION. Je vis avec mon mari une sexualité assez plate. Un jour, j'ai décidé de m'affranchir un peu et d'aller draguer un beau mec.

Vêtue d'un cache-cœur qui contenait à peine mon opulente poitrine encore altière pour mon âge, d'une mini ras-la-touffe, de bas noirs auto-fixants et d'escarpins vertigineux, je suis allée me promener du coté du par Monceau. J'étais maquillée et parfumée à l'ambre libertine. Les hommes me regardaient et j'en avais déjà la moule baveuse. Le fait de ne pas porter de culotte m'excitait au plus haut point. Je suis montée sur la plate forme d'un autobus. La jupe a remonté sur mes cuisses. J'avais honte et en même temps, je mouillais. Il y avait un monde fou. Nous étions debout, serrés comme des harengs. Soudain, je sentis une main sur mon postérieur. Je faillis crier au scandale. Puis la main s'insinua sous ma jupe et bientôt un doigt glissa entre les lèvres de ma fente juteuse. Cette main me faisait du bien. Enhardi par mon silence et l'impossibilité où nous étions de bouger, mon branleur posa dans ma main un organe très long, décalotté mais dont le prépuce faisait comme un galon tressé à la base du gland. J'eus violemment envie de me faire mettre, là, debout, sur cette plate-forme noire de monde. Je le guidais dans mon antre bouillant de cyprine. Il me perfora d'une seule poussée. Il me remplissait bien mieux que mon mari. Je serrais les dents pour ne pas hurler. Je cambrais mon cul en me tenant à la main courante pendant qu'il glissait doucement en moi. Soudain une voix retentit, furibarde:

"Mais elle prend son pied, cette salope !" C'était mon beau-frère, monté dans le 84 sans que je m'en sois rendu compte et qui me découvrait en train de me faire tringler par un inconnu. Je dus me sauver en courant, à la station suivante. La mouille et le sperme de mon baiseur anonyme me coulaient sur le haut des cuisses, jusque sur mes bas.

Deux heures plus tard, devant la gare Saint-Lazare, je fus accostée par un homme charmant qui déclara que je l'avais fait jouir magnifiquement sur la plate-forme de l'autobus. Nous rîmes de bon cœur. Il me présenta à une de ses amies, une petite blonde un peu vulgaire avec des lèvres à la Béatrice Dalle mais des seins volumineux.

"Ça vous dirait de vous gougnotter, toutes les deux ?" demanda Marcel. Il s'appelait Marcel et elle s'appelait Edith.

Quelques minutes plus tard nous étions dans une chambre d'hôtel. Edith me faisait une minette d'enfer pendant que je pompais Marcel comme ma vie en avait dépendu.

"Branle-moi, me souffla Edith déchaînée. Lèche-moi la figue !"

Nous nous sommes mises en soixante-neuf. Marcel, affalé dans un fauteuil, se pignolait en nous matant. Je mouillais comme une folle. Cette salope lapait ma cyprine, c'était super.

Je courbais la tête pour lui happer le clito mais son bouton était bizarrement placé. En fait sa fente s'ouvrait très bas, à la place où elle aurait dû avoir son périnée. Il valait mieux la lécher par derrière pour accéder à ses organes. Mais faire un soixante-neuf dans ces conditions relevait de l'exploit acrobatique.

" Ta copine a une chatte drôlement placée", j'ai dit à Marcel.

Edith gémissait, en voulait d'avantage.

" Il Y a des années que je lui conseille la chirurgie, dit Marcel en s'astiquant avec constance. Il faudrait qu'elle se fasse remonter le bouton !"

Anita - 44 ans

 

Pcc : Michel Debray 

 

  


LE METRO

Le métro contre toute attente est ce jour là bondé de monde et je suis debout presque au bout de mes forces attendant vainement l'arrivée à ma station. Nous sommes collés les uns aux autres quand subitement je me sens prise au piège par une bosse, dure insolente, conquérante et indécente qui s'insère autoritairement entre mes fesses. Manifestement le jeune homme qui est en fait collé à moi depuis probablement de longues minutes ne s'encombre plus de bonnes manières pour garder son bassin contre mon postérieur. Il ne se gène même plus de s'aider franchement de ses mains pour me plaquer contre lui en me tenant par les hanches. Je m'en veux presque d'avoir mis cette robe au tissu léger et fin qui probablement accentue la douceur du contact.
En face, paradoxalement, l'image d'un visage charmant mais en sueur, se reflétant dans la glace, inspire plus de la compassion tant son regard parait à la fois innocent et honteux. Il parait lui même pris dans le piège de son instinct animal. Son visage rouge et ses lèvres tremblantes trahissent le malaise qui l'incommode et surtout le plaisir qu'il prend contre moi pendant que son sourire s'excuserait presque de ne pouvoir s'en priver. Je ne sais plus comment réagir. Sa bosse palpitante et réactive à la moindre secousse me semble tellement vivante que j'ai l'impression d'un reptile qui rampe pour se frayer un chemin. C'est à la fois angoissant et troublant. Comment faire oh mon dieu me dis-je ? Comment résister à l'affront de l'un sans humilier le regard de l'autre qui me parait si jeune et presque inconscient de la gravité de son geste ? Sans le vouloir je dissocie alors le charmant garçon d'en haut au sourire innocent, du mâle pervers d'en bas qui s'adonne au plaisir de la chair sans le moindre soucis de consentement. Comme si ces deux n'en faisaient pas qu'un seul ou comme si je ne pouvais me faire à l'idée qu'il s'agissait de la même personne ? Comment refroidir les impulsions bestiales du premier sans assombrir le sourire charmeur du second ? Dois-je m'éviter de subir cette bestialité de l'un ou me décontracter et partager le plaisir de l'autre ? Ne risque-t-il pas d'aller plus loin et oser même me relever la robe et tenter l'impensable ? Je suis littéralement prise en sandwich et offerte sans défense. Noyée dans mes questionnements et perdue dans mes hésitations de civisme je suis subitement délivrée par un arrêt que je n'espérais plus et qui contraint à plus de retenue. Je m'éloigne sans savoir vraiment quoi penser de cette rencontre imprévue et imprévisible.
Je n'en garde maintenant qu'un souvenir de tendresse mais aussi et surtout de honte pour l'avoir peut être provoqué malgré moi et une sensation de dégoût pour l'avoir subi sans pouvoir m'en défaire.


Carole.


Autres textes croisés

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Epicuriens et libertins
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Mardi 31 mars 2 31 /03 /Mars 11:39



Il est toujours intéressant d'observer des autoportraits nus de femmes.
Notons tout d'abord qu'il faut pour cet exercice de style un certain intérêt pour soi-même, une forme de narcissisme qui peut d'ailleurs être sans concession et d'une cruauté entomologique sur les défauts de son propre corps...
L'autoportrait est une activité solitaire, un peu soumise au hasard de la prise de vue, souvent un cadeau pour un amant ou une amante, parfois un prélude à la masturbation...


Elle montre un sein, son ventre, orné d'un percing et d'une croix gothique. Le nuisette et le string sont assez classique. La fente apparente sous le tissu. Le pubis est glabre.


Elle se shoote à bout de bras. Son bras gauche - ici l'image n'est pas inversée bien que la scène se passe contre un miroir - est replié autrour de sa tête. Elle sourit à l'objectif. Ses seins sont marbrés.


La même. Un raccourci de la lèvre inférieure au pied. Sa main touche l'orée de son sexe.


Elle dévoile ses seins sans toutefois se mettre toute nue. Le décor est en pagaille, la verticale malmenée. Elle aime le profil de ses seins. elle a raison...


Le visage est volontairement mis hors champ. La vue en plongée met en évidence les jolis seins coniques, lea trace blanche du tanga et la proéminence du clitoris dans une fente absolument épilée.


La nuisette, le sourire, le cabinet de toilette. Juste le charme.


Flash dans le miroir de la salle de bain. Elle pose et essaie de sa cambrer. Elle a gardé son slip. Un faux air de Clotilde Coureau un peu ronde...


Plongée à bout de bras. Les seins sont encore dans le soutien-gorge mais la main droite semble caresser le sexe nu.


Une beauté assumée, pourtant inquiète légèrement, des yeux gris bleus, une peau de rousse malgré des mèches multicolores, des seins juvéniles de nullipare...


Jolie ronde, bel éclairage - sans flash - une jolie harmonie de couleurs. Un visage de cyclope. Elle aime son corps et son corps le lui rend bien.


Une jolie mise en scène pour une jolie frimousse au regard bleu... Une sorte de perfection graphique. La belle tient le déclencheur qui fixera son évidente beauté.


Seins trop parfait, maquillage au top, superbe et coûteux appareil. La mariée est trop belle...


Je préfère ce contre-jour et ce raccourci. Les fringues accumulés sur un dossier de chaise, les yeux cernés, l'amorce d'un tatouage sur le bas du dos. Cette image sent le strupre et la fornication. il y a ou il y aura bientôt des taches de sécrétions corporelles sur les draps.


On peut penser que le petit pincement du téton inaugure une série de photos allant des caresses mammaires à la franche masturbation.

 

 

Regard inquisiteur dans l'écran de contrôle. Bouche peinte. Rousseur sur un fond vert de très bon goût. Piercings sur les tétons. Toison moussue de belle rouquine.


Cliché à bout de bras, couchée, les seins s'écartent , le regard est volontaire. Le signe du dragon. (Je dis n'importe quoi ).


Avant le bain. Jolies hanches. Petits seins. Fente zen. Le petit canard est sans doute un sex toy vibrant qui vient -au ras de l'eau - titiller le vestibule de la vulve et la clé du plaisir.


Belle lumière, lunettes noires un peu superfétatoires, ventre plat, prersque creusé. La barre noire de la culotte gêne un peu la perspective...


Avec un lait de toilette ou une crème, la belle s'est métaphoriquement couverte de foutre. Cette photo réalisée au téléphone portable est destinée à un futur amant voire à quelques acteurs possibles d'un gang-bang...


Une habituée du WoyeurWeb. Elle pratique l'exhibitionnisme, l'érotisme routier, l'autoportrait et l'autovidéo. Une belle nature.


Image naturaliste. Afin de relever de beaux seins tombants, le modèle les soutient d'un bras assez velu. Ainsi le sein droit apparaiî-il frippé sur le dessus. Mais j'aime cette photo éloignée d'un glamour sans chair, sans émotion.


Autoérotisme assumé. Le regard scrutateur sur l'écran de contrôle dait tout le chareme de cette photo. Le bas-ventre est dans l'ombre. Un bel hommage à de superbes seins.


Cliché réalisé face à un miroir avec un éclairage moins cru que le flash créant des ombres portées grises. Regard interrogateur du modèle sur sa propre beauté. Un doute ?


Belle lumière. La caméra est discrète. Une jolie composition où le hasard de la prise de vue en rétro dans un miroir a tenté d'être maîtrisé.


Chaussures à talon, marque de sous-vêtement sur le hâle, le petit déhanché, une photo de charme dans un miroir doré...


Autoprtrait très anglosaxon. Les seins nus, comme le début de la perversité, la pose glamour, le double piercing du nombril. Le cliché typique de ce que je n'aime pas...


L'érotisme assumé... malgré le visage coupé.

http://www.voyeurweb.com/


Sublime beauté noire.

La nouvelle Eve

Magnifique autoportrait nu recadré par mes soins.

Une belle ronde dans un vieux miroir. Superbe lumière pastellisée.

http://ishotmyself.com/public/general.php?p=tour_one

J'attends vos autoportraits ici : m_debray@club-internet.fr


AUTRES AUTOPORTRAITS



Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : La beauté sexy
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Vendredi 27 mars 5 27 /03 /Mars 16:26


En passant par la Lorraine, non pas avec mes sabots mais avec ma voiture, j'ai rencontré pour de vrai Bellissima qui m'a laissé la photographier.
Un régal.

Nous avions auparavant beaucoup échangé sur le Net.
Bellissima est une amie, un être sensible, à fleur de peau, c'est - comme on dit aujourd'hui - une "belle personne".
Elle ne se trouve pas belle mais j'aime son visage "italien", triste ou souriant, j'aime son corps plein, marqué par les grossesses qui l'ont anobli, j'aime ses seins au goût de fraise des bois sur les tétons, j'aime son sexe qui s'est entrouvert pendant que je la photographiais...

Elle fera un très beau modèle pour de futures toiles...

Ti amo, bella.

Ses précédentes photos sont ICI.











Photos M.D.

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Simplement nue
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Vendredi 27 mars 5 27 /03 /Mars 16:06

Son site :
http://www.hubertdelartigue.com/

Hubert de Lartigue est passé par l'illustration, la publicité.
Il se cantonne aujourd'hui beaucoup sur les pin-up avec un rare bonheur érotique.
Voici.











AUTRES HYPERREALISTES

 



Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 15:16

C'est seulement aujourd'hui que je pense à faire de la pub pour mon roman CHIENNERIES, paru chez BOD

http://www.bod.fr/index.php?id=1786&objk_id=142248



Extrait :

"Milena sortit de sa roulotte et entra dans le halo de lumière, moderne Esmeralda. Comme à chacune de ses apparitions, un frisson général parcourut l'assistance. Dans sa grande robe mandarinale, Tamara Fujimori était impassible, impériale, féline. Sa crinière de lionne était lissée, calamistrée, laquée. Ses yeux étaient des fentes. Meurtrières. On aurait pu la croire endormie mais en réalité elle n'était qu'attention, tension et immobilité.

Le vieux Kadesh fit miauler son violon et les musiciens se déchaînèrent. Milena dansait sous la lune, magnifique. Chacun de ses muscles trouvait une résonance dans le crâne de ses admirateurs. Chacun de ses gestes excitait une goutte de sang des corps caverneux de leur bite. Les femmes mêmes crispaient leur vagin autour d'un phallus imaginaire, fantasme suscité par la danse de Milena. Tamara était silencieuse, marmoréenne, mais son sexe fondait sous la longue toge de soie noire sous laquelle elle était nue.

A la fin de la série de danses, elle se leva et, les nymphes juteuses, mains jointes, elle salua le génie chorégraphique de la Bohémienne. Puis elle entreprit une très lente reptation de séduction. Un chant terrible de femme, ovarien, abyssal, s'éleva dans la nuit. Kadesh l'ancien jouait seul. Les deux femmes dansaient maintenant ensemble une transe ralentie, séisme de muscles et de sang, sans se toucher, et il devint très clair qu'elles mimaient l'amour. Kadesh retint son instrument puis accéléra le rythme. D'un regard d'assentiment, il autorisa les autres musiciens et chanteurs à délivrer leur énergie. Les danseuses s'offrirent, toutes crues, luisantes de sueur, à l'hommage délirant de leur public.

C'est Milena qui entraîna enfin, tard dans la nuit, Tamara dans sa roulotte. Là, dans cette sorte d'utérus aux petites fenêtres fermés par des rideaux de dentelle, sur la couche étroite, témoin muet d'ancestrales mises au monde, dans l'odeur du vieux bois patiné, elle recevait avec ferveur l'étreinte inédite de la danseuse nippone."

M.D.

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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