Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 14:57

Reçu de mon neveu un montage Power Point avec de jolies Asiatiques apparemment superbement tatouées.
Cependant certains modèles portent plusieurs tatouages successifs, ce qui est impossible.
On peut donc penser qu'il ne s'agit pas toujours ici de tatouages mais de peintures sur corps.
Cela n'enlève rien au talent des artistes ni à la beauté des demoiselles.
Le style est celui des estampes japonaises.

Ces photos et notamment celle où le modèle porte une longue calligraphie sur tout le corps me fait penser au film sublime de Peter Greeneway : The Pillow book (Le livre de chevet) qui prend précisément le thème du corps calligraphié.
Je reviendrai sur ce cinéaste atypique, peintre par ailleurs et cela se voit dans la qualité de composition des images dans ses films.





















Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 20 décembre 6 20 /12 /Déc 12:18



Le cinéaste Dusan Makavejev fait passer tous les Tony Gatlif d'aujourd'hui pour des petits joueurs. L'hystérie collective, les personnages en roue libre, les provocations acidulées, il les connaît mieux que personne ! Avec Sweet movie, il réalise son film le plus connu. Plus discrète que La Grande Bouffe, de Marco Ferreri, aux ambitions fort similaires (il a lui aussi eu droit à son micro-scandale Cannois - le film fut présenté en section parallèle au festival), cette co-production barrée yougoslave, française et allemande de 1974 ne démérite pourtant son statut culte d'autant qu'il est aujourd'hui introuvable
.

sweet movie


" Ecoeurant comme si on mangeait à plusieurs reprises un gâteau bourratif et qu'on nous forçait violemment à en reprendre une part. A la fin, on est obligé de vomir: Sweet movie est un film qui dégueule et fait dégueuler."

Le film commence par un show-télévisé peu commun: une élection de miss Monde où les concurrentes, issues de pays différents, sont dirigées par une vieille peau et doivent se faire examiner l'hymen par un gynéco pervers sur un plateau télévisé. L'animateur est en transe, danse en recevant les demoiselles plus ou moins farouches jusqu'à ce qu'arrive Miss Canada, interprétée par Carole Laure, visage de poupée sur un corps vierge de pute, qui remporte l'élection: elle est Miss Monde 1984. Livrée en pâture à un business américain, elle décide de fuir le monde doré des luxes faciles et de se réfugier, seule, à Paris, dans la luxure et le cradingue. Parallèlement, une femme (Anna Prucnal) vogue sur les fleuves avec son bateau rempli de sucreries et croise un quidam (Pierre Clémenti) qui exhibe son pénis sans pudeur. Sweet Movie, qui n'a rien d'un film doux, est au contraire un produit tourné dans la douleur. Les scènes les plus crues ne figurent pas dans la version originelle du film (normalement, on devait voir Carole Laure plonger nue dans une piscine de chocolat et des figurants se rouler dans leurs propres excréments). Sur le plateau, les conditions deviennent épouvantables notamment pour l'actrice qui a failli être dégoûtée du cinéma à vie par l'expérience traumatisante (Makavejev lui a demandé d'égorger un mouton vivant et après son refus, voulait lui coller une ceinture de chasteté munie d'un cadenas dont il avait la clé). Les tensions entre les deux artistes ont été vives mais c'est toujours nécessaire de générer des anecdotes tordues sur les films scandales ou scandaleux (vous verrez prochainement qu'Alejandro Jodorowsky aura son mot à dire sur le sujet Peter O'Toole).

sweet movie


Dans Sweet Movie, l'intenable Dusan Makavejev, responsable d'autres horreurs pelliculés aux titres charmants, utilise les bruitages, les musiques, les répétitions d'image, les montages alternées pour imposer une sarabande nerveuse, psychédélique et enfiévrée. En enchâssant des séquences aléatoires, il organise un spectacle décadent avec des symboles phalliques, des allusions égrillardes et des gags au goût très douteux. Carole Laure et Samy Frey font l'amour sur la tour Eiffel pendant que les badauds passent, sans se douter du spectacle aux alentours. Plus tard, la même Carole Laure se casse un oeuf sur la tête. Encore plus loin, une grande scène éructante de renaissance, où les personnages régressent dangereusement, équivaut cinématographiquement à une Isabelle Adjani qui fait sa transe dans le métro dans Possession, d'Andrzej Zulawski.

Le réalisateur yougoslave, porté par cette âme slave, s'emmêle sciemment les pinceaux, privilégie les uppercuts en pleine tronche et les images chocs (comment justifier les images d'archive sur les massacres des bolcheviks si ce n'est par un mauvais goût fièrement revendiqué?), confronte la mort au sexe, oppose capitalisme et communisme, l'ennui bourgeois aux fantasmes prolétariens. Adosse les criminels de guerre et les dérives télévisuelles. Confronte deux icônes du cinéma indépendant (Pierre Clémenti, acteur parti trop tôt, talent fougueux vu chez Buñuel, notamment dans Belle de jour en racaille sadique et bien sûr Carole Laure, qui passe les trois-quarts de son temps dans le plus simple appareil). Marque une actrice à vie (Anna Prucnal, comédienne polonaise interdite de séjour dans son pays pendant 15 ans pour avoir... jouer dans le film !).

sweet movie



Les idéaux et les excréments sont liés, condamnés à se retrouver par la bouffe, le sucre puis, enfin, le chocolat, avec cette scène cultissime où Carole Laure enduit du chocolat comme une poire belle-hélène, partout sur son corps naguère puceau et laisse entrevoir ses parties intimes aux yeux les plus émoustillés et aux sexes les plus excités. Mais attention, à force de ratisser large, Sweet Movie est un film qui étouffe aussi. Pour dire vrai, le festin est aussi excitant sur le papier qu'il est écoeurant à l'écran. Ecoeurant dans ses revendications socialo-politiques martelées. Ecoeurant dans ses sous-entendus transgressifs (la pédophilie, en ligne de mire). Ecoeurant dans ses effets illustratifs, sa mise en scène branlante et son décor cheap made in John Waters première période (on a parfois l'impression d'être devant Pink Flamingos). Ecoeurant dans sa folie, sa boulimie et sa démesure. Ecoeurant comme si on mangeait à plusieurs reprises un gâteau bourratif et qu'on nous forçait violemment à en reprendre une part. A la fin, on est obligé de vomir: Sweet movie est un film qui dégueule et qui fait dégueuler.

Un machin long et polymorphe, indompté et indomptable qui se roule dans sa fange scatologique, qui est si surexcité et révolté qu'il y a forcément dans ce mets sulfureux quelque chose de salvateur voire cathartique. Il y a un plaisir - pervers - à détruire en bonne et due forme les conventions sociales, à briser les tabous, à revenir à l'état de naissance (la fameuse scène de la renaissance où, pour anecdote, Carole Laure passe un pénis sur son visage et le frotte charnellement sur ses lèvres); en bref, une certaine joie à suivre ce zigouillage en règle de bienséances cinématographiques bien avant tout un pan de cinéastes qui ont cherché à faire dans la provocation sans savoir de quoi il en retournait. On dit si souvent que la scatologie est un machin prépubère pour ados mal dégrossis: il suffit d'y mettre du sens pour comprendre ce qu'elle se sous-tend. En cela, Sweet Movie est le témoignage d'une époque où une création à la fois subversive et militante était reine, où le didactisme était rayé du vocabulaire, où les moindres tentatives avaient le don sacré d'ébranler la République, l'ordre moral et social.

sweet movie



Lors de sa sortie, le film, outrancièrement outrancier, singulièrement singulier, représentatif d'un certain cinéma des années 70 où le n'importe quoi provoquait une poésie accidentelle et décousue, fut interdit aux moins de 18 ans. Encore aujourd'hui, il impressionne. On est surpris de découvrir une farce potache et grivoise qui sous son chaos et son bordel absolument pas maîtrisé parle de déliquescence avec de vrais morceaux de bravoure et donc de cinéma dedans. La liberté qu'il s'est octroyé compte pour beaucoup dans l'attachement qu'on peut lui porter, d'autant qu'on est sûr aujourd'hui de ne plus la retrouver. En fin de compte, on regarde aujourd'hui ce Sweet Movie, avec plus de nostalgie, d'admiration et de regret que d'amusement.

SOURCE : http://www.dvdrama.com/index4entree.php





















Si Carole Laure - que j'adore ! - a toujours dénigré Sweet Movie, la succulente Anna Prucnal n'a jamais regretté d'y avoir participé. Dans la vidéo ci-dessous elle fait juste remarquer les conséquences désastreuses que le film eut pour elle et pour sa carrière dans sa Pologne natale.

 

 
ANNA PRUCNAL - Biographie (Wikipédia)

Son père, chirurgien d'origine paysanne, juif et tzigane, fut assassiné par les Nazis. Sa mère, de grande noblesse, descendante de Stanislas Leszczyński, élève donc seule ses deux filles. Après des études de piano et de chant lyrique, Anna Prucnal commence sa carrière d'actrice au Théâtre Satirique Étudiant (STS), foyer de contestation intellectuelle à Varsovie.

À vingt-deux ans elle débute au cinéma, et devient tout de suite populaire. Arrivée en France à trente ans elle entame une seconde carrière essentiellement théâtrale dont beaucoup de pièces de Bertolt Brecht. Elle travaille avec des metteurs en scène importants comme : Jorge Lavelli, Georges Wilson, Roger Planchon, Jean-Louis Barrault, Marc'O, Petrika Ionesco, Lucian Pintilie, Jacques Lassalle... Elle tourne aussi dans plusieurs films dont « Sweet Movie » de Dusan Makavejev, film qui provoquera son interdiction en Pologne pendant quinze ans.

En 1978 elle commence une nouvelle carrière en tant que chanteuse, son récital Rêve d'Ouest-Rêve d'Est la fait connaître du grand public, d'abord à Paris au Théâtre de la Ville puis en Belgique au Théâtre Jean Vilar à Louvain-la-Neuve, où elle est accompagnée aux pianos par Oswald et Nicole d'Andrea, Mylena d'Andrea dans une direction artistique du belge Marc Lerchs. Ses spectacles font le tour du monde, et elle pourra enfin retourner à Varsovie en 1989... pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française.

En 2002, elle a écrit un livre de souvenirs Moi qui suis née à Varsovie.

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 20 décembre 6 20 /12 /Déc 11:47

Dans le texte BLASONS DU CORPS FEMININ : LES SEINS , j'écrivais ceci :

"(La compagne de jeux) peut être dotée de très gros seins au point qu'elle puisse sucer elle-même ses tétons. Disons le tout net. Les malheureuses qui se livrent à ce jeu puéril ont l'air aussi bêtes que les stupides mâcheuses de chewing-gum dont la capacité de séduction, fussent-elles très belles, se trouve réduite de moitié."

Eh bien ! Certaines trouvées sur VoyeurWeb m'ont fait changé d'avis sur ce point.

Et je vous prends à témoin.




















Cela dit, on peut, si l'on manque de souplesse ou de longueur de langue, faire appel à une camarade...




Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Epicuriens et libertins
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 18 décembre 4 18 /12 /Déc 14:41

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Epicuriens et libertins
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 18 décembre 4 18 /12 /Déc 14:00

"J'ai pris l'habitude de travailler devant le miroir. Je dessine ce que j'y vois. C'est moi et ce n'est pas vraiment moi. C'est ma mère et ma fille. C'est toutes les femmes".


Née à Oslo, Médi Holtrop entre aux beaux-arts en 1960. Après avoir travaillé quelques années dans le design et la décoration elle devient professeur de dessin et d'histoire de l'art.

Elle déménage à Paris en 1969. Depuis 1975, elle vit à Malakoff. Médi à notamment présenté ses étonnants dessins au fusain à l'Espace Accatone (Paris) et à la Galerie Tonne (Oslo).
Elle est la compagne du dessinateur
WILLEM.







Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 16 décembre 2 16 /12 /Déc 13:38
Vous voyez comment vous êtes !

Je vous sers de la culture de qualité : peintures, gravures, empreintes de corps, je vous balance des textes savoureux et bon, ça vivote, ça clapote, ça blogote gentiment mais sans plus...

Et puis, je vous appâte au clito musclé d'une ancienne bodybuildeuse et là, boum ! d'un coup : cinq commentaires !

Vous êtes vraiment incorrigibles, les amis !

Alors comme nous entrons dans l'ère des fêtes gluantes de bons sentiments, dans la trêve des cons et des fiseurs, afin de vous tenir le chibre en éveil, le popaul en harmonie, la quignolle en saine roideur, je vous en remets une couche !

DENISE, c'est à toi !




 

 

 

ARTICLE PRECEDENT  : http://poilnet.erog.fr/article-25787850.html

Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : L'art de s'offrir
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 15:04




"Né à Philadelphie (Pennsylvanie) en 1943, Crumb se consacre très jeune au dessin. Avec son frère, il crée Foo en 1958, suivi un an plus tard par Crumb brothers Almanac, dans lequel apparaît un chat préfigurant Fritz the Cat. Mais ce n'est qu'en 1962, une fois installé à Cliveland, qu'il commence à travailler en tant que professionnel pour l'American Greeting Card Company et dessine un comic strip, Roberta, Office girl. Peu après paraîssent ses premiers travaux dans Help !. En 1966, il part pour San Francisco en pleine révolution hippie. La véritable naissance de l'underground américain advient en 1967 justement avec les albums de Crumb, douze numéros de Zap et deux de Snatch Comics. 1968, c'est le succès immédiat avec Fritz the Cat, porté à l'écran en un dessin animé. Suivront Bijou Funnies (1968), Yellow Dog (1969), Mr Natural (1970), Slow Death Stories (1971). Entre 1974 et 1990, on retrouve ses dessins dans Snarf, Village Voice, Snoïd Comics, Prime Cuts (en collaboration avec sa femme Aline Kominsky), Twist et Bikini Battle. En France, Robert Crumb est publié dans différents journaux tels que Actuel, L'Echo des Savannes, Pilote, Yéti, Le Psikopat. Ses albums sont publiés par Kesselring, Dargaud (Big Yum Yum),
Futuropolis (Snatch comics), Le Fromage (La fin tragique de Mr Naturel et Mr Naturel), Artfac (Mes femmes et Belles d'un jour). Plus récemment, Cornélius s'attèle à rééditer une partie de son oeuvre.
Avant de s'installer en 1991 dans le sud de la France, Robert Crumb abandonne le métier et rejoint, dans une manufacture isolée, des amis avec lesquels il forme un groupe de jazz. La carrière de Crumb est pleine de dénonciations et de procès pour obscénités intentés pour ses albums et des histoires parues dans des revues.
(Largement inspiré de BD guide
) "

http://clairdebulle.com/Default.aspx












Tina Lockwood par Robert Crumb








Vanessa del Rio par Robert Crumb


J'aime Robert Crumb depuis la parution de ses dessins anarchistes dans le premier ACTUEL de Jean-François Bizot.

Ses filles énormes, pleines de grosses jambes parfois velues, aux pieds larges chaussés de tatanes solides et ses géantes aux seins toujours érigés, aux vulves pileuses éclaboussant de jus sont des icônes du sexe libre, sauvage et sans fioritures. Souvent victimes de la concupiscence de mâles chétifs, elles se vengent en arborant une sensualité et une sexualité brutale.
Si quelqu'un devait dessiner Berthe Berrurier ou certaines amazones et cigarières de banlieue, ce serait Robert Crumb.

M.D.

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 15:49

Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Epicuriens et libertins
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 12:45


Betty Page est née en 1923. Elle s'est éteinte ce 11 décembre 2008.
C'était la première universellement connue  des pin-up, littéralement "filles dont on punaise les photos sur les murs"...







Betty Page s'est essayée au bondage rompant ainsi avec l'image lisse de la fille pour cabines de routiers



Les magazines des années 50 et 60 étaient beaucoup plus prudes qu'aujourd'hui aussi existe-t-il peu de photos de Betty Page montrant son pubis sombre : j'en ai trouvé deux.




Décès de la pin-up Bettie Page à l'âge de 85 ans aux Etats-Unis

LOS ANGELES — Bettie Page, une célèbre pin-up américaine des années 1950, est décédée jeudi à Los Angeles à l'âge de 85 ans. Ses photographies dénudées et controversées avaient préparé le terrain de la révolution sexuelle des années 1960.

Bettie Page était hospitalisée depuis trois semaines pour une pneumonie. Elle avait souffert d'une crise cardiaque la semaine dernière.

Jeune, elle avait travaillé comme secrétaire à New York. Un jour d'octobre 1950, elle avait pris une pause pour se promener le long de la plage de Coney Island. C'est là qu'un photographe amateur l'avait repérée et lui avait demandé de poser.

Ses clichés en bikini ou lingerie transparente ont vite conquis les cimaises des baraquements militaires et des garages, où ils sont restés exposés des années.

Betty Page a fait la double page centrale de "Playboy" en janvier 1955. Sur d'autres clichés célèbres, la jeune femme à la frange brune pose en version sado-maso, fouet à la main, ou encore saucissonnée.

Sur une photographie, elle est suspendue entre deux arbres les bras en croix, les pieds pendant. Ce qui en avait choqué certains. Le sénateur du Tennessee Estes Kefauver avait même lancé une enquête parlementaire.

Betty Page s'est rapprochée de la foi chrétienne en 1959. Après avoir suivi des cours à l'école biblique, elle a voulu servir comme missionnaire, ce qui lui a été refusé car elle était divorcée. A la place, elle a travaillé à plein temps pour le ministère de l'évangéliste Billy Graham.

Elle a disparu de la sphère publique pendant des décennies, combattant une dépression nerveuse puis une schizophrénie. Elle a été internée 20 mois en hôpital psychiatrique.

Elle avait refait surface dans les années 1990, accordant des interviews mais refusant de se laisser prendre en photo.

Pauvre Betty ! Passer de la photo de charme à l'imbécile bondieuserie chrétienne, quel gâchis !

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : La beauté sexy
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mercredi 10 décembre 3 10 /12 /Déc 09:50

Réalisés au crayon, ces dessins ont été ensuite retravaillés sur ordinateur à la manière "sanguine".

Ils sont destinés à illustrer un texte poétique de
Giovanni Dotoli à paraître.





 










Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires

Présentation

Profil

  • Michel Debray
  • Le blog de Michel Debray
  • Homme
  • 03/11/1945
  • photo les femmes le sexe littérature peinture
  • On peut emprunter des textes, des photos, mais au moins citer leur source. Merci.

Créer un Blog

Catégories

Calendrier

Avril 2025
L M M J V S D
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30        
<< < > >>

Recherche

Images Aléatoires

  • Damier4
  • Bleu2
  • lick6
  • bottes6
  • Rousse4

Derniers Commentaires

Syndication

  • Flux RSS des articles
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés