AUJOURD'HUI :
JOURNEE MONDIALE DE LA PROSTATE !
Ben moi, ça va !
La prostate, c'est comme la liberté :
ça ne s'use que si on ne s'en sert pas.
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AUJOURD'HUI :
JOURNEE MONDIALE DE LA PROSTATE !
Ben moi, ça va !
La prostate, c'est comme la liberté :
ça ne s'use que si on ne s'en sert pas.
"L'imbécillité a ceci de commun avec les maladies vénériennes, c'est qu'il est très agréable de l'attraper !"
Jean-Pierre Chabrol
1925 - 2001
OMAR KAHYYAM
LES RUBAYAT
Traduit du persan par E’TESSAM ZADEH
Maurice D’Hartoy – Editeur - 1934
SUR LA TERRE COMME AU CIEL
Vous aurez, nous dit-on, des houris dans le Ciel
Avec du vin limpide, et du lait et du miel.
Donc, l'amour et le vin nous sont permis sur Terre;
Puisque même là-haut, ils sont l'essentiel.
POUR REVIVRE
On dit: « Ceux qui jamais ne se sont enivré,
Sortiront du tombeau comme ils y sont entrés. »
J’ai ma. maîtresse et bois du vin , pour qu'on me fasse
Revivre, au Jour Dernier, avec mes préférés.
CONTRE-JEÛNE
Le mois de Ramadan, dit-on, est en chemin.
Bientôt il nous faudra ne plus boire de vin.
Je vais donc boire assez, avant que ce mois vienne,
Pour tomber ivre-mort du Premier à la fin.
LE GOULOT DE LA CRUCHE
A ta lèvre, au goulot de la cruche de vin.
Le goulot dit: « J'étais comme toi, c'est certain.
Comme moi tu mourras, pour, un jour d'une cruche
Devenir te goulot, par un ordre divin.
IVRESSE
Tu me verras, un jour, ivre sur ton chemin
Baiser tes pieds mignons, ô mon doux chérubin
Et perdant mon turban et jetant loin ma coupe
Aux rets de tes cheveux venir tomber soudain.
Dessinateur, peintre, sculpteur, illustrateur, l'Alsacien Tomi Ungerer (Jean-Thomas Ungerer), né en 1931, est l'auteur de nombreux albums pour les enfants. Une part
de son oeuvre est réservée à l'érotisme. Le bondage est un de ses thèmes favoris.
En voici quelques échantillons.
Et si une des voies du combat humaniste passait par la défense de l’érotisme ? Un érotisme vu comme « haut refuge de l’esprit de poésie », à l’inverse d’un érotisme galvaudé, dénaturé,
instrumentalisé à des fins tristement mercantiles...
« Aller voir la feuille à l’envers », « se faire chahuter », « effeuiller la marguerite »... pour dire « faire l’amour », la langue française recèle bien des trésors oubliés. Ceux-là
même que Jean-Claude Carrière répertorie dans un livre que je vous recommande vivement : Les Mots et la Chose. J’ai eu la chance d’adapter ce texte dans le cadre d’une création
théâtrale : colonne vertébrale du spectacle, il était accompagné de poésies et de chants issus de la littérature érotique. Si partager de bons textes est toujours un plaisir, d’autant plus sur
un tel sujet, il ne s’agit cependant pas, ici, d’un acte tout à fait anodin. Transmettre ces textes, c’est en effet défendre un érotisme comme « art de donner au corps les prestiges de
l’esprit ». Rien à voir avec les « tendances lourdes » de notre époque. Il n’y a qu’à regarder autour de soi, observer la surenchère à laquelle se livrent entre eux les magazines
people les plus trash, visionner les émissions où les blagues salaces et les interviews touchant à l’intimité provoquent les rires les plus gras, relever l’inflation d’ouvrages dans lesquels
les auteurs déballent et racontent par le menu leur vie sexuelle, souvent « hors normes ». Il n’y a qu’à s’intéresser à la puissance de feu sans précédent de l’industrie pornographique :
celle-ci a généré un chiffre d’affaires dépassant les 2,5 milliards de dollars en 2006, et peut se féliciter qu’en 2002, les images X aient représenté 70% de la vente des contenus
numériques.
C’est une image de la chair triste qui est proposée par ces canaux, mais ce sont aussi des contre-valeurs qui sont diffusées. On pense ici à l’image désastreuse de la femme qui est véhiculée par le « X » : son corps réifié, sans identité, devient une chose dont un ou plusieurs hommes usent pour leur satisfaction personnelle. Voilà qui touche au fossé séparant la pornographie de l’érotisme, où chacun des partenaires, partageant le désir de l’autre, est à la fois objet de désir mais aussi sujet autonome et libre. Quand dans le premier cas la pulsion et l’instinct commandent seuls, dans le second la rencontre amoureuse se fait certes dans le cadre d’une attraction réciproque, mais qui n’exclut pas la tendresse, la crainte, l’incertitude. Au fond, l’érotisme est un humanisme : là où l’animal obéit à ses pulsions, l’homme met en scène son désir, l’habille de mots et le magnifie par l’art. Il s’agit d’un processus où l’homme domestique son désir, non pas pour le réduire mais pour lui offrir d’autres sources, relevant plus de l’esprit que du corps. Comment être insensible à l’enjeu que représente la transmission de cet érotisme-là, lorsque la critique littéraire Marine de Tilly souligne que « personne ne semble pouvoir échapper aux images X, surtout pas les jeunes, qui sont les cibles de cette nouvelle sexualité surmédiatisée . [...] A trop vouloir tout se permettre, on en a oublié le désordre érotique, et peut-être même la liberté. Mais la pornographie fait vendre, alors que l’érotisme se vit. » Ces deux dernières phrases me font penser à la comparaison un peu douteuse dressée un jour dans un billet : soulignant les différences fondamentales entre néolibéralisme et libéralisme authentique, je prétendais que le premier était au second ce que la pornographie était à l’érotisme, c’est-à-dire à la fois son prolongement et sa négation même. Et si la métaphore n’était pas si fumeuse que ça ?
Dans les deux cas, l’individu, l’Homme, que l’on prétendait émanciper, se retrouve asservi, nié par une logique utilitariste dévastatrice, devenue une grille de lecture unique ne ménageant
aucune place à tout autre système de valeurs, que celles-ci relèvent de la morale, du don désintéressé ou du moins sans contrepartie immédiatement « profitable ». Il y a d’ailleurs des
traits communs à deux processus trouvant tous deux leur racine dans les années 1970 : d’une part la dynamique d’un nouveau capitalisme se traduisant par l’envahissement par le marché de pans
toujours plus larges de nos sociétés, d’autre part la dynamique de l’industrie porno qui elle aussi s’est mondialisée, se joue des frontières, et s’immisce peu à peu dans la publicité ou la
littérature... Dans les deux cas, oser critiquer ces dynamiques, c’est s’exposer à être renvoyé par ceux qui en tirent profit au statut honni de réactionnaire, alors même qu’il s’agit
de s’opposer à des tendances profondément régressives et... anti-humanistes.
http://www.mediapart.fr/club/blog/fabien-escalona/070909/l-erotisme-est-un-humanisme
« Combien de fois, cette nuit ?
Trois fois avant de m’endormir, et deux
fois à une heure et demie quand je me suis réveillée.
Moi, six fois. Et ce matin ?
Deux fois dans mon lit et une fois aux
cabinets.
Moi, je ne pouvais plus, j’avais le con
trop rouge, je me suis tout mis à vif.
Montre un peu.
Tiens. N’y touche pas, ça me cuit.
Oh ! pauvre chat. Veux-tu que je me
le fasse devant toi. Peut-être, la cochonnerie, rien que de la voir, ça te fera décharger.
Oui ! Oui !
Tiens, je le fais, tu vois, je… je le
fais…
Lève bien ta jupe, que je te voie. Oh… je
bande… Écarte-toi bien.
Je jouis, mon chat, je jou… is… regarde,
regarde donc comme je jouis…
Ah ! ah… j’ai déchargé toute seule…
oh !… encore !… »
« Tu as bien fermé la porte ?
Oui.
Mettons-nous bien au jour.
Pourquoi ça ?
Tiens, pour nous voir le con !
Moi j’y suis, je commence déjà.
Jouis pas avant moi.
Sois tranquille, je me ferai durer.
À qui est-ce que tu penses, pour
décharger ?
Je pense à des pines.
Si on en avait une, hein.
Tu en as déjà vu ?
J’ai vu celle du cocher, un jour qu’il
pissait dans la remise.
C’est à elle que tu penses ?
Sûr.
Oh ! je mouille déjà.
Grande sale… ! moi aussi.
Tu jouis ? dis ? Tu
jouis ? moi, j’en crierais.
Ah, ça me secoue jusque dans le
dos !
Donne-moi la serviette, mon con
déborde. »
« Joséphine !
Madame ?
Réveillez-vous, ma fille. Laissez, que je
repousse vos draps. Là, voilà votre chemise levée. Mettez là votre main, et branlez-vous devant moi.
Oh ! Madame qui est toute
nue !
Oui, je vais m’accroupir sur votre lit en
face de vos poils et les jambes ouvertes comme vous. Nous allons essayer un jeu dont on m’a parlé. II paraît que c’est très amusant. Nous nous branlerons l’une devant l’autre. Cela fera une
petite mare sous chacun de nos cons et nous ne nous arrêterons que quand les deux flaques n’en feront plus qu’une.
Ha !… Ha !… la mienne coule…
mais c’est celle de Madame… qui est la plus grande.
Jouis ! garce !… crache du
con !
Ah ! c’est fait ! Jésus, quelle
mer ! »
« Lis encore, Germaine. Je veux le faire encore une fois.
Commence-toi d’abord. Quand tu seras bien
excitée…
Si je le suis ! Tiens !
tiens ! Si je le suis ! regarde mon doigt.
Alors je reprends : “Albert
retira du con sa pine toute couverte du foutre de la voluptueuse Henriette. ‘À moi !’ cria la comtesse, en prenant dans sa bouche la pine toute mouillée. Albert n’avait pas
déchargé.”
Oh ! que c’est cochon, ton petit
livre ! Que ça dorme envie ! Continue, ma Germaine, je vais jouir.
“Elle le suçait avec une sorte de
rage. Mais déjà Henriette avait fourré sa tête entre les cuisses de la suceuse et la gougnottait furieusement. La comtesse se tordait de désir et de volupté. Son beau cul de brune grasse et velue
s’agitait sur la bouche de la petite tribale. Hector, devant ce spectacle, s’était remis à bander.
‘Il faut que je t’encule !’ cria-t-il, et mouillant son long membre avec un peu de salive.”
Ah !… ah ! ma chérie, tu me
rends folle…
… “Il le poussa vigoureusement dans
l’anus étroit de la jeune femme. Elle voulut crier, mais au même instant, un flot envahit sa bouche, pendant que la pine d’Hector et la langue d’Henriette”…
Arrêtez !… je jouis… je jouis… je
jouis… »
« Par quel moyen stimulez-vous votre sens génital lorsque vous êtes seule, chère amie ?
Par le moyen de toutes les jeunes
filles : je suis onaniste jusqu’au bout des ongles, voyez-vous, et la masturbation clitoridienne est mon plaisir favori.
C’est aussi le mien ; mais je
voudrais savoir comment vous facilitez le glissement du médius sur le clitoris. Avez-vous une recette qui vous soit particulière ?
Aucune. Mon clitoris entre en érection à
la moindre pensée voluptueuse et en même temps mes glandes bulbo-vaginales salivent abondamment. J’humecte mon doigt dans leur sécrétion légèrement visqueuse, et cela me suffit.
Eh bien, laissez-moi vous donner une
ordonnance dont vous me remercierez demain. Mélangez : vaseline 30 grammes, farine de moutarde 5 g, poivre de Cayenne 2 g, acide borique 3 g. Plongez l’extrémité du médius dans ce mélange et
faites une onction régulière sur le clitoris et les petites lèvres avant de commencer à vous masturber.
La révulsion n’est pas trop
douloureuse !
Non. Non. Les doses sont faibles. J’en
use tous les jours pour moi-même et j’obtiens des spasmes d’une intensité admirable avec les plus violentes éjaculations, ma chère. »
« Allô !… Donnez-moi le 208-27… Allô ? 208-27 ? Oui ?
C’est toi, Madeleine !
Oui, Rosine… je te téléphone… je n’en
peux plus… Je te téléphone de mon lit… Naniche et Yvonne sont montées dessus pour se faire minette… tu les entends…
Oh ! les petites cochonnes !
Laquelle est-ce qui jouit si fort ? Est-il permis de crier comme ça !
J’en suis folle… C’est Naniche qui jouit…
Ne coupez pas, mademoiselle… Elle jouit sur la figure d’Yvonne qui en a les joues trempées. Moi je ne peux plus voir ça… je me branle, je me branle pour toi, Rosine, fais-le aussi.
Oui, oui ! faisons-le par
téléphone ! oh ! quelle bonne idée.
Je suis toute nue, couchée sur le dos, et
toi ? dis vite !
Moi, je suis en robe de chambre, je l’ai
ouverte, j’ai relevé ma chemise, je me branle de toutes mes forces pour jouir avant toi…
Ce n’est pas possible… j’ai trop envie…
si tu voyais mes poils… je suis inondée… Ne coupez pas, mademoiselle, branlez-vous aussi si vous voulez, mais ne coupez pas… Ah ! les petites salopes, c’est nous maintenant qui les excitons.
Elles recommencent.
Tiens ! chérie ! tiens !
je t’avais bien dit que je jouirais la première.
Non ! Moi aussi je le fais !
C’est pour toi… pour toi… pour toi… »
« Léonie, quel plat avez-vous pu faire avec le rouleau de la cuisine ? Il est tout poissé !
Oh ! Madame qui lèche ça ! bon
vrai !
Mais qu’est-ce que c’est ! Je ne
reconnais pas au goût.
Ce que c’est ? c’est du jus de con.
Je m’ai fait jouir avec. Pis c’est pas la première fois.
Misérable ! que me
dites-vous !
Ben, je me branle, quoi ! je fais
comme Madame. Quand on n’a pas d’hommes, comment qu’il faut faire ? Madame n’a qu’à m’apprendre, si elle connaît un truc.
Vous êtes une fille infâme !
Non mais alors… Madame croit-elle que je
vas rester comme ça depuis sept heures du matin jusqu’à dix heures du soir sans m’enfiler quelque chose entre les gigots ? C’est que Madame m’a jamais passé la langue au cul ; sans ça,
elle saurait que je l’ai chaud.
Taisez-vous ! je vous chasse.
C’est malheureux tout de même d’entendre
des conneries pareilles ! On peut pas recevoir un ami à la cuisine ! Chaque soir il faut attendre jusqu’à plus de dix heures pour avoir une queue dans le trou et on pourrait même pas
s’enfiler le rouleau ? Ben vrai j’aimerais mieux servir dans un couvent que chez une tourte comme Madame. »
« Vous êtes trop gentille, Simone, de me faire partager votre lit… Mais je vais vous scandaliser.
Comment ça ?
Je ne peux pas m’endormir sans me… sans
me…
Ha ! vous êtes bien bonne de me le
dire ! Moi, je l’aurais fait sans vous l’avouer.
Ah ! vous aussi ?… Mais moi je
fais trembler le lit, vous savez, quand ça vient. Alors je vous ai prévenue… »
SOURCE : Un excellent site de littérature érotique :
http://www.eros-thanatos.com/
le 01-09-2009 17:55 | émis par : Académie des Beaux-Arts
catégorie : Autorités administratives indépendantes
thème : Culture
zone : France
LETTRE DE L'ACADÉMIE DES BEAUX-ARTS « Couvrez ce sein que je ne saurais voir », lance, impérieux, le Tartuffe de Molière à Dorine, la servante, en lui tendant un mouchoir à la vue du haut
de sa poitrine émergeant du corsage traditionnel des soubrettes classiques. « ...Et cela fait venir de coupables pensées ». A cette admonestation, Dorine réplique avec le franc parler de la
nature : « Je vous verrais nu du haut jusques en bas, que toute votre peau ne me tenterait pas ».
Dans le raccourci saisissant du théâtre, Molière hausse au symbole le sein de Dorine et dénonce les contradictions que la société y a attachées.
Voilà, déjà, pour la littérature.
Le dossier conçu et élaboré par François-Bernard Michel et Lydia Harambourg sur le thème du sein entreprend de cerner le mystère que les philosophies ont secrété au long de l'Histoire, en
embrassant largement les oeuvres de peintres, sculpteurs, graveurs, aujourd'hui des photographes - avec une incursion dans l'imagerie médicale -, qui en offrent l'illustration.
« CET ILLUSTRÉ CONNU ET INCONNU... »
SEIN ? Le mot est aussi banal et figuré qu'ambigu, voire mystérieux.
Après le sens propre de mamelle - la glande mammaire caractéristique des mammifères -, se sont multipliés en tous sens les sens figurés (coeur, intime, ventre, centre, sinuosité, source),
témoignant de l'ambiguïté du mot et de sa diversité symbolique.
Si ce numéro de La Lettre de l'Académie se consacre au thème du sein féminin dans les arts plastiques, c'est donc pour invoquer, au-delà des formes et couleurs, le mystère du sein.
Qui pourrait se prétendre capable d'imaginer l'extrême diversité des figures physiques et mentales que suscite, pour une femme elle-même, la seule énonciation du mot sein ? Prononcer le mot fait
surgir immédiatement une multitude de représentations différentes, liées à l'âge, la culture, l'histoire personnelle et familiale, la santé et la maladie, la situation psychologique de
femme-femme (séductrice) ou de femme-mère (nourricière).
La plupart des artistes ont doublement figuré ce double statut du sein et de la femme. Durant sa vie et son oeuvre brèves, Giorgio da Castelfranco a talentueusement célébré le sein érotique de
l'énigmatique Laura, dévoilé par son manteau rouge au revers de velours noir, et le sein allaitant que reluque le voyeur étrange de La Tempête.
Au-delà des apparences et fonctions et de leurs binômes beauté/laideur ou érotisme/nutrition, l'essence des innombrables seins de l'art demeure bien inaccessible. A l'homme, à la femme elle-même
et évidemment aux artistes, aussi accomplies que soient leurs oeuvres. L'inaccessible du sein procède en effet de cette autre anatomie, éventuellement sans rapport avec la réelle, que je
qualifierai de psychique,
et selon laquelle chacun(e), sans distinction de sexe ou de technique artistique spécifique, a élaboré sa représentation du sein.
C'est cette anatomie singulière qui a, dans l'Histoire des Arts, généré le gigantesque album des seins, dont le contenu éclaire, sans le résoudre, le mystère.
Si, par définition, tout mystère est insondable, il n'est pas interdit de le scruter.
C'est ce que se propose de faire ce numéro de La Lettre fondé sur les « classiques » du sein et les oeuvres des académiciens, anciens ou actuels, de l'Académie des Beaux-Arts.
François-Bernard Michel
Pour en savoir plus
Cette photo est sur le site de Fred : http://www.sylose.fr:80/
Elle s'ajoute aux variations récoltées ici-même sur le Net.
L'Origine du monde : variations - 5
Pour ma part, j'ai travaillé sur ce thème et réalisé en outre une toile intitulée : "Ceci n'est pas une pipe", d'après le célèbre tableau de Magritte.
JE SUIS PRENEUR DE CE TYPE DE DETOURNEMENTS,
DE CES PASTICHES ET PARODIES.
m_debray@club-internet.fr
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