Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 12:27


Par Michel Debray - Publié dans : Jours - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Vendredi 24 juillet 5 24 /07 /Juil 14:47




Le groupe ACTIONS DOUCES est  constitué de jeunes femmes belges
qui s'exhibent en public ou dans la nature.
Leur action prend ces derniers temps l'allure d'une forme de protestation libertaire...

















































Ce retour du situationnisme montre aussi le caractère éminemment  surréaliste de la Belgique où certaines sont les filles spirituelles
de Noël Godin l'Entarteur !



Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Epicuriens et libertins
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Vendredi 24 juillet 5 24 /07 /Juil 14:38




Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 24 juillet 5 24 /07 /Juil 12:28

De retour après quelques jours d'absence, je trouve cette petite perle extraite de SUPER SEXY l'émission un peu  coquine des années 80 sur TF1
(qui n'était plus dans le giron du service public depuis 1987)


 


TF1 14/08/89 extrait Super Sexy
par Jayce2007


Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 10:57


Ce joli couple me rend hommage sur leur blog.
Celui-ci est très riche dans le domaine de l'érotisme, 
avec un éclectisme qui ressemble à celui du POILNET.

Je remercie Margot et Chaton pour l'intérêt qu'ils portent à mon travail notamment pictural.

 Vous pouvez les découvrir ici :
http://www.margot-chaton.com/










Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Epicuriens et libertins
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Mercredi 15 juillet 3 15 /07 /Juil 23:25



 



















http://www.voyeurweb.com/


X

Aleksey - Marina


Caroline

JE SUIS COMME JE SUIS
Jacques Prévert – (Né à Neuilly-sur-Seine)


Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Quand j’ai envie de rire
Oui je ris aux éclats
J’aime celui qui m'aime
Est-ce ma faute à moi
Si ce n’est pas le même
Que j’aime chaque fois
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Que voulez-vous de plus
Que voulez-vous de moi

Je suis faite pour plaire
Et n’y puis rien changer
Mes talons sont trop hauts
Ma taille trop cambrée
Mes seins beaucoup trop durs
Et mes yeux trop cernés
Et puis après
Qu’est-ce que ça peut vous faire
Je suis comme je suis
Je plais à qui je plais
Qu’est-ce que ça peut vous faire

Ce qui m’est arrivé
Oui j’ai aimé quelqu’un
Oui quelqu’un m’a aimé
Comme les enfants qui s’aiment
Simplement savent aimer
Aimer aimer...
Pourquoi me questionner
Je suis là pour vous plaire
Et n’y puis rien changer.






Par Michel Debray - Publié dans : Blasons - Communauté : chaude&caline
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Mardi 14 juillet 2 14 /07 /Juil 16:29


Couderc
Par Michel Debray - Publié dans : Jours - Communauté : Epicuriens et libertins
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Dimanche 12 juillet 7 12 /07 /Juil 15:54

 

Douze fois par an - par Jeanne Cherhal

 

 



Con large comme un estuaire
Où meurt mon amoureux reflux
Tu as la saveur poissonnière
l'odeur de la bite et du cul
La fraîche odeur trouduculière


Femme ô vagin inépuisable
Dont le souvenir fait bander
Tes nichons distribuent la manne
Tes cuisses quelle volupté
même tes menstrues sanglantes
Sont une liqueur violente


La rose-thé de ton prépuce
Auprès de moi s'épanouit
On dirait d'un vieux boyard russe
Le chibre sanguin et bouffi
Lorsqu'au plus fort de la partouse
Ma bouche à ton nœud fait ventouse


Guillaume Apollinaire

 



 



X


X


Vanessa Fenuele


Chen Ling Yang

Déesse indienne des menstrues

Helsinki
- L'érotisme des villes -


Kiki Smith

 

Marichan



Mayra Alpizar

Nicoline Calcaterra


Selin Cileli


Thomasin Durgin


...Je me déshabillais. Elles prennent conscience - comme on dit - de mon émoi. Et moi je sais que je ne pourrais pas encore peindre ce soir. Je plaçais une bande des Pink Floyd - Noblesse oblige ! - sur mon magnétophone & je me ruais, pine en figure de proue, sur le premier vagin qui m'était offert. C'était celui de ma compagne. Je la besognais à la missionnaire tandis qu'Anne lui caressait les seins & l'embrassait. Mais mon excitation était trop grande & ma roideur ne tenait pas ses promesses. Je me retirais sur la pointe du gland & les laissais s'enlacer sur le matelas cru. Je m'agenouillais entre leurs mollets de pouliches & incrustais trois doigts de chaque main dans chacun des deux conins qui s'ouvraient sous mes yeux. Je me retrouvais ainsi ganté de femelles. Mes bras se prolongent, à travers leur fournaise juteuse, jusqu'à leurs bouches qui se taisaient. Des liqueurs dissemblables coulaient contre mes paumes. Daria jutait à pleins tuyaux. Anne laissait dégouliner sa colle à papier peint. C'était chouette! Je portais des mitaines en muqueuse de con & je battais en neige leur dansant petit créziou. J'étais tellement impressionné par cet acte de double & profond farfouillis que j'en oubliais de triquer. Elles s'en apercevaient & m'installaient entre leur corps humecté de sueur. Cette fois, je ne résistais pas à leurs conjointes caresses. Je bandais comme un âne & enconnais somptueusement Daria qui, à cheval sur mon ventre, se mettait au triple galop & venait cogner son col utérin contre ma balane goguenarde. Elle laissait soudain la place à Anne qui venait s'emboîter à moi d'une seule poussée. Pour une fois, les nymphes barricades se sont écartées d'elles-mêmes. Son vagin se sphérisait & son vestibule annelé m'enserrait fortement la base du pénis. AAAAARRRRRGGGGGLLLLL ! YEAHHH ! Sublime ! Vous m'en remettrez ! Mais elle défournait à son tour & penchait son visage vers mon cornet à piston. SPLATCH ! Trop tard ! Je lui giclais dans l'œil & Daria récupérait les morceaux du bout de la langue.

La diversité des sexes m'a toujours étonné. Daria était pourvue d'une longue fente qui permettait l'enconnage avant autant que l'enconnage arrière, sans bavure, d'un seul coup de reins. Il me suffisait de lui glisser une main dans le slip pour atteindre illico son petit noyau de mirabelle. Anne présentait antérieurement une barrière iliaque qui obligeait le doigt à se recourber vers la voûte plissée de son mignon conduit. Lorsqu'elle me chevauchait, Anne me râpait la quignolle de son pubis bizarrement infléchi.

Une nuit, alors que, coïncidence, elles étaient en même temps indisposées, j'arrachais leurs tampons périodiques & je faisais un cocktail noir de leurs caillots de sang ovarien sur mon gland d'heureuse insouciance.

 


Que ceux qui n'ont jamais pêché pendant les menstrues me jettent le premier Tampax !

 


Michel Debray - Extrait de "Damianes" - roman

 

Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 14:00






Angie sur  http://www.rabbitfinder.com/fr/galerie-amateur/



Grazielle


Maya





















http://www.voyeurweb.com/





Simone et JML sur Jacquie et Michel sur http://www.jacquieetmichel.net/



Nue sur la nationale
par zappeur7



LES PRECEDENTES VOYAGEUSES :
Les voyageuses

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Dimanche 5 juillet 7 05 /07 /Juil 12:28

"Plonger la langue dans une soupe de bave. Mouliner. Dans un sens, puis dans l’autre. En gardant les yeux fermés. Mais, pour vérifier que l’autre est bien en pâmoison sous l’effet de ce patin de la mort, le ou la surveiller du coin de l’œil et, ce faisant, croiser son regard en très gros plan. Un premier palot, c’est mémorable. Et c’est toujours un peu mécanique. Comme dit Hervé, le héros des Beaux gosses, le film de Riad Sattouf, «la technique, ça se peaufine» . Suffit de s’entraîner, éventuellement contre le miroir de la salle de bains. Ou, comme Hervé, en enfournant son doigt dans la bouche d’un copain qui n’a jamais embrassé de sa vie, rien que pour lui démontrer que la salive ne coule pas sur les côtés.


Un film pareil, c’est mille fois mieux qu’une madeleine de Proust. Pourquoi ? Parce que le rappel des terribles tourments de l’époque -toutes ces vexations et ces sidérations vécues au collège dans la quête obsédante mais redoutée d’un contact charnel avec le grand amour- est tordant. Pas pour tout le monde, il est vrai. Le public adolescent rit jaune, nous l’avons constaté dans plusieurs salles de cinéma. Pétris de pudeur et encore englués dans les affres de leur ingrat statut, les ados d’aujourd’hui trouvent le film
«trop trash», sonhumour «crado» , en résumé pas franchement valorisant. Mais pour leurs parents, c’est une pépite, un truc qui soulage, une machine à remonter le temps sans se faire mal. Confidences d’ex-boutonneux, le temps d’un retour au collège.


Jean-Pierre,à Versailles en 1973

«J’avais 16 ans et à mon époque, il n’y avait pas encore de mixité à l’école. La seule possibilité de choper des filles, c’était de participer à des activités extrascolaires. C’est comme ça que moi, le laïcard gauchiste, j’ai dû me rapprocher de l’aumônerie qui organisait un club théâtre avec le lycée de filles voisin. Nous avons pris le car pour aller répéter le temps d’un week-end en baie de Somme. J’obsédais grave sur Véronique V. Elle m’ignorait complètement. Pourtant, je faisais tout pour paraître le plus intelligent, le plus sensible, le plus artiste. De tout le week-end, il ne s’est rien passé. Et puis, juste au moment de remonter dans le car, j’ai cru percevoir le signe d’une ouverture quand elle a replacé une mèche de cheveux derrière son oreille. Je me suis assis à côté d’elle, programmant le patin que j’allais enfin réussir à lui rouler. On n’avait pas fait cinq kilomètres qu’elle a commencé à se sentir mal. Elle a vomi pendant tout le trajet de retour. Et puis il y a eu Caroline R. Elle m’avait fait parvenir le 45 tours de Françoise Hardy Message personnel, qui dit : "Si tu crois un jour que tu m’aimes…", etc. Le message était donc clair, sans ambiguïté, ça allait se faire. Sauf que ses copines, jalouses, m’ont raconté comment elle s’entraînait à me rouler ce premier palot en étreignant un polochon. La perspective de jouer le rôle du polochon m’a totalement fait déchanter. J’ai refusé de sortir avec Caroline R.»


Laurent,dans la Drôme en 1984

«En quatrième, j’exhibais des photos de ma grande sœur en prétendant que c’était ma nana. Juste pour qu’on arrête de me coller la pression. Tout le monde avait des bottes camarguaises -mais ma mère n’a jamais voulu m’en acheter- et un sac US kaki tout tagué et couvert de pin’s. Moi j’avais le cartable en cuir de mon oncle Henri-Jean. J’étais pas dans le coup. Je passais pour le romantique à qui l’on peut tout dire car il ne passe jamais à l’action. J’écoutais, je consolais, c’est tout. Tandis qu’un pur kéké, Nicolas, tombait toutes les nanas. J’aurais voulu qu’il meure. Je découpais sa tête sur la photo de classe et je collais la mienne à sa place.»


Melrose,à Valenciennes et Cambrai en 1986

«Quand les garçons se retrouvaient dans la cour de récré, ou pendant l’interclasse, il y en avait toujours un pour mimer une sodomie en agitant les reins dans le dos d’un copain. C’était leur façon de se saluer. Ça m’a toujours fascinée.»


Gérard,à Argenteuil en 1981

«Comme il n’y avait pas une boum par semaine, je misais sur le cinéma pour rouler des pelles. Là, dans l’obscurité de la salle, j’avais toujours une chance d’arriver à mes fins et de peloter des seins. Il y avait une fille avec qui je sentais que je pouvais m’aventurer un petit peu plus bas. Sauf qu’elle portait une ceinture disco, et que moi j’étais un hard rocker : j’ai jamais compris comment ouvrir sa ceinture. Un vrai plan galère.»


Tristan,à Champigny-sur-Marne en 1983

«Je repiquais ma quatrième et je n’avais pas encore grandi, je me faisais beaucoup chambrer sur mon physique, et bien sûr je n’avais encore jamais embrassé personne. Un jour, sur le trajet du collège, une fille de ma classe se plante devant moi : "Est-ce que tu veux sortir avec moi ?" J’ai paniqué. Ce n’est pas qu’elle était trop moche, juste que je n’en étais pas là. Mais comme le sujet de conversation numéro 1 entre les gars c’était le rapport sexuel, je lui réponds : "Non. Mais est-ce que tu veux faire l’amour avec moi ?" Elle a mis du temps à encaisser, puis très sérieusement a répondu : "Non. Mais toi, est-ce que tu veux sortir avec moi ?" Je suis parti en courant.

Quelques mois plus tard, je repiquais ma troisième. J’en étais toujours au même stade, quand Sandrine, très entreprenante, se colle à moi, super sensuelle, et m’embrasse super bien. Elle m’accompagne à la maison, on s’embrasse, j’ai le vertige. Puis elle se jette sur mon lit et me lance : "Alors, on couche ?" Pour moi, la façon de le dire, le comportement, tout, c’était le summum de la vulgarité.»"

Recueilli par MARIE-JOËLLE GROS

http://www.liberation.fr/vous/0101577821-quand-j-etais-beau-gosse



 



Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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