Samedi 26 septembre 6 26 /09 /Sep 18:35


Guido Crepax
(
15 juillet 1933 à Milan 31 juillet 2003) est un auteur de bande dessinée italien.




Il est diplômé en
architecture à l'université de Milan et se lance dans la bande dessinée en 1959 dans Tempo Medico. En 1965, il participe à la toute nouvelle revue Linus, où il publie Neutron, une histoire de science-fiction, dans laquelle on voit déjà apparaître le personnage de Valentina, au physique inspiré de Louise Brooks.



Spécialiste de l'érotisme, il illustrera le
Marquis de Sade, Emmanuelle Arsan, (lien iciPauline Réage et Sacher Masoch. Sa mise en page très cinématographique s'adresse à un public plutôt intellectuel ce qui explique sans doute son relatif échec dans le genre érotique essentiellement populaire.


Il est décédé en 2003 d'une
sclérose en plaque.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Guido_Crepax

Crepax a surtout illustré les jeux sado-maso et son choix de romans en marque l'empreinte.

Je préfère l'érotisme solaire de Manara ou de Georges Pichard...


















 

 





Histoire d'O - D'après Pauline Réage


Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 25 septembre 5 25 /09 /Sep 14:07


Extraits du joli livre de Jacques André Bertrand :
TRISTESSE DE LA BALANCE ET AUTRES SIGNES
Editions Julliard




Pour Carole : TRISTESSE DE LA BALANCE

A l'extrême pointe de septembre, l'été décroche. La vie a un léger flottement. Il y a comme un balancement dans l'air. La balance est un signe d'air. L'air fraîchit. La balance se dépêche de rentrer par crainte de prendre froid. La balance s'enrhume pour un rien. La balance craint égale
­ment de prendre chaud. Le chaud et le froid donnent des sueurs à la balance. Elle ne se plaît que sous les climats bien tempérés.

 

Les symboles passent. Déjà la moitié du zodia­que : on se retrouve en face du bélier. Le bélier fait signe. La balance fait semblant de ne pas le voir. Elle se sent un peu triste. La balance s'attriste pour un rien. Elle est inquiète. Préoccupée. La balance a des préoccupations très fines, entrecoupées par un lancinant désir de distraction. C'est une pharma­cienne soucieuse qui, entre deux dosages infinité­simaux, éprouverait l'impérieux besoin d'aller danser le menuet.

 

Le menuet, pas la java. La balance a horreur de la java.

 

Je m'emporte : la balance n'a horreur de nen. Disons que la balance ne goûte guère la java.

 

Les choses mal assorties, les couleurs criardes, les voix trop fortes déplaisent à la balance. Elle n'apprécie que les instruments de musique bien tempérés. Un défaut de balance lui gâche tout le plaisir de la stéréophonie. Elle est à la régie du zodiaque, entre le jour et la nuit, entre la chair et l'esprit.

 

Les demi-teintes de l'automne vont à la balance comme un gant. La balance a plusieurs paires de gants. Elle en met dans toutes les circonstances.

 

Si la balance avait horreur de quelque chose, elle aurait horreur de la peine. D'en avoir ou d'en faire. La balance n'est pas un homme de peine.

 

La balance supporte mal les conflits, qu'ils soient familiaux, vicinaux ou internationaux. Elle veut avoir la paix. Dans les cas extrêmes (Gandhi), elle peut aller jusqu'au pacifisme. Dans les cas ordinai­res, la balance est un être plein de bonne volonté qui souhaite vivre en bonne intelligence.

 

La balance est diplomate. La balance a le sens de la justice - à moins que ce ne soit la justice qui ait le sens de la balance.

 

La balance se méfie des béliers, des cancers, des capricornes (qui sont, comme elle, signes «cardi­naux», portiers des saisons). Et aussi des autres signes. La balance se méfie d'elle-même. Elle éprouve le besoin de se contrebalancer. C'est pourquoi elle fait grand cas des associations en tout genre et en particulier du mariage. Cela finit souvent mal. La balance ne sait pas refuser. Elle hésite, elle concilie, elle atermoie, elle signe. Une fois mariée, elle trouve vite un amant ou une maîtresse afin de continuer à balancer.

La balance a le balancement dans le sang. Aussi danse-t-elle comme personne.

 

La balance a besoin qu'on l'aime. Elle quête avec fébrilité l'approbation de son entourage. Par bon­heur, elle ne manque pas de charme. Ce charme lui vient moins de sa faculté de mesurer que de sa faculté de balancer. (Le charme n'est pas un instrument de mesure, c'est un instrument de balance.)

 

La balance est généralement adorable avec les gens qu'elle ne connaît pas. Elle peut se montrer désagréable avec les gens qu'elle a déjà séduits depuis quelque temps. C'est que, si Vénus repose aimablement sur un de ses plateaux, Saturne veille sur l'autre.

 

Parfois, la balance porte des tares qui l'en­traînent à des excès, voire à de brusques revire­ments .. Le plus souvent, elle se complaît dans le vague à l'âme, dans le vague au corps, aussi. Elle se sent lasse. Tristounette. Sans savoir exactement pourquoi. Il n'est pas rare de voir une balance s'arrêter pour s'interroger sur l'origine du léger voile de tristesse qui vient de la frôler. Presque rien. La balance n'a pas son pareil pour enregistrer un presque rien. La moindre variation d'ambiance lui donne des frissons. Avec un presque rien, elle peut faire de grandes choses. La balance est très sensi­ble.

 

La balance partage avec le capricorne le mono­pole de la mélancolie. La mélancolie est un presque rien qui peut peser lourd. Certains l'appellent neurasthénie. La balance ascendant capricorne est très mélancolique. Pour elle, la gaieté a quelque chose de vulgaire, et même de pathologique.

 

Tous les équilibres sont fragiles. A peine la nuit a-t-elle rattrapé le jour que déjà elle l'emporte sur lui. La matière et l'esprit se jouent des tours complètement irrationnels. L'instabilité s’installe.

 

En fait, l'équilibre est dans le balancement. La balance le comprend sur le tard. Elle cesse de vouloir concilier le jour et la nuit. Elle laisse tomber son aiguille. Elle perd du poids. L'univers lui paraît plus léger.

 

Alors, au beau milieu du zodiaque, dans la mouvance de la chair et de l'esprit, du jour et de la nuit, la balance s'en balance.



 
________________________________________________________________




Vertige du Scorpion


Les feuilles mortes se décomposent lentement dans les flaques d'eau croupissante de l'automne. Le scorpion danse à petits pas.

 

Le scorpion a tout pour plaire. La démarche de l'araignée et du serpent à la fois. Cette lenteur lourde de menace - une hésitation enceinte d'une vivacité...

 

Le scorpion danse à petits pas avec Éros et Thanatos. Il est prêt à se laisser mourir de plaisir mais, à la moindre douleur, il se sent revivre. Il ne cesse de se détruire et de renaître à longueur de journée. Le Phénix - l'oiseau qui renaît de ses cendres -, c'est lui. C'est symbolique. Le scorpion est très symbolique. « Il est dans l'essence des symboles d'être symboliques », assurait Jacques Vaché.)

 

L'aigle est le symbole supérieur du signe. Le scorpion est la chenille de l'aigle.

 

Le scorpion attend des métamorphoses. En attendant, il fermente. Dans l'eau stagnante des marais ou dans l'eau-de-vie. Le scorpion est un alambic noir - où mijotent des pulsions, des appétits, des refoulements - doté d'un sexe et d'un anus. La vierge et la balance ont tout digéré ; le scorpion rend à la terre ce qui appartient à la terre.

 

Le scorpion n'a pas l'air tranquille. Qu'est-ce qui inquiète le scorpion ? Rien. Tout.

 

Le scorpion s'interroge. Il doute. De tout et parfois même de ses doutes. C'est un interrogatif entêté. Un inquiet obstiné. Son doute a quelque chose de sérieux, de réfléchi, de rassurant fina­lement. Les gens sont tellement plongés dans le doute, submergés par le doute, qu'on ne peut même plus dire qu'ils doutent. Le scorpion, lui, doute vraiment. À force de ténacité, il finit par imposer son doute à tout le monde.

 

Cent fois on l'a cru mort, ou retraité. Il a dû traverser plusieurs déserts. On ne parlait déjà plus de lui qu'au passé et puis le revoilà. Il s'appelle de Gaulle. Ou Mitterrand. Il croit dur comme fer en la France, c'est-à-dire en lui-même. Il est tenace. Résistant. Quand les choses ne lui plaisent pas, il fait de la résistance. Il prépare la libération. Si la libération ne lui plaît pas, il refait de la résistance.

 

Tous les scorpions n'ont pas autant d'ampleur dans le doute. Il y a ceux qui grignotent, ceux qui se ratatinent. Ceux qui se laissent aller. A l'alcool, à la drogue, au sexe. Le scorpion est beaucoup plus que sexué ou sexuel. Le sexe est pour lui une espèce de drogue alcoolisée mais dont il use ordinairement ­comme d'un vin de table. Le scorpion est ­comment dire ? - sexique.

 

Le scorpion fréquente les perversions, mais sans en faire toute une histoire. S'il va jusqu'à la frénésie, c'est qu'il a horreur de la médiocrité. Ne parvenant pas à s'imposer comme un criminologue de premier plan, il devient un grand criminel. C'est un exemple. Un problème sexuel fait verser dans une spiritualité débridée. Il fait indifféremment des excès de table ou de jeûne.

 

Le scorpion pique. Il a le ton vif, l'ironie facile, le sarcasme rapide. En même temps, il est facilement vexé. Le scorpion est susceptible. Le scorpion est méchant.

 

Notons que le scorpion n'est pas méchant méchamment. Il est méchant par inquiétude. Ses grands désirs et ses doutes profonds le font s'agiter dans tous les sens. À force de faire des gestes inconsidérés, on finit par commettre des maladres­ses. Le scorpion pique.

Le scorpion se met dans des états nerveux pas possibles. Quand les circonstances s'y prêtent ­lorsqu'il est cerné par le feu, ou persuadé qu'il vient d'attraper la syphilis - le scorpion se pique lui-même. Il s'agit moins d'un suicide que d'un accident. Le scorpion porte toujours sur lui son épée de Damoclès. Il serait bien avisé de se munir de sérum contre son propre venin.

 

Le scorpion est critique. Autocritique. Curieux. Sexologue. Psychanalyste. Sado-maso. Caca bou­din. Agent secret, double de préférence. Héros dostoïevskien, peint par Jérôme Bosch et ironique­ment commenté par Villiers de l'Isle-Adam.

 

Le scorpion est mal vu. C'est le mal aimé du zodiaque. On convoite ses richesses enfouies et ses pouvoirs secrets. On redoute son côté faustien. Tout cela étonne le scorpion. Il se croit très simple. Le pire, c'est qu'il l'est, d'une certaine façon. Étran­geté du scorpion. Étrangeté de l'homme. Vertige de la chronique zodiacale.

 

Il faut s'y faire ; le scorpion est l'un des plus anciens habitants de la terre. Aux dernières nou­velles, il résisterait à la radioactivité.


J.A  BERTRAND 


Autres textes croisés

 



Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 25 septembre 5 25 /09 /Sep 13:50

Photos reçues d'un peut-être futur modèle...

Eune file d'euch'Nord...













Par Michel Debray - Publié dans : Cybermodèles - Communauté : Photos érotiques
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Vendredi 25 septembre 5 25 /09 /Sep 13:24


Après avoir été témoin de la "maltraitance" de ton petit oiseau et après avoir été "agacée" de ne pouvoir lui venir en aide, je retrouve agréablement l'intelligence de ta personnalité libertine que tu assumes merveilleusement autant que moi je refoule mes désirs derrière le prétendu mur du conformisme. 

Tes mots se déroulent majestueusement pour me dévoiler leur sens parfois cru souvent subtile et tout cela en une caresse délicieuse qui m'émeut et me satisfait.
Je les lis pour les comprendre et les relis pour m'en combler. Je te vois près de moi souriant et convaincant. Je te sens en moi allant et venant, me désirant à la fois doux et affolant.
Dans tes bras je pourrais être tentée d'y puiser mon réconfort tout en me laissant emporter par l'expression sans retenue de mes désirs de femme.

Tendrement Carole.

________________________________________________________________


Ta réponse est éloquente.
Sûrement comme ton corps, continent blanc (ainsi surnommait-on jadis toute terra incognita du globe) dont je suis l'explorateur aveugle, pour le moment...
Tu m'as enfin compris. Tu as perçu le contenu réel de mon engagement dans une quête de liberté et de refus des forces mortifères qui nous accablent au nom d'une prétendue morale aussi hypocrite que dépourvue de cohérence, au nom de croyances imbéciles qui prétendent toutes s'insinuer dans les pratiques joyeuses de notre sexualité.
Tes derniers mots supposent une présence physique, charnelle, amoureuse.
Or, nous sommes éloignés, confinés aux jeux virtuels, sans cette passion délicieuse du sentiment amoureux et du désir impérieux.
Tu n'es pas libre, m'as-tu dit un jour.
Moi non plus.
Tu es jeune. Je ne le suis plus bien que j'essaie à toutes forces - et mes activités d'artiste m'y aident - de repousser l'échéance où ces échanges innocents deviendront impossibles sinon pitoyables.
Jouons donc, en dépit de tous ces obstacles.
Le jeu renvoie à l'enfance et au théâtre.
Jouons avec les mots et avec nos images.
J'aimerais juste te découvrir, te mieux connaître, te séduire davantage.
Tu possèdes sans doute la beauté inhérente à toute femme.
Tu auras compris que c'est cette beauté-là qui me comble, qui me tient debout, qui est mon ultime recours face à un désespoir existentiel dont je connais depuis toujours l'implacable vérité.
Bref, je te remercie d'exister, toi qui fait partie, selon l'expression chinoise, de la moitié du ciel.
 
Avec ma tendresse...
 
M.D.

_________________________________________________________________


Tu es certes cet "explorateur aveugle" mais je peux être ta chienne qui te guide pour découvrir tous les secrets de ce continent qui ne reste blanc que pour celui qui ne veut en voir les couleurs.
De vastes territoires accueillant, des plaines somptueuses et des collines généreuses aussi attirantes les unes que les autres, mais aussi des grottes chaudes souvent chaleureuses pour peu que tu saches te faire accepter pour y pénétrer. Des sources imprévisibles disposent d'une capacité insoupçonnable pour les visiteurs avertis qui y trouvent alors une hospitalité qui alimente leur va et vient sans retenue.
Nul n'est exclu pour son âge, ni pour son apparence, exception faite pour les fragiles du cœur qui risquent d"être emportés par la chaleur parfois excessive et affolante.

Carole.

_________________________________________________________________


Ce que tu écris, Carole, me fait penser à la chanson de Barbara :
 
Moi, je m'balance,
Au soleil de minuit,
De mes nuits blanches,
Moi, je m'balance,
Chacun sera servi,
Mais c'est moi qui choisis
,

Tu te montres comme un paysage corporel recelant mille trésors de volupté. Tu veux apparaître comme une libre libertine s'offrant à qui lui plaît. Messaline aux petits pieds charmants, va ! Allez, ne sommes-nous pas tous empêtrés peu ou prou dans nos rêts de conformisme, dans notre inappétence au plaisir et à notre culturisme du dépit accepté ?
 
Je sais que tu dans cette problématique du désir de jouissance et du renoncement.
J'allais dire : comme beaucoup.
 
Tu contemples et décris, avec un rien de ce narcissisme nécessaire à l'estime de soi, ton corps de femme. Tu en connais les pouvoirs, les arcanes et les mystères. Tu sais comme il peut faire naître de désirs palpables, physiques, animaux qui effraie un peu l'indécrottable romantisme que tu cultives aussi.
 
Ainsi vont les choses entre les hommes et les femmes. Au vrai, nous ne devrions jamais nous rencontrer, comme si nous ne faisions pas partie de la même espèce. Pourtant nous sommes indispensables les uns aux autres. Tant dans le registre du sentiment que dans l'univers luxuriant de la chair.
 
Eternelle histoire... Lutte passionnée depuis les siècles des siècles. Etreintes torrides dont on se repent sitôt passé l'orgasme.
 
C'est moi qui invite,
C'est moi qui vous quitte,
Sortez de ma danse...

 
Moi, je m'balance,
Parmi tous vos désirs,
Vos médisances,
Moi, je m'balance,
Sans adieu ni merci,
Je vous laisserai ici,
Sans adieu ni merci,
Je vous laisserai ici,

Car j'm'en balance,
J'm'en balance,
J'm'en balance,
J'm'en balance...
 

M.D.


Textes croisés précédents

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Mardi 22 septembre 2 22 /09 /Sep 16:21


Buono compleanno Sophia !


 





 




Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : La beauté sexy
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Mardi 22 septembre 2 22 /09 /Sep 15:01


L'avantage des petits seins c''est qu'ils sont souvent d'une extrême sensibilité aux caresses à plate paume ou aux longues succions...





Serge Gainsbourg
SEA, SEX AND SUN


Sea, sex and sun
Le soleil au zénith
Vingt ans, dix-huit
Dix-sept ans à la limite
Je ressuscite
Sea, sex and sun
Toi petite
Tu es de la dynamite

Sea, sex and sun
Le soleil au zénith
Me surexcitent
Tes petits seins de bakélite
Qui s'agitent
Sea, sex and sun
Toi petite
C'est sûr tu es un hit

Sea, sex and sun
Le soleil au zénith
Me surexcitent
Tes petits seins de bakélite
Qui s'agitent
Sea, sex and sun
Toi petite
C'est sûr tu es un hit

Hey, baby...

Sea, sex and sun
Le soleil au zénith
Me surexcitent
Tes petits seins de bakélite
Qui s'agitent
Sea, sex and sun
Toi petite
C'est sûr tu es un hit

Sea, sex and sun
Sea, sex and sun
Sea, sex and sun
Sea, sex and sun
Sea, sex and sun


















 














CLEMENTINE

Sous un léger corsage qui fait des plis
Deux petits seins bien sages
Comme c' est joli
J' allais vers la colline
Sous un grand ciel tout bleu
Et je voyais briller les yeux
De Clémentine, de Clémentine

Elle descendait sur le chemin
Disait bonjour avec sa main
J' avais seize ans comme elle
Je la trouvais si belle
Que je n' osais pas lui parler
Et sur le bord de la rivière
Je la regardais s' en aller
Ses cheveux blonds comme une crinière
Et son jupon flottant si haut
Qu' on voyait ses jarretières
Elle a trébuché sur une pierre
Elle est tombée dans l' eau

Sous un léger corsage qui fait des plis
Deux petits seins bien sages
Comme c' est joli
J' allais vers la colline
Sous un grand ciel tout bleu
Et je voyais briller les yeux
De Clémentine, de Clémentine

Quand je l' ai vue tomber dans l' eau
Moi j' ai couru dans les roseaux
J' avais seize ans comme elle
Je ta trouvais si belle
Que j' ai plongé pour la sauver
Mais j' ai coulé dans la rivière
Car je ne savais pas nager
C' est elle qui m' a ramené à terre
Toute mouillée contre mon corps
Sa poitrine était douce
Nous étions couchés sur la mousse
Elle m' a serré très fort

Un peu beaucoup et même
À la folie
La première fois qu' on aime
Comme c' est joli
Les amours enfantines
Quels secrets merveilleux
Je vois toujours briller les yeux
De Clémentine, de Clémentine




http://www.voyeurweb.com/


Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Photos érotiques
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Lundi 21 septembre 1 21 /09 /Sep 16:06


ETRANGE CONTRASTE

Quel étrange contraste en effet. Je ne suis nullement choquée mais surprise. D'abord imprégnée par la douceur intelligente de tes mots, me voilà subitement témoin des soubresauts convulsifs du petit oiseau.

Ne serait-il pas malmené par ces frottements intempestifs? Ne risque t-il pas d'être surmené par ces sollicitations répétées à la recherche d'un plaisir pourtant si éphémère?

Mon texte fruit de mes fantasmes l'aurait mis dans cet état, me dis tu. Cela est loin de me déplaire mais je n'en ressens pas moins de compassion pour ce "petit animal" qui bien que dévoué semble répondre péniblement aux appétits insatiables de son maitre.
Pointé vers moi comme pour mieux satisfaire ma curiosité, tu le presses sans ménagement jusqu'à ce qu'il se laisse cracher les quelques gouttes de ta crème gluante annonciatrice de son repos tant mérité.

La tigresse qui est en moi se croit bien inspirée de me suggérer de venir au secours de ce petit bout de chaire vivante pour lui redonner vie et enthousiasme. Mais moi, toujours sous l'effet de mon étonnement, et même pas encore remise de mes émotions, je ne suis pas apte à la suivre dans cet égarement certes bienfaiteur mais pas moins culpabilisant.

Dans d'autres circonstances j'aurais peut être été tentée par un tendre moment de "civisme érotique" en usant de mes compétences féminines pour enduire ce valeureux membre de mes ambitions charnelles afin de le préparer à des conquêtes autrement plus valorisantes et plus gratifiantes. Ma langue et mes lèvres chaudes seraient certainement plus aimantes que la rugosité malmenante d'une grande main nerveuse d'un mâle qui jouit dans la froideur de la solitude.

Tendrement Carole.

_______________________________________________________________


Contraste et Dualité sont dans un bateau 

 

Quand on ne peut voir, il convient parfois de se montrer...


Outre le fait véridique que ton texte sur la sodomie m'avait émoustillé j'étais aussi quelque "énervé", pas "vénère" selon la moderne terminologie mais agacé et encore n'est-ce pas le bon mot.

Il y a étrangement une parenté entre le teasing anglais et le "tissous" occitan, inconnue dans la langue de Molière. On comprend ce mélange d'agacement, d'excitation et de plaisir mêlés dans la notion de strip-tease. D'un enfant toujours en train de harceler sa mère, d'un noyau de pêche dont on veut extirper tous les filaments, d'un tas de cacahuètes ou de noix dont on ne peut extraire sa gourmandise, le Languedocien dira :"Il est tissous ou c'est tissous !"


J'étais dans cet état car voulant rencontrer la tigresse aux orgasmes de profonde jungle, je ne tombais que sur ta part raisonneuse et raisonnable.

Comme la fantasmeuse la plus débridée et la plus talentueuse peut être fade comparée à l'amante virtuelle ou réelle aux désirs humides et aux plaisirs de bouillonnements aquatiques, sublime dans sa majestueuse vulgarité biologique ! Comme est volcanique la beauté italique de la Magnani face à la frigide splendeur d'Ingrid Bergman ! Anna Magnani mourut d'un cancer du pancréas (littéralement : toute la chair) et Bergman disparut amputée des deux seins, je te laisse réfléchir là-dessus...


Donc, humblement, je sortis le "petit animal", autrement dit : ma bite. Sachant qu'à mon âge et à cette heure pâle du jour ou de la nuit, il faudrait longuement l'amadouer. L'écran est un désert. Il décourage toute idée même d'oasis aux eaux et aux nectars suaves. Mais il n'était pas solitaire puisque que tu y étais...


Tu fus surprise, plutôt étonnée. Emile Littré, l'auteur du dictionnaire s'adonnait à des plaisirs ancillaires lorsque son épouse survint :

- Je suis surprise ! déclara-t-elle.

- Non ma chère, vous êtes étonnée ! C'est nous qui sommes surpris !".

 

Certes tu envisages - fantasme encore - d'offrir ta bouche au pénis malmené. Tout cela est bel et bon, mais inefficace. La vivacité voire la chiennerie de ton langage enfin débarrassé de sa bienséance m'eussent sans doute amené plus tôt à cette libération que tu appelais de tes vœux.

 

Au détour d'une phrase de ton texte néanmoins tendrement conclu, ce dont je te rends grâce, je lis le mot "égarement", rarement positif dans ses emplois habituels... et surtout, surtout je reçois le flux éperdu du "moraline" lorsque le-dit égarement est qualifié de "culpabilisant" !

 

Culpabilisant. Pour qui ? Pour moi ? Je suis, en matière de sexualité et de libertinage (entre adultes évidemment consentants), totalement détaché de l'idée même de faute, de péché, de vice. Comme disait Léo : "L'emmerdant avec la morale, c'est que c'est toujours celle des autres !"


Alors, culpabilisant pour toi ? Soyons clairs ma belle amie inconnue. Je n'ai plus souvenir du lieu du cyberespace où nous nous sommes connus. Voilà quelque temps que nous échangeons des textes qui ne sont pas tous à mettre entre de candides mains. Et voilà que la vieille et démodée culpabilité repointe sa hure, avec son cortège d'interdits imbéciles, de sermons anti-vie, d'excommunications abjectes et scandaleuses !

 

Ma vie est consacrée à promouvoir la "logique du vivant" et à combattre les pensées mortifères, morbides qui tirent la Vie vers les abysses.

 

Ta chatte, tes seins, ton corps, ton intelligence sont sacrés. Mon sexe aussi, quel que soit son usure et sa fatigue.

 

Rien d'autre n'est sacré.

 

Je baise tes organes sacrés.

 

M.D.



TEXTES CROISES PRECEDENTS

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 17 septembre 4 17 /09 /Sep 17:57


























9 Semaines et demi...




Ecoutez la chanson
bien Douce

Paul Verlaine
(1844-1896)

***

Ecoutez la chanson bien douce
Qui ne pleure que pour vous plaire.
Elle est discrète, elle est légère :
Un frisson d'eau sur de la mousse !

La voix vous fut connue (et chère !),
Mais à présent elle est voilée
Comme une veuve désolée,
Pourtant comme elle encore fière,

Et dans les longs plis de son voile
Qui palpite aux brises d'automne,
Cache et montre au coeur qui s'étonne
La vérité comme une étoile.

Elle dit, la voix reconnue,
Que la bonté c'est notre vie,
Que de la haine et de l'envie
Rien ne reste, la mort venue.

Elle parle aussi de la gloire
D'être simple sans plus attendre,
Et de noces d'or et du tendre
Bonheur d'une paix sans victoire.

Accueillez la voix qui persiste
Dans son naïf épithalame.
Allez, rien n'est meilleur à l'âme
Que de faire une âme moins triste !

Elle est en peine et de passage,
L'âme qui souffre sans colère,
Et comme sa morale est claire !...
Écoutez la chanson bien sage



Blondeur batave








Précédentes amoureuses de la nature

 

 

 



Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 17:51

SODOMIE A GRANDE VITESSE


Il trouve étrangement les mots justes pour décrire le délire qui serait le miens à me sentir aussi dilatée et si pleine d'une queue aussi grosse et tellement affolante. Pouvoir engloutir toute la longueur de sa bite dans mon cul serait pour moi tellement enivrant qu'il risquerait d'avoir à me porter jusqu'à mon siège pour que je puisse y reprendre peut être mes esprits. Rien que de le lire me prendre de la sorte, j'en ai encore le cœur qui perd son rythme et la respiration qui s'emballe.

Pouvoir nourrir ma gourmandise de sa grosse verge turgescente qui comble ma bouche serait certainement excitant pour moi dans un lieu aussi insolite, les toilettes d'un TGV. Mais la fermeté et la bestialité qu'il imprime à son savoir faire est évidement pour moi un facteur déterminant dans l'intensité de ma réactivité charnelle. Autant je m'attelle passionnément à déguster avec amour et volupté ce boudin de chair vivant et grossissant dans ma bouche avide, autant je me sens alerte et follement disposée à me faire prendre avec force et résolution. Le moindre contact de ses mains fortes sur mon corps en chaleur devient une brulure enivrante. Mes tympans sont autant sensibles au timbre de sa voix chaude et cassée par le désir que ma peau à la fermeté de ses grandes mains qui "me pratiquent" pour me mettre en position de l'accueillir.

Ce court moment d'attente et de soumission est particulièrement marquant tellement je me sens totalement abandonnée au bon vouloir de ses pulsions et tellement confiante dans ma recherche du plaisir ultime. La façon dont il "me malmène" à ce moment précis a un effet hallucinant sur mon désir qui monte en flèche. Ma tête devient lourde de mon sang en ébullition et ma vue devient floue quand je me sens sous son emprise, retournée et brutalement dénudée de ma jupe. La bestialité de ses gestes tellement imprégnés de son désir m'arrache un gémissement d'une chienne qui se demanderait pourquoi un moment aussi bon ne pourrait pas être éternel. Mes fesses qui lui sont ainsi offertes me paraissent dans le miroir et me donnent alors une image crue de mon insatiabilité, un aperçu étourdissant de mon consentement et de mon total abandon. Les fines trémulations qui les agitent ne trouvent leur explication que dans mon soucis involontaire de me cambrer afin que ma croupe soit impudiquement exposée  à son désir d'en prendre possession. Elles se positionnent spontanément à la portée de ses grandes mains qui s'agrippent délicieusement à mes hanches pour me signifier le coup d'envoi des festivités. La fébrilité de mon désir semble se concentrer vers cette partie de mon corps qui ambitionne de devenir le temps de notre délire, le centre nodal de tout mon être. Je suis consciente que cette façon "impudique" de lui exposer mes envies de femme ne le laisse nullement indifférent. il semble vicieusement prendre le temps de contempler ce spectacle improvisé en se remplissant de sa fierté de pouvoir en jouir à sa guise. Il me fait dire ce qu'il veut entendre, car il n'a évidemment aucun doute sur mes impatientes envies. J'étouffe presque à vouloir lui dire ce que mes muqueuses intimes ne cessent de hurler. "je t'en prie mets la moi" lui dis-je bêtement d'une voix tremblante.

Il prend vite connaissance de l'état des lieux puisque son passage en moi semble spécialement moulé pour contenir amoureusement toute la grosseur de sa fierté qui est tout de suite aspirée dans un vorace élan d'impatience. Mes profondeurs l'acclament, mes muqueuses se tapissent de mon désir.

Je ne peux que gémir comme pour hurler mon bonheur d'être enfin pleine de lui. Il s'enfonce en moi pendant que ses mains semblent raffermir leur emprise sur mes hanches. Je me sens fortement prise dans un étau charnel et délirant. Sa grosse voix qui rugit derrière moi son intense plaisir investit la moindre parcelle de mon cerveau pour me baigner dans cette toile de fond qui m'accompagne dans mon délire affolant. Je suis encore plus affolée par notre image réfléchie par le miroir. Ses longues jambes semblent à elles seules supporter tout le poids de notre jouissance. Ses muscles fessiers qui se contractent au rythme de ses vas et viens en moi paraissent comme des compresseurs qui se chargent de propulser ton désir au plus profond de mon tunnel d'amour. Sa grosse queue fortement enduite de ma jouissance rentre et sort de moi avec aisance et fierté. Je la vois belle et conquérante et cette image accompagnée de ses grognements m'imposent un aperçu de mon orgasme que je peine à contenir. Pendant que je le sens tout en moi, Je suis toute à lui fondante et abandonnée, offerte et affolée. Si heureuse d'etre à lui je me félicite de ses performances, de son savoir faire, son habileté à me metttre dans cet état. Tout mon corps est pris dans une sorte de feu d'artifice, un fête grandiose, émouvante et affolante. Toutes mes sources s'emballent pour assaisonner ma généreuse hospitalité. Je coule de toutes mes envies qui s'expriment sans aucune retenue. Ses coups de rein de plus en plus violents me transpercent accentuant d'avantage ma gourmandise. Je deviens insatiable et pour mieux m'ouvrir je pose ma jambe sur le siège afin qu'il puisse aller plus loin en moi tout au fond de mon subconscient. Je veux qu'il conquière le moindre recoins de mon avidité, qu'il prenne possession de tous mes désirs refoulés et qu'il me fasse cadeau de toutes mes jouissances ignorées. Je veux qu'il donne vie à mes fantasmes inassouvis. M'accrochant aux robinets je me cambre et me mets à onduler mon bassin tout en me délectant du coulissement de sa queue le long de mon fourreau en feu. Un feu qui s'étale de proche en proche jusqu'à me donner envie d'aller encore plus loin dans ma jouissance qui semble sans limite.

 Totalement abandonnée au plaisir de mes sens, mes gémissements de plus en plus sonores et imbibés ne sont en fait que des suggestions à peine voilées. Connaissant mes faiblesses et ayant appris à déchiffrer mes envies il comprend vite qu'un autre foyer l'interpelle. Parce que lui il aime bien ça, jouer au pyromane pour ensuite proposer généreusement ses services de pompier. Il sait aussi que je les adore tous les deux. Et talentueux baiseur qu'il est, il sait bien joindre l'utile à l'agréable. La vue de mon cul le taquine et je sais qu'il y a pris goût. Aussi quand il se retire de moi je ne suis nullement inquiétée. Je gémis même plus fort car le feu s'embrase à l'endroit même où il semble se diriger. Quand il écarte mes fesses, mon anus s'affolle car il se voit déjà pris d'assaut. Une vague de chaleur s'étale le long de mes jambes tremblantes pendant que sa langue brulante défriche le chemin vers son ultime exploit. Le bienêtre que je ressens n'a d'égal que l'impatience dont je suis subitement prise de sentir cette brulure qui me rend folle enfin s'apaiser.

 Le doigt qu'il introduit dans mon cul me donne un aperçu de ses aptitudes de bienfaiteur. IL semble bien être au fait de mes prétentions puisqu'il comprend vite qu'un seul doigt ne suffit plus, il en met un deuxième qui me procure un supplément de satisfaction qui s'accentue d'avantage quand il s'attelle à fouiller délicatement ma grotte par des mouvements de va et viens fortement encourageant mais qui s'avèrent vite insuffisants pour venir à bout de l'incendie qui s'embrase dans mon cul. Je perds patience. Je me retourne vers lui, les yeux humectés, le regard débordant de mon désir et je m'entends lui dire d'une voix faible et chaude presque chuchotante: "encules-moi". Ce n'est pas une demandes, c'est presque un ordre, car je n'en peux plus de contenir ce volcan qui se prépare et qui se promet d'être dévastateur. Il comprend évidement vite l'urgence et il exécute l'ordre avec tact et savoir faire. Il sait que j'aime tellement ça que je risque de l'entrainer dans un empressement qui ne ferait que tout bloquer. IL en est conscient et il s'attelle à faire en sorte que la douleur ne vienne pas troubler la fête. Ayant ces mêmes appréhensions je prend mon mal en patience et je le laisse user de ses atouts indiscutables pour obtenir le visa d'entrée dans ma forteresse. Les frottements successifs de sa queue le long de ma raie sont très agréables et sa façon de me surprendre en tournant son gland autour de mon orifice en délire accentue mon désarrois. Je suis désormais en position d'attente et je me sens prête.

Il s'enfonce en moi lentement mais presque sans résistance. La douleur qui accompagne son intromission est presque négligeable complètement  noyée par la foudre qui s'abat sur tout mon être. Mes mots s'égarent avant même d'être prononcés, ils sont audibles mais même inintelligibles leur sens n'est que plus limpide. Je deviens folle et je m'attends au pire. Empoignant fermement mes fesses il décide maintenant de poursuivre sa conquête. Son gland délicieusement étranglé par mon anus me procure des sensations indescriptibles. J'ondule pour le déguster et mieux l'admettre. Il s'enfonce de plus en plus mais je suis affolée par la grosseur de son sexe qui me dilate sans cesse pour pouvoir me pénétrer. Je suis par moments freinée par une pointe de douleur mais étrangement l'imprégnation de mon imaginaire par cette image de possession la transforme en un plaisir décuplé.

Je gémis comme une chienne et je bouge mon cul pour l'encourager à aller plus loin. Il s'enfonce de plus en plus et je suis entièrement concentrée sur le moindre millimètre qu'il conquière dans mon rectum. Mon anus me semble maintenant totalement consentant et manifestement la douleur semble avoir perdu la partie. Mon plaisir est extrême, intense, affolant. Je pousse mon cul vers lui et je me sens emplie de lui sans retenue. Je suis certes heureuse d'être ainsi enculée mais surtout délicieusement affolée d'avoir pu engloutir entièrement cette énorme bite dans mon cul enfin rassasié. Mon délire atteint son paroxysme quand il se sens autorisé à entamer les va et viens. Un pur bonheur dont je n'hésite pas à lui faire part "Ohhhh chérrrriiii c'est bonnnnn". Mon aveu l'excite et l'encourage à aller de plus en plus vite et il n'hésite plus à mettre de la brutalité car il sait que j'aime ça. Pour le lui rappeler J'ondule aussi de plus en plus vite en lui hurlant mon bonheur extrême.

Je ne sais plus où j'en suis perdant l'équilibre et ne pouvant plus localiser l'origine de ma jouissance. Tout mon corps est secoué par des convulsions interminables et de violents spasmes finissent de me vider du peu de lucidité qui me restait. Mes yeux révulsent pendant que lui même semble se décharger d'une énorme pression à juger sur les fortes giclées qui m'inondent généreusement le rectum.

Il m'a rempli le cul de son énorme queue turgescente puis il m'a aspergée de son sperme chaud et gluant. Je n'en reviens pas et j'en ressens un bonheur unique.  

Je peine à reprendre mes forces pendant que lui se retirant de moi, je réalise à quel point j'étais pleine en me sentant si dilatée une fois vidée de lui. Son sperme déborde et se met à couler doucement entre mes cuisses.
Je nous revois encore dans le miroir, en sueur, vidés mais manifestement heureux.


Carole.

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Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 15:51




Femme à lunettes, femme à balayette...


Une hirondelle qui fait toujours le printemps.


Tu veux une claque ?


Sim est mort ? Tu plaisantes !


Moi je bronze pas, je rougis, ch'sus d'euh'Nord !


Je suis Toulaisaine et je rougis pareil, putain !


Je t'invite pour mes 35 ans ! Tu viens ?


C'est drôle, je me fais toujours peloter dans les transports en commun. J'comprends pas !


Moi c'est pareil !


Tu l'aimes ma blanquette de veau ?


Tu m'aides à défaire le noeud ?


Nouvelle tenue de camouflage. Ben ça marche pas : tout le monde me repère.


Quel chantier ! Tu compte me faire l'amour sur ces parpaings ?


Kevin, c'est quoi : c'est un clito que tu as ? Enfin j'veux dire : c'est un clito ou c'est ta bite ???


Je suis juste là pour introduire une belle chanson de Trenet, pas très érotique, avec des photos merdiques !
Et le mec dans son garage, il pourra toujours se la rouler et se la glisser sur l'oreille !





AUTRES SOURIRES

 

 



Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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