Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 13:55



Anthony Fourmy aime les fumeuses.

http://sites.google.com/site/anthonyfourmy/


Moi aussi : http://poilnet.erog.fr/article-30099781.html









FUMEUSES DU NET



















 












Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Jeudi 8 octobre 4 08 /10 /Oct 16:30


http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/la-route-des-tetons-est-reouverte/850

Souvenez-vous, à deux reprises,
nous vous avions informé de la mise en examen de l’artiste Philippe Pissier parce qu’il avait envoyé quatre cartes postales comportant des tétons de seins parés de pinces à linge.

Le responsable du Centre de tri de la Poste de Cahors, rempli de vertu et de bons sentiments, avait immédiatement contacté la maréchaussée afin de s’indigner et de porter plainte, lorsque ces cartes postales étaient arrivées jusqu’à lui (ce qui en dit long sur le contrôle de la correspondance à certains endroits).

L’État, par le biais de son Parquet de Cahors, donna suite à la plainte et, désireux de rétablir l’ordre moral, attaqua Philippe Pissier sur la base de l’article 227-24 (qui punit jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende): « le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère violent ou pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine, soit de faire commerce d’un tel message […] lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur. »

Initialement adoptée pour lutter contre les minitels roses, cette disposition ne sert pourtant guère qu’à faire traduire les artistes en justice, écrivains, peintres ou photographes. Et, ce, en dépit d’une déclaration claire de Jacques Toubon qui, en 1994, alors qu’il était ministre de la Culture, avait précisé qu’elle ne visait aucunement à censurer les œuvres d’art.

Outre ReSPUBLICA, une importante mobilisation de soutien vit le jour autour de Philippe Pissier et il fut relaxé le 25 juin dernier des faits portant atteinte à la morale qui lui était reprochés. Toutefois, Pissier ne sortit pas du tribunal sans condamnation, car il écopa d’un mois de sursis, de 1000 euros d’amende et de 450 euros de frais de justice.

C’est dans les procès-verbaux (mis en ligne par Philippe Pissier) dressés par la Gendarmerie qu’on comprendra pourquoi — bien qu’il soit innocenté sur le motif de l’enquête et de la mise en examen dont il a fait l’objet —  on chercha à tout prix à le condamner: l’attaque de Pissier était tellement méprisable qu’il fallait gonfler l’affaire.

Aussi, accrochez vous bien !, les enquêteurs allèrent jusqu’à rechercher la propriétaire des seins. Ce fut difficile, car les cartes postales incriminées, qui, rappelons-le, résultaient d’un collage d’une photo touristique et d’une photo de buste, ne disposaient pas du visage se trouvant au dessus des seins ! Hé oui !, l’artiste avait enlevé la tête sur ses créations. On pouvait donc seulement voir une carte postale de son village (Castelnau-Montratier) avec des seins et des pinces à linge.

Toute la technologie de la Gendarmerie ayant été mobilisée pour cette affreuse atteinte à l’ordre moral, la propriétaire du buste retrouvée, reconnaissant ses seins malgré l’absence de son visage, déposa avec une spontanéité qui ne vous aura pas échappée, plainte contre l’artiste pour diffusion d’image sans consentement de sa personne.
On tenta également de gonfler l’affaire en attaquant Pissier pour la détention d’une arme de chasse pourtant régulièrement détenue, comme le reconnaîtra le tribunal.

Le comble de cette enquête inquisitoriale fut atteint lorsque le concepteur de la carte postale touristique originale vint témoigner de la justesse et de la beauté de ses photos qu’il se désolait de voir détournées par le collagiste. Il s’agissait bien d’un comble, puisque ce concepteur était à la tête d’un catalogue de ces cartes postales vulgaires et dégradantes à caractères scabreux pour le genre féminin, des cartes que nous avons tous vues en vente libre dans nombre de librairies.

Il fallait donc charger l’artiste dont les créations à caractères érotiques sont en définitive une attaque contre la pornographie marchande.

Mais Philippe Pissier est de nature rebelle et opiniâtre, et attaque aujourd’hui en Justice à la fois la section de recherche de Cahors de la Gendarmerie mais aussi La Poste !

Liberté créatrice contre cloisonnement moral et marchand, ce nouveau procès permettra-t-il de mettre un terme définitif au retour à l’ordre moral caractérisant la période ?

V
OIR ATICLE SUR POILNET ICI !
http://poilnet.erog.fr/article-23374957.html


Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 6 octobre 2 06 /10 /Oct 12:21







Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Epicuriens et libertins
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Mardi 6 octobre 2 06 /10 /Oct 12:18


Je ne pense pas faire exception mais un torse modérément velu, chez un homme qui assume sa sensibilité comme faisant partie indissociable de sa virilité lui confère un charme qui ne me laisse nullement indifférente.
Quoi de plus amusant si non excitant que de me réfugier dans le réconfort de son bras en parcourant sa pelouse clairsemée avec  mes doigts qui en feuillettent les poils pendant que mon oreille se remplit de sa grosse voix porteuse de sa douceur et cassée par son désir pour moi.
Ceci dit, la virilité de l'homme ne se limite nullement à sa villosité mais elle se construit dans notre esprit au fur et à mesure qu'il nous conquière par la profondeur de sa sensibilité qui s'imprègne délicieusement de l'envergure de sa prestance et de la puissance de ses initiatives.
Je n'ai jamais goûté aux effet d'une barbe sur ma réactivité de mon désir mais je ne pense pas moins qu'une moustache bien portée rajoute probablement un plus au charme du mâle qui a su nous conquérir par sa présence et ses délicates attentions.

Carole.

__________________________________________________________________

Nous pouvons à l'infini échanger de la petite littérature érotique.
 
Ce qui me chagrine ce sont tes mots :"Il arrive", "je dois retourner à mes devoirs", 'je ne suis pas libre".
Lorsqu'on entend, dans l'absolu ces paroles et notamment les dernières, on perçoit clairement l'effrayante condition maritale.
 
"JE NE SUIS PAS LIBRE."
Au pied de la lettre, ce constat est beaucoup "consternant" que "Je suis mariée", "je suis fidèle", "je suis amoureuse" qui ne tolèrent ni doute, ni contestation. 
Cela dit, parfois, ces affirmations péremptoires sur la fidélité et l'amour passionné cachent une réalité beaucoup moins idyllique. Nous avons reçu ainsi un couple "amoureux". Après quelques heures et plusieurs verres de vin sifflés par la chère et tendre, le rêve tourna au cauchemar, aux récriminations, aux règlements de comptes. Vénus s'était métamorphosée en Carabosse et Cupidon en faux-jeton. Ce genre d'aventure rend dubitatif...
 
Lorsqu'une jeune et jolie femme se met en ligne en robe de soie courte, sans rien dessous, et vous le dit, on peut légitimement penser qu'elle vient chercher "quelque chose" qui ressemble à s'y méprendre à une (petite) volonté de (petite) fugue virtuelle sinon d'émancipation - le mot "liberté" est encore trop fort et beaucoup trop chargé de sens. Ne parlons même pas du libertinage qui renvoie purement et simplement au soufre de la damnation.
 
Il faut inventer, ma chère amie, une nouvelle conjugalité, qui ne s'appuie pas sur la possession, ni les chaînes. Le nombre des "soumises" qui acceptent tout de leur "maître" est littéralement accablant. Le font-elles de gaîté de cœur ? On peut en douter. Mais... la peur de la solitude, mais l'effroi par rapport au temps qui passe, mais les enfants, la maison, le confort...
La nouvelle conjugalité passe par un contrat moral de respect, de vérité, de liberté mutuelle.
 
Je ne prétends pas y être parvenu totalement. D'abord parce que les corps, les inclinations, les désirs sont différents selon les protagonistes. Ensuite parce que les corps, les inclinations, les désirs ne sont pas nécessairement synchrones.
On ne peut partager que ce qui est partageable, c'est-à-dire ce qui offre du plaisir à l'un et à l'autre et de préférence, ensemble.
 
Comme le dit mon ami Edgar Morin, ce n'est pas le pouvoir d'aimer qui nous fait défaut. Mais il est dur, maladroit. Le grand amour se colore de petites abjections, de minuscules renoncements, d'infinitésimaux reproches, lesquels, avec le temps, obscurcissent le ciel de lit...
Lutter contre cela est un ouvrage quotidien.
C'est pourquoi, j'ai la véhémence parfois du "militant" de l'amour libertaire. C'est comme une ascèse, dit justement Michel Onfray.
On peut certes se laisser aller parfois à la "chiennerie", selon les termes du Méditerranéen Albert Camus - pour qui la chair n'avait pas ce goût étonnamment vivant, dépouillé de tous péchés de la civilisation du hareng, en l'occurrence la mienne - mais sans en faire tout un pataqués de culpabilité obligée.
Amour courtois, certes, mais point trop n'en faut...
 
Tu as de jolies lèvres un peu boudeuses.
 
Je les baise.
 
M.D.

Textes croisés précédents

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Amours plurielles
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Lundi 5 octobre 1 05 /10 /Oct 16:25


Après avoir suivi les cours de l’École des Arts Appliqués, Georges Pichard débute dans la publicité pour le compte de l'agence Drager puis fonde sa propre officine. Il deviendra plus tard l'un des professeurs de l'École supérieure des arts appliqués Duperré.

Il débute vraiment dans la bande dessinée pour le journal Chouchou où il rencontre Lob, qui sera plusieurs fois son scénariste. Plus tard, ses séries de bandes dessinées seront publiées dans Pilote, Charlie Mensuel et France Soir.

Classé parmi les principaux représentants de la bande dessinée pour adultes, Pichard aime surtout mettre en scène des femmes bien en chair aux prises avec l'adversité, comme Blanche Épiphanie, Ténébrax, Paulette, Caroline Choléra, et surtout Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope, dont le graphisme reste l'un des plus élaborés jamais entrepris par l'auteur.
Son dessin est influencé par l'art nouveau,
Robert Crumb et le marquis de Sade.

À partir de 1977, Georges Pichard entame une carrière d'auteur complet et s'engage davantage vers des œuvres érotiques, voire pornographiques, comme MCPM (Maison de correction Princesse Mélanie), Madoline ou La voie du repentir. Ces albums sont encore interdits dans certains pays

http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Pichard












Pichard a illustré Pierre Louÿs





























Pichard a une évidente parenté graphique avec les écrits de Pierre Louÿs, Gaston Couté, Sade et Rabelais, entre autres.


Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 3 octobre 6 03 /10 /Oct 17:32


L'expression "été indien" que les américanolâtres utilisent dès que le temps de l'automne redevient doux me hérisse au plus au point.

Nous vivons en Europe tempérée et le nord de la France, Paris compris, connaît un climat océanique.

Y introduire la notion d'indianité, propre à l'Amérique du Nord, est de ces néo-snobismes médiatiques ridicules.

Aussi imbécile que de parler d'AVA Gardner ou de l'Arabie sAoudite.

En anglais, Ava est évidemment prononcé éva et l'Arabie est séoudite à l'oral comme à l'écrit. En français, qui jusqu'à preuve du contraire est encore la langue officielle de la république.

On peut parler chez nous d'été de la Saint-Martin, redoux qui se situe avant le 11 novembre.

Nous avons connu une fin d'été (jusqu'au 22 septembre) très douce, en aucun cas un été indien.

Illustration.

































Lilly

CHANDELLE

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : La beauté sexy
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Vendredi 2 octobre 5 02 /10 /Oct 14:00
Par Michel Debray - Publié dans : Cybermodèles - Communauté : La beauté sexy
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Vendredi 2 octobre 5 02 /10 /Oct 12:47
Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : La beauté sexy
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Mercredi 30 septembre 3 30 /09 /Sep 18:55

 
Quelle est la différence entre un mouvement sinusoïdal et   un mouvement harmonique ?

1. À l'attention des  Ingénieurs
:


2. Pour les nuls  :

Voici un mouvement sinusoïdal : 


Voici un mouvement harmonique :



Voici une combinaison classique des deux mouvements
:(sinusoïdal  et harmonique)


        

C'est beau la science quand c'est bien expliqué !!
Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Epicuriens et libertins
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Lundi 28 septembre 1 28 /09 /Sep 17:20

L'AUTRE

Je ne contemple pas mais je me contente de faire une description telle que les yeux de l'autre me suggèrent la perception de ces apparences. Habituée à ces regards sculpteurs je me laisse emporter par ce plaisir de satisfaire cette indiscrétion qui bien que déstabilisante finit par devenir un vecteur de rapprochement inattendu.

Ne s'oublie t-il pas à ne voir que ces courbures qui lui semblent taquiner sa fragilité jusqu'à me confondre avec elles et ne m'appréhender que par les fantasmes qu'elles suscitent en lui ?

Il y a certes en chacune de nous une part de narcissisme et je n'en fais pas exception. Il est cependant aisé de retenir que l'on ne se voit souvent que sous l'angle du regard de l'autre. Cet autre dont nous appréhendons le jugement et dont le barème nous échappe presque toujours. Effrayées par notre incompréhension nous donnons cette impression d'indifférence qui n'est en fait que l'expression de notre différence dans la perception de notre égalité.

Carole.

___________________________________________________________________


Je suis pourtant certain que tu n'existes pas seulement dans le regard de l'autre, mais aussi dans le tien propre.

Toute la séduction féminine repose sur ce narcissisme qui nous émeut. Les parures, les vêtements, les dessous, les escarpins et les bas, les bijoux, les gestes qui consistent à se coiffer, à remonter ses cheveux qu'une épingle ouvragée vient tenir, les séances de maquillage devant la psyché, le soutien-gorge ouaté que l'on pose sur ses seins, le rouge qui enlumine la bouche horizontale, reflet social de la bouche verticale, intime, secrète, tout cela concourt à votre panoplie. Vous en êtes consciente.

J'observe les femmes dans les boutiques de lingerie quand j'y accompagne mon amie. Elles ne vont pas choisir les parures ringardes, elles retournent, palpent la dentelle la plus subtile, les bas les plus soyeux qui embellissent la jambe, le body translucide, la guêpière qui marque la taille et fait bondir les seins pigeonnants.

Vous avez repris de manière moins brutale les vulves multicolores des vulves primates en œstrus. Les mâles alors étaient frugivores et leurs rétines sensibles aux luxuriances des fruits et des baies. Nous avons gardé ces yeux fureteurs. Vous avez fait émigrer vos nuances vulvaires, de façon déguisée, vers l'ensemble de votre corps et singulièrement vers votre visage. La station debout a libéré vos seins de leur vocation purement nourricière pour en faire des objets succulents à l'œil et à la bouche. Vos fesses se sont rotondisées, vos hanches ont conservé leur volume afin de continuer à soutenir le nourrisson (sur nos hanches rectilignes, l'enfant glisse !) et à pouvoir vous saisir lors des coïts et notamment de la levrette dont nous avons hérités de nos ancêtres simiesques.

Je vous vois aussi dans les parfumeries, humant les fragrances à vos poignets. Ces senteurs florales ou musquées se mêlent à vos odeurs sui generis pour affoler nos organes olfactifs. Vous laissez flotter derrière vous des haleines de cachou, de vanille ou de patchouli. Véritable appel vers nos sens en fusion.
A cet égard, nous-autres hommes n'en sommes qu'à la préhistoire.

Nos vêtures sont tristes. Elles ont oublié la fraise, le jabot, la dentelle, le gilet de soie, la culotte de satin, le tricorne... En vérité, nous n'avons conservé que notre bite et... notre couteau. Les parangons de la mode masculine vous présentent désormais des athlètes au corps lisse, aux sourires ravageurs, aux barbes rasées, des minets. Ils vous plaisent presque autant qu'aux gays. Finies les moustaches, les barbes taillées ou hirsutes, les rouflaquettes et les escalopes sur les joues. Les torses velus, les fesses poilues, les couilles hérissées de végétations pileuses sont quasiment interdits de séjour.

Pourtant, les connaisseuses vous diront qu'une  toison pectorale frottant doucement vos tétins sont une succulence, qu'un baiser moustachu est une bien belle chose à goûter, qu'un cunnilingus où la barbe intervient sur le périnée pendant que la langue titille le clitoris apporte un plus incontestable.

Qu'on nous rende nos manches à crevés, nos hauts de chausse, nos braguettes de cuir, nos chapeaux emplumés, nos bottes de Sept lieux, nos perruques poudrées, nos senteurs de sperme et de gibier !
 
Je baise tes doigts aux multiples anneaux.
 
Tiens, zut ! Une alliance !
 
M.D.

Textes croisés précédents

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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