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Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 17:51

SODOMIE A GRANDE VITESSE


Il trouve étrangement les mots justes pour décrire le délire qui serait le miens à me sentir aussi dilatée et si pleine d'une queue aussi grosse et tellement affolante. Pouvoir engloutir toute la longueur de sa bite dans mon cul serait pour moi tellement enivrant qu'il risquerait d'avoir à me porter jusqu'à mon siège pour que je puisse y reprendre peut être mes esprits. Rien que de le lire me prendre de la sorte, j'en ai encore le cœur qui perd son rythme et la respiration qui s'emballe.

Pouvoir nourrir ma gourmandise de sa grosse verge turgescente qui comble ma bouche serait certainement excitant pour moi dans un lieu aussi insolite, les toilettes d'un TGV. Mais la fermeté et la bestialité qu'il imprime à son savoir faire est évidement pour moi un facteur déterminant dans l'intensité de ma réactivité charnelle. Autant je m'attelle passionnément à déguster avec amour et volupté ce boudin de chair vivant et grossissant dans ma bouche avide, autant je me sens alerte et follement disposée à me faire prendre avec force et résolution. Le moindre contact de ses mains fortes sur mon corps en chaleur devient une brulure enivrante. Mes tympans sont autant sensibles au timbre de sa voix chaude et cassée par le désir que ma peau à la fermeté de ses grandes mains qui "me pratiquent" pour me mettre en position de l'accueillir.

Ce court moment d'attente et de soumission est particulièrement marquant tellement je me sens totalement abandonnée au bon vouloir de ses pulsions et tellement confiante dans ma recherche du plaisir ultime. La façon dont il "me malmène" à ce moment précis a un effet hallucinant sur mon désir qui monte en flèche. Ma tête devient lourde de mon sang en ébullition et ma vue devient floue quand je me sens sous son emprise, retournée et brutalement dénudée de ma jupe. La bestialité de ses gestes tellement imprégnés de son désir m'arrache un gémissement d'une chienne qui se demanderait pourquoi un moment aussi bon ne pourrait pas être éternel. Mes fesses qui lui sont ainsi offertes me paraissent dans le miroir et me donnent alors une image crue de mon insatiabilité, un aperçu étourdissant de mon consentement et de mon total abandon. Les fines trémulations qui les agitent ne trouvent leur explication que dans mon soucis involontaire de me cambrer afin que ma croupe soit impudiquement exposée  à son désir d'en prendre possession. Elles se positionnent spontanément à la portée de ses grandes mains qui s'agrippent délicieusement à mes hanches pour me signifier le coup d'envoi des festivités. La fébrilité de mon désir semble se concentrer vers cette partie de mon corps qui ambitionne de devenir le temps de notre délire, le centre nodal de tout mon être. Je suis consciente que cette façon "impudique" de lui exposer mes envies de femme ne le laisse nullement indifférent. il semble vicieusement prendre le temps de contempler ce spectacle improvisé en se remplissant de sa fierté de pouvoir en jouir à sa guise. Il me fait dire ce qu'il veut entendre, car il n'a évidemment aucun doute sur mes impatientes envies. J'étouffe presque à vouloir lui dire ce que mes muqueuses intimes ne cessent de hurler. "je t'en prie mets la moi" lui dis-je bêtement d'une voix tremblante.

Il prend vite connaissance de l'état des lieux puisque son passage en moi semble spécialement moulé pour contenir amoureusement toute la grosseur de sa fierté qui est tout de suite aspirée dans un vorace élan d'impatience. Mes profondeurs l'acclament, mes muqueuses se tapissent de mon désir.

Je ne peux que gémir comme pour hurler mon bonheur d'être enfin pleine de lui. Il s'enfonce en moi pendant que ses mains semblent raffermir leur emprise sur mes hanches. Je me sens fortement prise dans un étau charnel et délirant. Sa grosse voix qui rugit derrière moi son intense plaisir investit la moindre parcelle de mon cerveau pour me baigner dans cette toile de fond qui m'accompagne dans mon délire affolant. Je suis encore plus affolée par notre image réfléchie par le miroir. Ses longues jambes semblent à elles seules supporter tout le poids de notre jouissance. Ses muscles fessiers qui se contractent au rythme de ses vas et viens en moi paraissent comme des compresseurs qui se chargent de propulser ton désir au plus profond de mon tunnel d'amour. Sa grosse queue fortement enduite de ma jouissance rentre et sort de moi avec aisance et fierté. Je la vois belle et conquérante et cette image accompagnée de ses grognements m'imposent un aperçu de mon orgasme que je peine à contenir. Pendant que je le sens tout en moi, Je suis toute à lui fondante et abandonnée, offerte et affolée. Si heureuse d'etre à lui je me félicite de ses performances, de son savoir faire, son habileté à me metttre dans cet état. Tout mon corps est pris dans une sorte de feu d'artifice, un fête grandiose, émouvante et affolante. Toutes mes sources s'emballent pour assaisonner ma généreuse hospitalité. Je coule de toutes mes envies qui s'expriment sans aucune retenue. Ses coups de rein de plus en plus violents me transpercent accentuant d'avantage ma gourmandise. Je deviens insatiable et pour mieux m'ouvrir je pose ma jambe sur le siège afin qu'il puisse aller plus loin en moi tout au fond de mon subconscient. Je veux qu'il conquière le moindre recoins de mon avidité, qu'il prenne possession de tous mes désirs refoulés et qu'il me fasse cadeau de toutes mes jouissances ignorées. Je veux qu'il donne vie à mes fantasmes inassouvis. M'accrochant aux robinets je me cambre et me mets à onduler mon bassin tout en me délectant du coulissement de sa queue le long de mon fourreau en feu. Un feu qui s'étale de proche en proche jusqu'à me donner envie d'aller encore plus loin dans ma jouissance qui semble sans limite.

 Totalement abandonnée au plaisir de mes sens, mes gémissements de plus en plus sonores et imbibés ne sont en fait que des suggestions à peine voilées. Connaissant mes faiblesses et ayant appris à déchiffrer mes envies il comprend vite qu'un autre foyer l'interpelle. Parce que lui il aime bien ça, jouer au pyromane pour ensuite proposer généreusement ses services de pompier. Il sait aussi que je les adore tous les deux. Et talentueux baiseur qu'il est, il sait bien joindre l'utile à l'agréable. La vue de mon cul le taquine et je sais qu'il y a pris goût. Aussi quand il se retire de moi je ne suis nullement inquiétée. Je gémis même plus fort car le feu s'embrase à l'endroit même où il semble se diriger. Quand il écarte mes fesses, mon anus s'affolle car il se voit déjà pris d'assaut. Une vague de chaleur s'étale le long de mes jambes tremblantes pendant que sa langue brulante défriche le chemin vers son ultime exploit. Le bienêtre que je ressens n'a d'égal que l'impatience dont je suis subitement prise de sentir cette brulure qui me rend folle enfin s'apaiser.

 Le doigt qu'il introduit dans mon cul me donne un aperçu de ses aptitudes de bienfaiteur. IL semble bien être au fait de mes prétentions puisqu'il comprend vite qu'un seul doigt ne suffit plus, il en met un deuxième qui me procure un supplément de satisfaction qui s'accentue d'avantage quand il s'attelle à fouiller délicatement ma grotte par des mouvements de va et viens fortement encourageant mais qui s'avèrent vite insuffisants pour venir à bout de l'incendie qui s'embrase dans mon cul. Je perds patience. Je me retourne vers lui, les yeux humectés, le regard débordant de mon désir et je m'entends lui dire d'une voix faible et chaude presque chuchotante: "encules-moi". Ce n'est pas une demandes, c'est presque un ordre, car je n'en peux plus de contenir ce volcan qui se prépare et qui se promet d'être dévastateur. Il comprend évidement vite l'urgence et il exécute l'ordre avec tact et savoir faire. Il sait que j'aime tellement ça que je risque de l'entrainer dans un empressement qui ne ferait que tout bloquer. IL en est conscient et il s'attelle à faire en sorte que la douleur ne vienne pas troubler la fête. Ayant ces mêmes appréhensions je prend mon mal en patience et je le laisse user de ses atouts indiscutables pour obtenir le visa d'entrée dans ma forteresse. Les frottements successifs de sa queue le long de ma raie sont très agréables et sa façon de me surprendre en tournant son gland autour de mon orifice en délire accentue mon désarrois. Je suis désormais en position d'attente et je me sens prête.

Il s'enfonce en moi lentement mais presque sans résistance. La douleur qui accompagne son intromission est presque négligeable complètement  noyée par la foudre qui s'abat sur tout mon être. Mes mots s'égarent avant même d'être prononcés, ils sont audibles mais même inintelligibles leur sens n'est que plus limpide. Je deviens folle et je m'attends au pire. Empoignant fermement mes fesses il décide maintenant de poursuivre sa conquête. Son gland délicieusement étranglé par mon anus me procure des sensations indescriptibles. J'ondule pour le déguster et mieux l'admettre. Il s'enfonce de plus en plus mais je suis affolée par la grosseur de son sexe qui me dilate sans cesse pour pouvoir me pénétrer. Je suis par moments freinée par une pointe de douleur mais étrangement l'imprégnation de mon imaginaire par cette image de possession la transforme en un plaisir décuplé.

Je gémis comme une chienne et je bouge mon cul pour l'encourager à aller plus loin. Il s'enfonce de plus en plus et je suis entièrement concentrée sur le moindre millimètre qu'il conquière dans mon rectum. Mon anus me semble maintenant totalement consentant et manifestement la douleur semble avoir perdu la partie. Mon plaisir est extrême, intense, affolant. Je pousse mon cul vers lui et je me sens emplie de lui sans retenue. Je suis certes heureuse d'être ainsi enculée mais surtout délicieusement affolée d'avoir pu engloutir entièrement cette énorme bite dans mon cul enfin rassasié. Mon délire atteint son paroxysme quand il se sens autorisé à entamer les va et viens. Un pur bonheur dont je n'hésite pas à lui faire part "Ohhhh chérrrriiii c'est bonnnnn". Mon aveu l'excite et l'encourage à aller de plus en plus vite et il n'hésite plus à mettre de la brutalité car il sait que j'aime ça. Pour le lui rappeler J'ondule aussi de plus en plus vite en lui hurlant mon bonheur extrême.

Je ne sais plus où j'en suis perdant l'équilibre et ne pouvant plus localiser l'origine de ma jouissance. Tout mon corps est secoué par des convulsions interminables et de violents spasmes finissent de me vider du peu de lucidité qui me restait. Mes yeux révulsent pendant que lui même semble se décharger d'une énorme pression à juger sur les fortes giclées qui m'inondent généreusement le rectum.

Il m'a rempli le cul de son énorme queue turgescente puis il m'a aspergée de son sperme chaud et gluant. Je n'en reviens pas et j'en ressens un bonheur unique.  

Je peine à reprendre mes forces pendant que lui se retirant de moi, je réalise à quel point j'étais pleine en me sentant si dilatée une fois vidée de lui. Son sperme déborde et se met à couler doucement entre mes cuisses.
Je nous revois encore dans le miroir, en sueur, vidés mais manifestement heureux.


Carole.

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Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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