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Des célébrités posent nues pour des photographies vendues au profit de l'association "Enfants du désert". Une démarche louable, mais qui soulève certaines questions éthiques à l'approche de la journée internationale des Droits de la Femme.
Ah bon ?
Ernesto Timor a une obsession : le fil.
J'ai une prédilection pour la série où un modèle très beau, très naturel, joue avec un fil de bave...
Il y a là une sensualité sauvage du jeu avec ce que ces cons de puritains américains nomment : les fluides corporels que sont le sang, la salive, le sperme, les sécrétions
vaginales, l'urine, la sueur, le lait...
L'illusion
Notre intelligence entretient nos appréhensions pendant que nos illusions les atténuent.
Gardons-nous d'être intelligents pour esquiver nos appréhensions et entretenons nos illusions pour nourrir nos rêves et enrichir notre imagination.
Ce qui vient de vous m'inspire et votre regard ne m'est pas indifférent. Ce n'est qu'une illusion, je ne suis pas nue mais il me déshabille.
Perchée sur mes talons, pensant à vous, je suis si fière d'être femme. Mes rondeurs s'exhibent, ma féminité s'affirme. Je suis là, vous êtes là-bas, mais nous sommes ici. Unis dans le rêve,
nourris par nos illusions.
Près de moi votre cœur bat, contre vous toute ma tendresse est là.
Je bois vos mots qui me pénètrent, vous rêvez de mes lèvres qui les sucent, humides en les buvant, tremblantes en vous embrassant.
Les poils de votre barbe ne sont nullement un obstacle, ils conduisent la brûlure et amortissent le désir. Le désir amorti n'en est que plus durable. Faisons durer cet instant, laissons-le
s'étaler, permettons-lui de nous distraire.
Gardons-nous d'être intelligents, entretenons nos illusions, que vos mots continuent de m'hydrater, que votre regard ne se lasse guerre de dessiner mes courbes. Vicieusement je les exposerai,
sous leur meilleur angle je les exhiberai. De leur frémissement je jouirai.
Ce plaisir ne m'est pas interdit, pour peu qu'il ne soit pas trahi.
Carole.
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"De l'eau tiède sous un pont rouge"
Avant de mourir, un vieillard philosophe a confié son secret à Yosuke, jeune cadre dynamique en pleine déroute professionnelle et sentimentale,
davantage encore, en pleine interrogation existentielle... Il s'agit d'une statue de Bouddha en or qu'il avait cachée dans une maison près d'un pont rouge. Yokuse laisse de côté ses recherches
d'emploi et son divorce et part à sa recherche dans un village côtier. La maison est habitée par une vieille dame et sa petite-fille. En la suivant, il lui découvre une particularité peu commune,
elle laisse une flaque d'eau sous elle en dérobant au supermarché. En lui rapportant un pendentif perdu dans ses eaux, Yosuke fait plus ample connaissance de Saeko la kleptomane.
La vieille dame est partie. Yokuse vient rejoindre Saeko dans la maison. Il l'étreint, la caresse et soudain un formidable geyser jaillit du sexe de la jeune femme, inondant la maison jusqu'au
plafond. Saeko est confuse face à son amant éclaboussé par l'orgasme aquatique. Mais Yokuse est ravi de cette singularité qu'il n'aura de cesse de faire rejaillir dans le plaisir.
Les plantes arrosées par la cyprine débordante croissent admirablement. En contre-bas, sous le pont rouge, l'eau tiède s'écoule dans une petite rivière où les poissons sont friands de
la différence de température et se laissent attraper par des pêcheurs encore plus heureux de l'aubaine dont ils ignorent l'origine.
Quand l'amour s'éteindra et que certains essaieront de profiter des charmes hydriques de Saeko, le sexe de celle-ci se tarira.
Tel est le thème du film "De l'eau tiède sous un pont rouge", film japonais présenté à Cannes en 2001.
Son réalisateur, Shoei Imamura décline le cycle naturel de l'eau (présent dans le film avec les montagnes en arrière plan) pour son histoire très philosophique. Il invite également les astres et
la technique, avec un centre d'étude sur les neutrinos. C'est une œuvre charmante où les larmes et les rires s'enchevêtrent.
Je t'invite à acquérir le DVD et à regarder ce film, tranquille, seule et nue.
M.D.
Un 4x4 affolant
J'aime la manière superbe dont il imagine et raconte son "désir incontrôlable" de me faire l'amour et de prendre sa revanche sur mes "fesses voluptueuses qui le narguent". Je suis si troublée en
lisant cette situation qu'il raconte tellement bien et avec tant de détails croustillants qui me plongent vraiment dans mon rôle de diablesse joueuse et provocante qu'il m'attribue, comme si j'y
étais vraiment.
Je deviens folle sur ce capot, prise au piège et sans défense sans pour autant me plaindre de payer les frais de sa provocation. La façon dont il se déchaîne sur moi, le contact de ses mains
fortes et agressives qui me déshabillent avec empressement et brutalité provoquent en moi un sentiment étrange fait d'un mélange de peur et de désir. Sa force m'effraie pendant que sa virilité me
trouble et me donne envie de m'abandonner à lui. Cependant je comprends vite que je n'ai de toute façon pas le choix puisque je suis déjà entièrement nue plaquée contre ce capot, pantalon et
string à mes chevilles et ma croupe offerte.
Immobilisée par sa main forte sur ma nuque, je sens sa verge palpitante qui fouille mes fesses chaudes et tremblantes et il est évident pour moi que son désir de me la foutre est pour lui
insurmontable. J'en ai d'ailleurs rapidement eu la preuve à la façon dont il m'a embrochée et la brutalité avec laquelle il s'est enfoncé en moi croyant qu'il allait me déchiqueter avec cette
grosse bite puissante et conquérante qui m'arrache un cri de chienne enragée.
Je le sens comme soulagé de m'avoir enfin possédée et mes gémissements finissent de trahir tout le plaisir que je prends avec lui. Ma chatte est tellement humide que sa verge, accueillie sans
aucune résistance, s'attelle déjà à explorer mes profondeurs. Ses coups de boutoir sur mes fesses en délire donne un rythme acharné à notre étreinte sauvage et j'arrive difficilement à
caler mes mains glissantes sur le capot de ce 4x4, terrain de mes folles aventures. Ses coups de bite de plus en plus forts me donnent envie de me cambrer d'avantage et sans honte je le supplie
de me baiser encore et encore.
Manifestement cet aveu le rend fou puisqu'il continue à me défoncer en me proférant des obscénités en me traitant de pute, de salope. Ses mains agrippent fermement mes hanches, et j'ai l'ultime
plaisir de le sentir déverser en moi sa semence si longtemps contenue et qui finit d'éteindre le feu qui brûle en moi.
Carole.
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A bicyclette
Elle ne s'appelle pas Paulette, n'est pas la reine des paupiettes, mais Lola. Plus souvent en "cycliste" noir et en tee-shirt qu'en tailleur, elle adore le vélo. A la suite d'une course
forcenée avec les gars du village, adolescente, la vulve collée à une selle profilée comme un Brancusi, elle avait connu à la fois la jouissance de la victoire et celle de la chair. Le soir
même de la compétition, elle avait répondu à l'urgence du prurit qui brûlait ses grandes lèvres qu'elles avait épaisses et hypersensibles en se branlant une bonne partie de la nuit.
Nous avions fait de longues randonnées en tandem. Elle m'y épuisait par son opiniâtreté à avaler les côtes et les faux-plats éreintants. C'est au somment d'un petit col des Corbières
qu'elle s'était allongée sur un tapis d'aiguilles de pins, avaient baissé son short et m'avait demandé de la sodomiser avec la pompe à vélo tout en la gamahuchant de ma langue assoiffée vite
étanchée par l'abondance de sa cyprine. Elle aimait rouler sur des chemins pentus et accidentés, le cul posé sur une large selle de vtt, la chatte emplie par des boules de geisha et ce
n'était pas rare qu'elle explose de plaisir en dévalant quelque ravin escarpé.
Dans un paysage dunaire, elle adorait pédaler nue, sur sa bécane chinoise, mémère. Elle me précédait, par goût d'être toujours première, toujours devant, toujours en tête car
c'était une gagnante mais aussi par générosité pour mon voyeurisme. Ah ! son cul musclé quand elle partait en danseuse, les jarrets tendus, les cuisses dorées sous le soleil ! Je voyais
bien quand - au contraire - elle enserrait les flancs de la selle de tous ses muscles dits honteux pour aller y chercher une jouissance mesurée à l'aune des hauts et des bas
du paysage. Parfois les embruns de son plaisir mouillant venaient souiller mes lunettes de soleil lorsque la vitesse et le vent exaltaient ses sens de sportive authentique.
Lola aimait s'installer aussi sur le cadre de mon vélo routier, en amazone et en jupette sous laquelle elle était nue. Souvent, sous la brise printanière ou estivale, elle me
sortait le membre du caleçon et me branlait tandis que nous descendions en roue libre une longue pente au bout de laquelle je giclais dans ses doigts dépassant de mitaines de
veau clair.
C'est à l'occasion d'une crevaison près d'un foirail de lendemain de fête, au tout petit matin et que, me regardant réparer un boyau, elle ramassa au sol un ballon de baudruche
vierge et oublié, se l'enfonça dans le vagin et m'intima l'ordre de l'y gonfler. Elle enfourcha à cru sa bicyclette, la chatte envahie pneumatiquement et bientôt me cria en riant :
- C'est aérien, c'est divin, je suis sur un matelas d'air !
Je la rattrapais alors qu'elle jouissait en hurlant dans un ultime coup de pédale...
M.D.
Il y a du Gustav Klimt revendiqué, je crois, chez Brian Viveros. Ses jeunes filles, souvent dotées d'une clope au bec, sont longilignes et font irrémédiablement la
gueule. Elles ont de petits seins ronds qu'on imagine plutôt insensibles aux caresses masculines... Nullipares, elles possèdent un petit con serré comme un cul qui te brise la quignolle
quand, par hasard elles ont un orgasme orphelin. Le matin, au réveil, elles ont une haleine de mégot froid : ce sont des chieuses indispensables.
Elles ont dans un tiroir un vieux gode-ceinture qu'elles utilisent avec leurs copines lors de soirées très arrosées et enfumées et qu'elles sortent à l'occasion pour te punir d'une enculade sans
fioritures. Quand tu as éjaculé dans leur cendrier, elles te jettent dehors sans ménagement mais tu as un mal fou à rompre définitivement...
J'aime bien les artistes qui font trotter ton imagination....
MD
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