Jeudi 4 mars
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Un 4x4 affolant
J'aime la manière superbe dont il imagine et raconte son "désir incontrôlable" de me faire l'amour et de prendre sa revanche sur mes "fesses voluptueuses qui le narguent". Je suis si troublée en
lisant cette situation qu'il raconte tellement bien et avec tant de détails croustillants qui me plongent vraiment dans mon rôle de diablesse joueuse et provocante qu'il m'attribue, comme si j'y
étais vraiment.
Je deviens folle sur ce capot, prise au piège et sans défense sans pour autant me plaindre de payer les frais de sa provocation. La façon dont il se déchaîne sur moi, le contact de ses mains
fortes et agressives qui me déshabillent avec empressement et brutalité provoquent en moi un sentiment étrange fait d'un mélange de peur et de désir. Sa force m'effraie pendant que sa virilité me
trouble et me donne envie de m'abandonner à lui. Cependant je comprends vite que je n'ai de toute façon pas le choix puisque je suis déjà entièrement nue plaquée contre ce capot, pantalon et
string à mes chevilles et ma croupe offerte.
Immobilisée par sa main forte sur ma nuque, je sens sa verge palpitante qui fouille mes fesses chaudes et tremblantes et il est évident pour moi que son désir de me la foutre est pour lui
insurmontable. J'en ai d'ailleurs rapidement eu la preuve à la façon dont il m'a embrochée et la brutalité avec laquelle il s'est enfoncé en moi croyant qu'il allait me déchiqueter avec cette
grosse bite puissante et conquérante qui m'arrache un cri de chienne enragée.
Je le sens comme soulagé de m'avoir enfin possédée et mes gémissements finissent de trahir tout le plaisir que je prends avec lui. Ma chatte est tellement humide que sa verge, accueillie sans
aucune résistance, s'attelle déjà à explorer mes profondeurs. Ses coups de boutoir sur mes fesses en délire donne un rythme acharné à notre étreinte sauvage et j'arrive difficilement à
caler mes mains glissantes sur le capot de ce 4x4, terrain de mes folles aventures. Ses coups de bite de plus en plus forts me donnent envie de me cambrer d'avantage et sans honte je le supplie
de me baiser encore et encore.
Manifestement cet aveu le rend fou puisqu'il continue à me défoncer en me proférant des obscénités en me traitant de pute, de salope. Ses mains agrippent fermement mes hanches, et j'ai l'ultime
plaisir de le sentir déverser en moi sa semence si longtemps contenue et qui finit d'éteindre le feu qui brûle en moi.
Carole.
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A bicyclette
Elle ne s'appelle pas Paulette, n'est pas la reine des paupiettes, mais Lola. Plus souvent en "cycliste" noir et en tee-shirt qu'en tailleur, elle adore le vélo. A la suite d'une course
forcenée avec les gars du village, adolescente, la vulve collée à une selle profilée comme un Brancusi, elle avait connu à la fois la jouissance de la victoire et celle de la chair. Le soir
même de la compétition, elle avait répondu à l'urgence du prurit qui brûlait ses grandes lèvres qu'elles avait épaisses et hypersensibles en se branlant une bonne partie de la nuit.
Nous avions fait de longues randonnées en tandem. Elle m'y épuisait par son opiniâtreté à avaler les côtes et les faux-plats éreintants. C'est au somment d'un petit col des Corbières
qu'elle s'était allongée sur un tapis d'aiguilles de pins, avaient baissé son short et m'avait demandé de la sodomiser avec la pompe à vélo tout en la gamahuchant de ma langue assoiffée vite
étanchée par l'abondance de sa cyprine. Elle aimait rouler sur des chemins pentus et accidentés, le cul posé sur une large selle de vtt, la chatte emplie par des boules de geisha et ce
n'était pas rare qu'elle explose de plaisir en dévalant quelque ravin escarpé.
Dans un paysage dunaire, elle adorait pédaler nue, sur sa bécane chinoise, mémère. Elle me précédait, par goût d'être toujours première, toujours devant, toujours en tête car
c'était une gagnante mais aussi par générosité pour mon voyeurisme. Ah ! son cul musclé quand elle partait en danseuse, les jarrets tendus, les cuisses dorées sous le soleil ! Je voyais
bien quand - au contraire - elle enserrait les flancs de la selle de tous ses muscles dits honteux pour aller y chercher une jouissance mesurée à l'aune des hauts et des bas
du paysage. Parfois les embruns de son plaisir mouillant venaient souiller mes lunettes de soleil lorsque la vitesse et le vent exaltaient ses sens de sportive authentique.
Lola aimait s'installer aussi sur le cadre de mon vélo routier, en amazone et en jupette sous laquelle elle était nue. Souvent, sous la brise printanière ou estivale, elle me
sortait le membre du caleçon et me branlait tandis que nous descendions en roue libre une longue pente au bout de laquelle je giclais dans ses doigts dépassant de mitaines de
veau clair.
C'est à l'occasion d'une crevaison près d'un foirail de lendemain de fête, au tout petit matin et que, me regardant réparer un boyau, elle ramassa au sol un ballon de baudruche
vierge et oublié, se l'enfonça dans le vagin et m'intima l'ordre de l'y gonfler. Elle enfourcha à cru sa bicyclette, la chatte envahie pneumatiquement et bientôt me cria en riant :
- C'est aérien, c'est divin, je suis sur un matelas d'air !
Je la rattrapais alors qu'elle jouissait en hurlant dans un ultime coup de pédale...
M.D.
TEXTES CROISES PRECEDENTS :
http://poilnet.erog.fr/article-textes-croises-13-45819936.html
Par Michel Debray
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