Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 17:27
  
 
 
 

 
 
Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : Voir et s'exhiber
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Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 16:58

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : La beauté sexy
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Lundi 13 février 1 13 /02 /Fév 12:06

 

Nous avons fait connaissance sur un site il y a deux ans. Nous nous étions perdus de vue… 

Il y a un mois il m'a retrouvée sur ce même site et nous avons continué à parler comme si cette séparation n’avait jamais eu lieu. A l’époque déjà nous avions très envie l'un de l'autre... Nous parlions de nous de nos fantasmes de tout ce qui a rapport au sexe. Il y a deux semaines, il est venu me voir chez moi en Lorraine, lui venait de Paris. Je suis sortie de mon magasin, je ne l'attendais pas si tôt. Pourtant, il était là, à me regarder, j'ai avancé vers lui avec la peur de ne pas lui plaire mais finalement il m’a prise dans ses bras, m’a embrassée… le désir est monté si vite en moi, je sentait son sexe dur collé tout contre moi....et là j’ai compris que je lui plaisais…

Nous sommes entrés chez moi avec cette envie, ce désir qui ne faisaient qu’augmenter mais nous avons dû attendre le soir pour pouvoir enfin nous retrouver.

Nous sommes aller nous coucher et c’est là que tout a commencé : ses caresses, ses mains sur mon corps, sa langue parcourant chaque centimètre de ma chair me rendaient folle, folle au point de vouloir prendre son sexe dans ma bouche et de ne plus arrêter de le sucer…

J’ai aimé, j’ai adoré la douceur de sa queue que je ne pouvais presque plus lâcher…

Je me suis allongée sur le dos, il a commencé à me caresser, à me mettre un doigt puis deux, puis il s’est mis à fouiller en moi au plus profond de moi avec sa main. Il me fistait… J’étais délicieusement écartelée…

C’était tellement fort et intense : j’ai même commencer à pleurer.

Je ne savais pas ce qui m'arrivait et c’est à ce moment la que j’ai compris qu’il était très dominateur.

J’ai adoré me faire dominer ainsi mais ce qu’il ne savait pas c’est que j’adore aussi dominer et bizarrement il s’est laisser faire.

J’ai commencé à lui donner des ordres.

Je lui ai dit de se mettre a genoux par terre devant moi, je me suis mise assise sur le rebord du lit et lui ai ordonné de me lécher.

- Oui maitresse, a-t-il répondu.

Je lui ai demandé ce qu’il aimerait et il m’a répondu d’une petite voix qu’il aimerait se faire sodomiser mais qu’il ne l’avait jamais pratiqué.

Je lui ai donc ordonné de se mettre à quatre pattes sur le lit, j’ai enfilé mon gode-ceinture et là je l’ai pénétré doucement.

J’ai adoré ça, cela m’a même fait jouir car le gode ceinture à deux bouts, l’un était pour son cul, l’autre était dans ma chatte.

Je lui avait aussi glissé ma langue sur son petit trou et même craché dessus pour le préparer à l’enculade.

Je lui ai dit qu’il était ma salope, ma chienne, ma pute et lui il n’arrêtait pas de répéter

- Oui, oui, maîtresse !

Je me sentais très salope oui, mais avec aussi le plaisir immense de me sentir comme un homme.

Tous les soirs de la semaine ce fut ainsi : il me dominait mais j’arrivais à retourner la situation très vite.

Je n’oublierai jamais son regard au moment où moi je commençais à le dominer, il baissait même les yeux, il disait que mon regard le perturbait.

Dans la journée il essayait de me dominer du regard mais dès que je le fixais, c est lui qui détournait la tète. Il m’a dit qu’il n avait jamais connu sa

Nous avons évoqué aussi le fait que je lui urine dessus mais nous ne l’avons pas fait.

 

Texte écrit par Bellissima, avec l’aide de MD…

 

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http://poilnet.erog.fr/article-29544353.html 

http://poilnet.erog.fr/article-19993512.html

 


Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 14:53

 

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http://poilnet.erog.fr/article-tatoo-57253639.html

 


Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 14:36

 

 

 

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VanessaB, photos trouvées...

 

Tiens bon la rampe...

 

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 13:45

 

 

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Huile sur toile

46 x 33 cm

 

Collection particulière.

 

 

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 11 février 6 11 /02 /Fév 16:11

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 18:14

 

LA MAISON DES PLAISIRS

 

Chapitre 3 – Les nourritures terrestres

 

 

Lady C. vit nue… Même si elle est un peu frileuse elle aime la liberté de son corps nu, ainsi se sent-elle érotisée d’emblée. Mr Tambourine Man lui a appris que l’érotisation permanente est une quête fondamentale, le sens profond de la vie. 

Elle s’enfonce une sucette à la fraise entre ses nymphes douces, porte la friandise à la bouche, la lèche avec délectation, regardant son amant avec le regard coquin que ses yeux verts lui permettent à l’envi. Elle recommence et offre la choupachoupe à la gourmandise sucrée de Mr Tambourine Man qui finit par plonger entre les cuisses pâles de son amante pour y trouver au-delà de l’arôme pas très naturel de fruit rouge le goût sacré de la jolie figue d’amour.

 

Donne-moi une idée de recette originale, dit Lady C. à Mr Tambourine Man après un délicieux coït somme toute très classique.

Attends, je réfléchis…

 

Hier encore, elle gobait son gland recouvert de crème Chantilly et lui savourait une banane qu’elle avait laissé macérer dans sa chatte baveuse…

 

Dans un bouquin d’astrologie consacré aux Scorpions, dit Mr Tambourine Man, Claude Lelouch, le cinéaste, faisait part d’une recette très simple : l’omelette au chocolat.

Tiens, c’est étonnant ! Et simple !

Très simple. Biblique. Tu incorpores du chocolat noir, très noir, fondu au bain-marie à l’omelette ordinaire. Tu peux ajouter de la cannelle, du gingembre, des poivres. L’omelette peut se déguster salée ou sucrée, selon les goûts…

Cette recette-là me va ! Tu sais comme je déteste cuisiner.

Je sais que tu n’aimes pas les huîtres, mais moi j’en suis fou. Je te commande des gambas ma douce, que je préparerai pour toi, à ma façon.

J’appelle Victoria… j’ai vraiment envie de la gougnotter encore. Tu veux bien, mon chéri ?

Ce que tu veux, je le veux, tu le sais bien !

Hum… tu es un amour.

Je vais dans mon bureau pour commander un plateau de fruits de mer et un panier de fruits exotiques. Demande à Victoria si elle aime les huîtres. Je n’aimerais pas être seul à en manger.

 

Lady C. s’installe confortablement dans un canapé, la main sur son sexe, l’autre tenant le téléphone contre son oreille. La conversation prend un tour assez vert… Lorsque Mr Tambourine Man revient, Lady C. jouit en gémissant, son portable plaqué contre son clitoris.

 

Oh oui, oui, oui ! Ma belle, oui, fais-moi vibrer encore… !

 

Mr Tambourine Man sourit… Sa maîtresse est désormais pantelante, comme anéantie. Il va chercher son appareil photographique et flashe le corps somptueux qui frissonne.

 

Comme tu es belle dans le plaisir, ma chérie !

 

Lady C. prend des poses gracieuses, lui offre un petit sourire fatigué puis se couvre d’un déshabillé de soie noire…

 

Repose-toi mon ange…

 

Lady C. dort encore lorsque survient Victoria, vêtue d’un tailleur gris perle sous lequel elle ne porte qu’une parure minimaliste couleur prune.

 

Où en es-tu, mon bel artiste, de mon portrait nu ?

Tu veux voir ?

 

Mr Tambourine Man prend Victoria par la main et l’entraîne vers l’atelier aux odeurs de vernis et de térébenthine.

 

C’est loin d’être achevé là, c’est encore une esquisse.

Oh ! C’est beau. C’est bien parti en tous cas…

Je l’espère. Rien n’est jamais gagné…

Tu me montres les photos que tu as faites de moi ?

 

Mr Tambourine Man allume son I-Mac. Il a fait une rafale de clichés de Victoria seule puis du duo qu’elle a formé avec Lady C.. Le modèle rosit de nouveau à la vision de ces images parfois plus que suggestives…

 

Tu es superbe…

Non. Lady est belle, bien plus belle que moi.

Vous m’amusez, mes insatisfaites, jolies comme des cœurs, qui jouissez comme des reines si l’on sait bien si prendre… Regarde…assieds-toi là. Prends tes aises.

Que vas-tu faire ?

Moi ? Rien. Ou plutôt si, je vais te parler, juste te parler. Tu es prête ?

 

Victoria acquiesce de la tête. Un petit sourire mi-gêné mi-coquin s’ébauche sur ses lèvres. Il prend son ton le plus suave et murmure, assis en face d’elle.

 

Tu es belle. Peut-être ne le sais-tu pas mais tu es belle. Tu repères les petites imperfections de ton corps mais tu as vu tes photos et qu’as-tu vu au fond ? Une femme désirable, dans sa nudité, tu as pu contempler ta chute de reins, tes beaux seins vivants comme des oiseaux, tes fesses fermes, ton regard oriental aux longs cils noirs, ta bouche magnifiquement dessinée, comme ta bouche d’en bas aux carnations de bistre. Mets-toi nue Victoria. Montre-moi ta beauté nue.

 

Elle prend un air grave… Se lève et  ôte lentement sa veste, sa jupe, son soutien-gorge, son string et même ses bas… Elle tourne autour de son hôte et revient s’asseoir languide devant le regard inquisiteur du peintre.

 

Tu m’avais déjà déshabillée. Tes yeux sont des radars… J’étais nue avant même d’être dévêtue.

Ouvre-toi. Dilate-toi. Occupe tout l’espace que tu pourras, envahis cet espace de tes ondes personnelles, de ton parfum intime.

 

Elle s’étire comme une chatte. Sans en recevoir la demande, elle entreprend de se caresser, lentement, comme elle aime, commençant par ses cuisses, puis sa poitrine rosissante mais très vite ses pouces rassemblés viennent s’insinuer dans la fente luisante encadrant le clitoris d’un double frottement obsédant.

 

Oui. C’est bien. Lâche-toi. Fais-toi du bien, offre-toi à mon regard, sois obscène à tes propres yeux, je veux que tu te sentes impérialement femme, que tu t’inondes de ton propre plaisir, de tes jus sacrés… Oui ! C’est bien ! Mouille de tes sucs tes tétons érigés, fais-les bander ma belle !

 

Victoria maintenant se masturbe avec ferveur. Son gémissement devient roucoulement qui devient mélopée…Elle ruisselle. Mr Tambourine Man se risque. Toutes les femmes n’aiment pas les mots crus, les insultes pendant l’acte ? Lui-même ne se prête à ce jeu que parce que cela excite Lady C. mais au fond, c’est un tendre qui préfère la douceur.

 

Sois salope ! Oui ! Fais ta putain !

 

A ces mots, elle hurle et se disloque comme une poupée de chiffons et retombe anéantie. Elle  aime être injuriée, révélant ainsi toute l’ambiguïté et la singularité de l’âme féminine. Plutôt altière, réservée, pudique même « dans la vie » Victoria pourrait devenir une soumise, en tous cas elle ne dédaigne pas cet aspect des choses de l’amour. Mais le sexe n’est-il pas aussi dans la « vraie vie » ? Ses cris ont réveillé Lady C. qui comprend vite la situation et sourit.

 

Il fait faim, vous ne trouvez pas ?

 

Comme par enchantement et par hasard un livreur un peu couperosé vient déposer la commande maritime.

 

Pour ma chérie qui a le mauvais goût de n’aimer point les huîtres que Victoria et moi allons déguster ensemble, je vais préparer des gambas au miel et au Noilly Prat… Sache Victoria que je n’aime que la bête crue, sans vinaigrette, sans citron, sans rien, juste dans son eau. Mais pour toi je vais faire une exception.

 

Mr Tambourine Man râpe du gingembre frais sur une mandoline, il incorpore cela à du beurre demi-sel pommadé et étale-le tout sur de petites tranches de pain de seigle. Puis il prépare la sauce au Noilly dans laquelle cuiront de belles gambas grises qui prendront très vite une carnation vermillon dans la poêle. Il ouvre une bouteille de pinot noir d’Alsace, un vin délicat, à la robe rouge rosé et au goût de griotte. Il goûte d’abord puis sert Victoria.

 

Pour ma chérie, je vais ouvrir une bouteille de Gewurztraminer vendanges tardives, à la fois sec et sucré.

Oh ! oui, tu connais mes goûts pour les blancs liquoreux…

 

Les huîtres de pleine mer sont grasses, délicieuses. Victoria en gobe une et, sans la mâcher, la passe dans la bouche du peintre qui lui, la savoure et l’avale. Lady C. décortique les crustacés parfumés, ses doigts sont souillés de sauce fort goûteuse qu’elle lèche voluptueusement. Elle se dénude et versant un peu de vin dans le creux de ses seins s’écrit :

 

Oh ! Je suis maladroite ! Qui vient lécher ce nectar sur mon corps ?

 

Ses complices ne se font pas dire deux fois et font  courir leur bouche sur les seins, le nombril, le ventre de Lady C. qui cette fois verse franchement le breuvage sur son pubis blond. Victoria s’occupe de ses mamelons, Mr Tambourine Man boit directement le vin mêlé de cyprine dans la source de son amante qui ne tarde pas à jouir sous les multiples coups de langue. Il bande.

 

Cher et doux ami, déclare Victoria le visage barbouillé de vin blanc, veux-tu me faire plaisir ?

Toujours, Victoria… Parle et je t’obéirai…

 

Elle lui tend une huître.

 

L’huître au beurre « gingembré » est délicieuse et ton petit vin est divin par là-dessus, mais j’aimerais goûter une huître au foutre. Permets que je te branle… Tu éjaculeras dans ce coquillage-ci…

 

Mr Tambourine Man sourit. Il est des supplices bien plus abominables…Victoria se saisit de son membre qui s’émeut et prend de jolies proportions. Comme si cela ne suffisait pas, Lady C. lui enfonce dans l’anus un doigt maculé de sauce brune au Noilly. A la palpitation de la grosse veine courant sur la verge érigée Victoria comprend que l’éjaculation est imminente, elle approche le mollusque et recueille le jet de sperme sur le manteau verdâtre bordé de noir de l’huître qui se remplit de cette crème virile. Victoria ne tergiverse point et absorbe la bête, son eau et le foutre d’une seule bouchée.

 

Ensuite c’est une joyeuse mêlée odorante de corps qui mangent, boivent et jouissent jusqu’à l’épuisement…

 

MD

 

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 18:09

 

LA MAISON DES PLAISIRS

 

Chapitre 2 - Sapho

 

 

Lady C. est insatiable. Lady C. est gourmande et curieuse de tout. Mr Tambourine Man est tout à son écoute, à sa dévotion. Il aime lui faire plaisir, il aime la dévergonder et cela depuis le début de leur rencontre. C’est un homme d’âge mûr, elle est une jeune femme. Très vite ils ont compris que leur goût irrépressible de liberté les réunirait dans une quête éhontée de jouissances sans scrupules. En fait, ils ressemblent à ces libertins du Siècle des Lumières, sans le sadisme proprement sadien et la cruauté qui anime le couple diabolique du Picard Choderlos de Laclos dans les « Liaisons dangereuses ». Ils sont juste dans un plaisir solaire, dionysiaque, exempt de la noire jalousie et des tristes ressentiments. Elle est trop jeune pour connaître les romans hédonistes d’Emmanuelle Arsan mais lui sait qu’avec Lady C. il forme un couple dans le genre de celui que formait Mario avec sa douce et resplendissante élève eurasienne.

Il peint. Des modèles très différents poussent la porte de la vaste demeure et viennent se dévêtir devant le chevalet, la peur ou l’excitation au ventre. Lady C. vient boire un café dans l’atelier. Évidemment nue ou couverte d’un déshabillé transparent de velours gris. Mr Tambourine Man fait crisser son fusain sur la toile apprêtée. Sur un sofa, une brune beauté s’alanguit dans sa totale et blanche nudité. Lady C. sent son vagin se contracter.

Elle est belle ! souffle-t-elle à son amant. Tu dois bander comme un âne.

Je ne mélange pas le plaisir et le travail !

A d’autres !

J’aimerais que tu me suces longuement pendant que je peins. Savoure mon suc, la main sur ta craquette…

Elle écarte les pans de son peignoir de soie noire car il aime peindre presque nu. Il est debout. Il tient en main une brosse de martre. Sa palette est posée à sa gauche sur un petit meuble qui fut propre… Elle s’agenouille sur un pouf, se cambre et attrape le chibre tordu comme un cep de vigne, noueux, trempé, entre ses lèvres. Elle grogne d’aise. Il sourit au modèle un peu désemparé qui ne sait plus quelle contenance prendre. Il s’agit de Victoria, une superbe Kabyle aux yeux bleus et à la peau très pâle. Une longue chevelure croule sur les seins de belle facture aux aréoles larges comme des soucoupes. Elle a pris une pose d’odalisque. Elle porte de lourds bijoux d’argent : boucles d’oreilles ouvragées, pendentif incrusté d’émaux aux couleurs des yeux de faïence, bracelet s parallèles mettant en valeur la finesse des attaches, chevilles comprises au-dessus des pieds sans péché, littéralement impeccables, aux ongles vernis de brun carminé. Victoria pose une main à l’orée de son pubis de jais, au pelage lisse, parfaitement dessiné.

Mr Tambourine Man pose son pinceau, prend délicatement la tête de sa suceuse par les tempes, s’affranchit de sa fellatrice goulue et se dirige à pas lents, triquant, vers Victoria.

Tu permets, chérie ? Victoria, vous permettez, je veux  observer, contempler le sexe assurément somptueux qui se trouve sous cette toison d’un noir de Mars parfait.

Vous n’y allez pas par quatre chemins, mon cher ! dit Victoria en rougissant.

L’artiste s’installe sans vergogne devant le corps impudique de son modèle. De l’index il écarte deux délicieuses nymphes brunes, à la limite du violacé, qui s’épanouissent à ce contact. Victoria frémit.

Chérie, viens voir cette merveille !

Lady C. rampe vers la couche où le modèle semble se crisper. Le visage de Mr Tambourine Man est à trente centimètres de sa vulve qui s’émeut. Victoria perçoit le souffle chaud du peintre qui bande davantage ce que Lady C. perçoit immédiatement. Elle saisit le membre humide et décalotté, se love contre son amant et  se met à mater le sexe désormais ruisselant de Victoria qui  rosit intensément du visage et de la poitrine. Sa respiration s’accélère mais elle reste immobile, prise encore au jeu de la pose « artistique ». Le peintre ne la décourage pas : qu’elle demeure ainsi, figée mais en une ébullition qui est trahie par la mouillure de son sexe et sa carnation rosée.

Regarde, chérie. Regarde comme elle mouille sous nos regards. Tout à l’heure, en se déshabillant, elle était un peu compassée, tu sais, cette attitude un peu ridicule de vierge qu’on mène à l’outrage. Maintenant, regarde, nue, ouverte, juteuse, elle se lâche peu à peu.

Victoria se mord les lèvres. Elle voudrait gifler ce type, pour sa goujaterie, lui faire avaler son pinceau, mais son sexe « pense » autrement.

C’est vrai que c’est beau, mon ange ! Hum ! Je mouillais comme une chienne tout à l’heure en te suçant, mais là, c’est autre chose, sa chatte,  hum… je peux ?

Elle ne s’adresse pas à Victoria qui est au comble de la rage et de l’excitation, mais à son amant, comme s’il s’agissait d’un objet convoité. Il écarte les lèvres intimes. Lady C. lâche la queue palpitante de son amant et plonge son doigt médical dans la soie humide de la vulve vultueuse. Victoria crie en lâchant un flux de cyprine qui la foudroie. Soudain elle se tord comme sous l’emprise d’une possession, se pétrissant les seins avec fureur, écartant les cuisses convulsivement puis les refermant d’un coup sur le bras de Lady C., se cambrant comme une carpe, s’attrapant les fesses avec obscénité. Elle se redresse, saisit violemment Lady C. par les oreilles, s’ouvre en grand et plaque le visage de la compagne du peintre sur son sexe volcanique. Lady C. est stupéfaite, noyée dans un maelstrom de désir liquide et odorant. Elle reprend son souffle, émerge et entreprend de découvrir de la langue et des lèvres la chatte magnifique, torride de Victoria qui s’ébroue, s’allonge enfin et s’abandonne à la caresse inédite.

Lady C aime le pénis, depuis toujours, depuis son adolescence et sa découverte sans honte des plaisirs de sexe. Lady C. aime faire éjaculer ses amants, elle reçoit leur foutre sur ses seins, sur sa langue, sur sa vulve, dans le tréfonds de son vagin ou de son rectum toujours avec une grande exaltation et sentiment d’avoir bien œuvré aux mâles plaisirs mais la voici fascinée par ce sexe sororal, d’une renversante beauté. Elle retrouve les sensations oubliées depuis la naissance : le liquide amniotique ou son équivalent symbolique dans lequel nous avons tous baigné, que les hommes retrouvent avec leurs amantes mais dont les femmes hétérosexuelles sont frustrées. Lady C. se repaît de l’onde visqueuse que Victoria émet en continu. C’est d’abord poisseux, transparent, puis au fil des orgasmes que les doigts et la bouche de la fouilleuse procurent à la belle branlée, cela devient laiteux et inonde le visage radieux de Lady C. qui elle-même ruisselle de plaisir.

Regarde-nous ! Regarde-nous en te branlant jusqu’à l’éjaculation, va t’asseoir là-bas ! dit-elle à l’adresse de Mr Tambourine Man.

Puis enlaçant Victoria elle retrouve naturellement les gestes traditionnels des gousses, seins contre seins, tétons contre tétons, vulve trempée frottée sur la cuisse enserrée de la compagne qui rend la pareille, contacts forcenés de lèvres intimes boursouflées, baisers furieux.

Le novice, l’ignorant n’imagine pas la violence, la fougue, la rage qui peuvent présider aux rapports saphiques quelquefois. Certes, il y a la douceur de la découverte, mais le désir chez deux femmes peut devenir terriblement impérieux. Nous savons cela, nous hommes, lorsque nos amoureuses nous supplient soudain de les pénétrer, de les injurier, de les fesser, de les soumettre. Nous savons cela lorsqu’elles se mettent en tête de jouir dans les circonstances les plus risquées et les plus dangereuses, gémissant à une table de restaurant, se branlant frénétiquement dans un embouteillage, jouissant sur le combiné noir d’une cabine téléphonique…

Lady C et Victoria ne dérogent pas à la règle. Échevelées, hurlantes, pleines de leur foutre femelles, les doigts plongeant dans tous les orifices, mordillant seins et cuisses, nymphes et clitoris, elles enchaînent orgasme sur orgasme tandis qu’après avoir joui trop vite Mr Tambourine Man les immortalise en les photographiant. Ce sont des pieuvres, ruisselantes de secrétions, de salive et de transpiration… Elles sont magnifiques et reposent enfin, le souffle court, frémissantes de plaisirs repus et d’émotions intenses.

Plus tard, elles se savonneront mutuellement dans un bain parfumé de vanille et toucheront encore leur sexe sensible. Puis s’essuyant et se séchant, elles s’embrasseront dans un tendre et fabuleux baiser amoureux.

Tu n’as pas faim, toi ? dit Lady C. à Victoria qui se nomme en réalité Leïla. Moi, j’ai une faim de louve… Je te dévorerai bien mais je veux en laisser pour Mr Tambourine Man. Tu veux qu’il te baise ?

Au point de bien-être où  elle se trouve, Victoria-Leïla acquiescerait à toute proposition même – surtout – à la plus indécente…

 

MD

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 17:54

 

Ah ! Je commence à saisir de quoi il s’agit, dit Lady C.

Oui, une sex-machine… L’une des meilleures du marché… Je l’ai améliorée à partir d’une base classique.

J’en mouille déjà… Hum… Mr Tambourine Man m’a gâtée encore. Il veille à mon plaisir. C’est un bonheur.

Il n’est pas là ? interroge le jeune concepteur…

Non. J’entends des gémissements là-bas, je pense qu’il fait jouir de sa langue ou de sa bite une belle invitée.

Vous souhaitez essayer la machine, Milady ?

Oh oui ! Bien sûr ! Pourquoi pas ?

Je vous en prie…

Lady C. s’allonge sur le confortable matelas de mousse tendre. Le jeune homme lui attache les poignets sur le côté, lui ouvre les cuisses déjà mouillées de désir, entrave ses echevilles, rabat sur sa poitrine une sorte de capot épais et pointe le gode mécanique entre les nymphes épanouies et ouvertes, ruisselantes. Elle ressent comme une certaine angoisse que le jeune homme perçoit.

Ne vous inquiétez pas… Vous allez aimer, j’en suis persuadé…

Oh mon Dieu, je suis à la fois hyper-excitée, vous le voyez… et  stressée par cette situation…. Touchez, touchez mon trouble…

L’homme avance la main, touche le clitoris tendu qui frémit…

Lady C. gémit…

Il vous faut essayer la machine, dit l’homme, fort  étonné par cette cliente peu ordinaire… Ordre formel de Mr Tambourine Man…

S’il le faut, soupire Lady C. dans un sourire…

Le jeune homme se dirige vers la tablette de bord  de la machine… effectue quelques réglages et appuie sur un joy-stick… La machine se met en marche en silence, très souplement, avec une détermination qu’on devine sans faille. C’est cette force aveugle que redoute Lady C. Elle s’attend au meilleur du pire ou au pire du meilleur…  Le gode électronique avance très lentement, inexorablement dans le vestibule de la vulve trempée. Millimètre par millimètre. La progession du gland dans le vagin est à la fois tranquille et fait naître une insupportable attente. 

Soudain Lady C sent deux irrésistibles ventouses de silicone, aussi douces qu’une bouche experte lui aspirer les tétons dans un mouvement circulaire, très doux, très suave, irrésistible. Elle accueille avec joie cette caresse inédite.  La machine est belle et parfaitement réactive. Ainsi  un petit jet de lubrifiant vient pallier la sécheresse qui pourrait s’installer dans la vulve ouverte à tous les vents...

Lady C est une chair totalement réceptive, affolée par les sensations., livrée à la lubricité de la diabolique machine…

Le gode est incroyablement mobile, flexible, sa texture, sa chaleur même changent d’instant en instant. Le sexe de Lady C. n’a pas le temps de jouir d’une singularité temporaire que déjà le gode fait naître de nouvelles jouissances. Lady C. ne se laisse pas tout à fait aller, crispée dans l’observation attentive des sensations inouies que le robot fait naître en elle. Le jeune homme en est conscient…

Il appuie sur un interrupteur et soudain près des oreilles de Lady C  un flot de mots obscènes, de douceurs dites d’une chaude voix pâle, sussurées, chuchotées, déversées fermement ou avec une infinie tendresse, la font fondre de plaisir liquide… Elle pleure, gémit, crie, ruisselle, tremble comme une feuille,  tandis que le gode la transperce inlassablement, irrémédiablement…

Lady C hurle et finit pas jouir dans un monstrueux orgasme qui la laisse anéantie.

La machine s’arrête progressivement. Une mare de secrétions s’est formée dessous, sur le sol de tomettes orangées.

Elle reprend son souffle, elle est pâle, plus pâle que jamais…

On mon Dieu ! Quelle volupté ! Cette machine est infernale !

Le jeune homme sourit. Sa braguette est gonflée.

Je vais vous dire, cependant, je viens de vivre une expérience extraordinaire mais je veux savourer dans ma chatte, là, maintenant, une vraie bonne bite humaine, chaude, maladroite, pourquoi pas ? une  verge odorante, une vraie bonne queue de mec qui veut me baiser ! Viens, détache-moi, porte-moi sur ce lit rond couvert de fourrures et mets la moi profond, putain, j’ai envie, baise-moi chéri, défonce-moi !

Le jeune homme ne se fait pas prier mais d’abord il parcourt le corps entravé de Lady C. de baisers onctueux. Il fait pénétrer deux doigts dans la chatte tuméfiée de la jeune femme, en goûte les fragrances délicieuses tandis qu’elle le supplie de la détacher et de la baiser comme une chienne. Lui, la laisse attachée, le temps de se dévêtir intégralement puis il saute sur la couchette, s’agenouille au-dessus du visage de Lady C. et lui enfourne un sexe roide, sec, large dans la bouche. Lady C. aime cette vigueur et avale le chibre en grognant de plaisir.

Elle le repousse.

Ne décharge pas dans ma bouche, s’il te plaît ! Je te veux dans ma chatte…

Il la détache enfin, embrasse ses poignets, ses chevilles un peu meurtries puis la soulève et la couche sur la fourrure du grand lit rond. D’instinct, elle se positionne en levrette. Il fait glisser sa verge dans la raie et la fente débordantes de cyprine puis, d’un coup, sans ménagement, il s’enfonce dans le conduit hypersensible de la femme. Elle hurle, crache, secoue la tête. Son vagin connaît des contractions spasmodiques. Le jeune homme, ravi par la vue du pâle fessier de superbe facture décharge abondamment dans un total abandon.

Ils resteront là, collés l’un à l’autre, dans une sorte de torpeur douce, jusqu’à ce que Mr Tambourine Man, enlaçant d’une main une belle quadragénaire rousse et de l’autre empoignant une bouteille de champagne leur dise :

Mes amis, il faut nous restaurer. J’ai une faim de loup.

Puis se baissant vers Lady C toujours embrochée par la jeune queue et lui baisant la bouche :

Ma machine et son charmant livreur te conviennent-ils ma chérie ?

Oh oui, mon amour ! Comme tu es attentif à mes plaisirs… Et toi ? Cette belle salope rousse t’a-t-elle bien fait jouir ?

Une merveille ! N’est-ce pas, Anne-Marie…

Anne-Marie sourit, glousse et applique une pichenette au sexe de Mr Tambourine Man puis, tendant sa coupe, elle la relève de sorte que le gland de son nouvel amant trempe dans les bulles…

Certains mettent une olive… moi je mets ton gland chéri !

Chacune a sa recette, ma beauté. Tchin.

 

MD

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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