Dimanche 13 avril
7
13
/04
/Avr
18:31
Elles
ont nom Agata, Fabianna, Laetizia, Fiorentina, Anna, Chiara, Carolina, Lorena, Michela, Valentina. Elles sont femmes de Méditerranée. Franca, Alba, Pipistrella, Barbara, Clorianna, Federica, Brina,
Fiora. Mais ce n’est là qu’une modeste énumération. Et la liste de celles qui sans cesse happent le regard de l’artiste est sans fin. Tout comme est inépuisable le nombre de celles que croise
l’objectif du photographe. Chaque femme est un monde. Chacune d’elles unique au monde. Et Guidu Antonietti di Cinarca est ébloui par cette inépuisable diversité. Qu’il tente d’intercepter à la
volée, en captant ici un profil, là une épaule, ici encore une chevelure ou un regard.
De ce que chacune d’elles détient en propre. Double regard au moins que celui du photographe. Qui surprend et capture, caché derrière son objectif, une expression, une moue, un sourire,
un geste, le jeu de séduction de celle qui se trouve ou se place, un fugitif instant, dans sa ligne de mire. De celles aussi qui « posent » et s’exposent à son regard d’esthète.
Angèle Paoli
Par Michel Debray
-
Publié dans : Formes et lumières
-
0
Derniers Commentaires