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Pour une fois, une toile non érotique, une image mentale que j'avais depuis longtemps.
Les prochaines toiles seront des portraits ou des nus féminins...
L'instant présent - 2
Huile sur toile
92 sur 65 cm
Le peintre vaudois Félix Vallton a une oeuvre considérable qui va de la peinture à la gravure, de l'aquarelle à la sanguine.
Ses sujets ne se cantonnent pas au nu : il traite le paysage et le portrait.
Son oeuvre est inégale. Il semble attiré parfois par le pur fauvisme, d'autres fois par un certain naturalisme.
Mes oeuvres ne sont pas d'unérotisme flamboyant car les modèles sont saisis dans leur quotidienneté : femmes à la toile, femmes endormies, femmes avec des chats, jouant aux cartes...
On remarquera la présence d'aisselles fournies, élément essentiel de l'érotisme d'avant la dictature des cosmétiques épilatoires...
A vous de vous faire votre opinion...
Le peintre italien Leonardo Cremonini est mort lundi 12 avril à Paris. Il était âgé de 84 ans. Né le 26 novembre 1925 à Bologne (Italie), il était fils d'un cheminot, par ailleurs artiste amateur, qui l'initia à la peinture.
Cremonni n'était pas à proprement parler un peintre de l'érotisme, plutôt un expressionniste créateur d'atmosphères, d'ambiances troubles. A la manière d'un Balthus qui mettaient en scène des petites filles, le peintre italien nous montre des enfants qui épient (des scènes sexuelles, on peut le supposer), des gamins en danger, avançant en aveugles dans un désordre de chaises renversées ou imprudemment juché sur des balcons.
Ses femmes dormantes ou à la toilette ne sont pas belles. Peu à peu, Cremonini fera apparaître le cadavre sous la chair, le squelette sous les rondeurs.
Il y a une grande cruauté du peintre à l'égard de ses sujets, c'est-à-dire, aussi, une grande lucidité désespérée.
Avec ses couleurs et sa lumière Cremonini a sorti l'expressionnsme de ses origines noires, scandinaves et germaniques.
Leonardo Cremonini fait partie de mon "musée imaginaire"...
MD
PS - Caroline va faire monter mes statistiques. Cremonini les faire descendre. Je m'en fous. Je creuse mon sillon.Qu'un peintre comme Wei Dong ne suscite aucune réaction m'attriste, mais c'est ainsi... Alors j'alterne les chattes vultueuses et les artistes rares : ce blog est fait pour ça.
Bonjour à toutes et à tous,
Ce petit mot pour vous annoncer que j'expose 11 toiles dans un restaurant très sympathique à Compiègne : "Au fond de la cour" situé au 4 rue de Pierrefonds.
Si vous souhaitez allier les plaisirs gustatifs au plaisir des yeux, faites une halte à Compiègne.
Cependant, après les 4 salons où j'ai exposé en mars (qui m'ont permis de rencontrer des personnes passionnantes) j'ai continué à peindre et mes dernières toiles sont inspirées du Val d'Orcia en Toscane où j'ai glissé des silhouettes féminines de modèles venues au studio de J-Yan.
J'ai été séduite par les couleurs de ce paysage dans les brumes matinales.
Un seule interrogation : où classer ces toiles sur mon site? Actuellement elles sont dans "Fleurs-Paysages" mais les formes féminines sablées pourraient faire partie des "Nus statufiés" ou autre?
Je compte sur votre perspicacité et votre intérêt pour mon travail et j'attends vos suggestions.
Portez vous bien en attendant et recevez mes sincères amitiés.
Claude
Wei Dong est né en 1968 à Chifeng, en Mongolie intérieure. Lorsque Dong avait deux ans (Wei est le patronyme), la famille s'installe à Wuhan, où son père était en poste. En 1987, Wei Dong entre au Département des Beaux-Arts à Beijing (Pékin) Normal Institute (renommé en 1993 l'Université normale de la Capitale) et en 1991, il obtient un BA et le prix d'excellence. Depuis 1989, les oeuvres (souvent réalisées à la peinture acrylique) de Wei Dong ont été exposées dans diverses expositions de groupes à travers la Chine et en Occident.
A vingt-cinq ans, Wei Dong possédait les techniques classiques chinoises et les techniques occidentales. Doté de ce solide bagage - ce que les académies occidentales n'offrent plus, le nouvel académisme et le sacro-saint Marché se moquant de la peinture de chevalet et en règle général du savoir-faire réputé ringard - Wei Dong crée une imagerie ironique, marqué par un érotisme androgyne, qui plonge ses racines dans la peinture religieuse italienne, dans le pop-art et l'iconographie réaliste socialiste de la Chine de Mao. Du reste, de nombreuses figures "lunaires" féminines évoquent la face lisse du créateur de la république populaire chinoise.
Leçons d'anatomie, descentes de croix, assomptions, vierges en majesté toutes droit sorties de l'art européen cohabitent avec les bleus de chauffe, les uniformes de l'APL, les vestes de soie et les paysages des estampes traditionnelles...
Il est évident que toute cette école orientale formée aux plus grandes exigences techniques va ravager le pseudo-art moderne lorsque la mode des "installations" et autres ready merdes sera passée.
Si j'étais fortuné, évidemment, j'achèterais les oeuvres contemporaines de Chine, de l'ex-URSS et des ex-républiques satellites où les artistes recevaient une véritable artistique et technique digne de ce nom...
MD
Adam Stennet
Adeline Lamare
Alexandre Prikodko
Blasco Mentor
Carolee Schneemann
Frederic Usclat
X
Max Cantrel
Michalovski
Panni Malek (exactement ce que je déteste... C'est Martine à poil, quoi !)
Patrick Servage
X
Simon
Zinaida Serebryakova
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