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Vendredi 1 janvier 5 01 /01 /Jan 13:06





C'était il y a 100 ans : what's new ?
Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : La beauté sexy
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Vendredi 18 décembre 5 18 /12 /Déc 12:21





 
Le premier dessin animé porno "Eveready Harton"
a été réalisé à New York entre 1928 et 1929.

Pour la petite histoire de ce tournage, sachez que trois studios : Max Fleischer, Paul Terry et le Mutt and Jeff studio ont travaillé séparément. Le premier studio donnait la dernière image au studio suivant pour qu'il continue, et ainsi de suite avec le troisième. Une sorte de cadavre exquis du cartoon !

Cette version "colorisée" est plus lisible que la version originale en noir et blanc...

Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 29 novembre 7 29 /11 /Nov 14:44



18 ans après la mort du chanteur et poète Serge Gainsbourg, son influence est toujours là. Bien décidé à surfer sur la vague des biopics à succès (Ray, La môme, Coluche l'histoire d'un mec…) le réalisateur Joann Sfar s'est attaqué à un monument de la chanson française : Serge Gainsbourg.

Le film, "Gainsbourg (vie héroïque)",  explore son itinéraire artistique, du jeune homme épris de peinture à la consécration de sa musique dont l’avant-gardisme en a fait une véritable icône de la culture française. Mais aussi la complexité de sa vie adulte à travers ses amours tumultueuses, ses aventures avec Brigitte Bardot (incarnée à l'écran par Laetitia Casta) sans oublier sa vie avec Jane Birkin (la défunte Lucy Gordon)… tout y est !
Gainsbourg ,s'est créé l'image d'un
poète maudit et provocateur. Les textes de ses chansons jouent souvent sur le double sens et montrent à son goût pour la provocation, en particulier érotique (Lemon Incest) ou pornographique (Love on the Beat).

Pour le rôle titre, on retrouve le jeune acteur Eric Elmosnino (L'heure d'été, Actrices).

"Je suis éternellement sursitaire... en sursis continuels, répétés accumulés...
Tout ce que je vis, je le vis en frôlant des issues inéluctables."

"...Mon berceau était si près de mon cercueil que je n'ai point failli naitre.
Tout ce que je vis de grand -amours et peines- je le vis, en frôlant le dernier abîme."

Par Isabelle BIGAND VIVIANI

 

Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 12 novembre 4 12 /11 /Nov 17:33

Des éléments de ce film commencé en 1964 et resté inachevé par le cinéaste du Corbeau, de l'Assassin habite au 21, de Quai des Orfèvres et du Salaire de la peur, entre autres, ressortent actuellement dans un documentaire de Bromberg intitulé L'Enfer.
Notons que cette histoire d'extrême jalousie a été tournée avec bonheur par Claude Chabrol avec Emmanuelle Béart et l'impeccable François Cluzet.

Une rencontre au sommet des Scorpions Schneider et Clouzot ne pouvait qu'être infernale ! On connaît la passion de Romy pour Delon (autre Scorpion invétéré) et réciproquement.

Serge Reggiani commence à tourner mais ne supportant pas l'atmosphère du plateau, il partit laissant la place à Jean-Louis Trintignant. Un infarctus de Clouzot mit un terme défintif au tournage.

Clouzot était réputé pour son caractère de chien et ses exigences. Dans les Diaboliques, Véra Clouzot, son épouse, est une magnifique victime savamment montrée en transparence par le réalisateur.

Quant à Romy Schneider, après les insipides Sissi, elle deviendra une star du cinéma mondial, reconnue pour sa beauté, son talent et la passion qu'elle apportait à ses rôles. Clouzot tenta dans ce film de nombreuses approches techniques notamment sur la lumière et la couleur.






PHOTOS DU FILM DE CLOUZOT

















 

 

PHOTOS DIVERSES DE ROMY SCHNEIDER


 

 























Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 6 novembre 5 06 /11 /Nov 12:06

Un collectif suédois d'artistes féministes et engagés vient de sortir un dvd de douze courts-métrages pornos réalisés à l'aide de la caméra d'un téléphone portable. Jugé trop lesbien en Suède, le dvd devrait être distribué en France. On l'attend avec impatience!

Les féministes se seraient-elles réconciliées avec l'industrie du porno? En Suède, un collectif de douze femmes, réalisatrices, artistes et féministes engagées, vient de sortir un DVD qui fait beaucoup de bruit. Dirty Diaries est une collection de douze courts métrages. Douze films érotiques, tournés avec la caméra d'un téléphone portable, pour «libérer la sexualité de la femme», résume Åsa Sandzén.

Elle est la réalisatrice de Dildoman (voir visuel): un film d'animation, qui met en scène deux femmes géantes dans un strip club, s'amusant avec un petit homme, transformé en sextoy, qu'elles finissent pas casser. Tous les films sont loin d'être aussi politiques. Certains sont très conceptuels. D'autres utilisent les ficelles traditionnelles de l'industrie du X. Mais dans chacun, les actrices semblent apprécier ce qu'elles font.
Du porno pour rendre les femmes plus fortes

Pour Mia Engberg, initiatrice du projet, l'objectif est de faire du porno pour les femmes. «Si elles peuvent en consommer librement, sans culpabilité, elles seront plus fortes. Elles pourront dire non à ce qu'elles ne veulent pas. Or dans les relations sexuelles, beaucoup consiste à satisfaire le désir de l'homme.»

En Suède, le DVD est loin de faire l'unanimité. On lui reproche une orientation «trop lesbiennes» (5 films sur 12). Mais la principale critique vise l'Institut du film suédois, qui a accordé au projet une subvention de 350 000 couronnes, soit 35 000 euros. Selon Mia Engberg, cependant, une maison de production française aurait déjà proposé de racheter les droits du DVD pour la France.

D'après Têtu.












LE MANIFESTE DES CINEASTES

  1. Nous sommes belles telles que nous sommes
  2. Nous avons le droit d'être excitées
  3. Nous avons le droit d'être dévergondées ou d'être des gourgandines (plus joli mot que "bad girls")
  4. Nous voulons êtes méchantes
  5. L'IVG est un droit fondamentral
  6. Il faut combattre le véritable ennemi et ne pas se tromper de cible
  7. Nous pouvons devenir ou demeurer homosexuelles
  8. Nous devons nous protéger
  9. "Faites-le vous-mêmes"

Traduit librement du suédois

 

 

La bande annonce ici

 



 


Il y a un précedent :

PINK PRISON (1999) - ridiculement traduit en français : la prison des sévices ! : film pornographique produit par Lars Von Triers, réalisé par une femme Lysbeth Linghoet. Le tournage s'est fait dans les décors de la prison de "Dancer in the dark". Le film est une déambulation d'une journaliste relevant le défi de rencontrer le directeur d'une prison interdite aux femmes.
Film réalisé par une femme d’après des sondages auprès de femmes et de leur vision de la pornographie.
Katia Kean en était l'actrice principale.


Katia Kean dans ses oeuvres, hélas pas toutes produites par Lars Von Trier :




Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 22 septembre 2 22 /09 /Sep 16:21


Buono compleanno Sophia !


 





 




Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : La beauté sexy
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 15:07

 



José Bénazéraf se trompe lorsqu'il attribue le livre "Trois filles de leur mère" à Alfred de Musset. L'auteur en est en fait Pierre Louÿs dont j'ai ici publié plusieurs textes.

http://poilnet.erog.fr/article-18789039.html

Alfred de Musset a commis par contre Giamani ou Deux nuits d'excès illustré entre autres par Gilbert Garnon avec une préface du Dr Gérard Zwang auteur de l'indispensable "Sexe de la femme"
http://livre.fnac.com/a264937/Gerard-Zwang-Le-sexe-de-la-femme



Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 1 août 6 01 /08 /Août 21:25
     

    François Truffaut est bien sûr un quasi double de « Bertrand Morane », le personnage principal du film « L’homme qui aimait les femmes » c’est encore une fois - comme souvent chez lui - une autobiographie romancée. L’autre titre aurait été « le cavaleur », mais l’agent littéraire (Brigitte Fossey) lui fait changer et elle a raison ; car, certes Charles Denner passe son temps à cavaler (cela va même lui causer sa mort), mais ce n’est pas un « dragueur », c’est autre chose…
    Et si Charles Denner écrit son « roman », Truffaut, lui, filme. Mais ils sont identiques.
Le film de Truffaut date de 1977 et certaines choses font sourire maintenant (quoique…), mais l’extrême implication de Denner dans sa quête de femme n’a pas d’âge. Comme souvent chez Truffaut, il y a un point de départ, toujours le même : l’enfance ; et les parties de cache-cache des enfants (avec Ginette) dans le noir sont les prémisses des grands désirs de Truffaut pour plus tard, c'est-à-dire « la compagnie des femmes ». (rem : le jeune acteur qui joue Denner jeune est étonnant de ressemblance et a une bouille rigolote)…

tout ce qui est en bleu et italique est tiré du film...

« La compagnie des femmes m’était indispensable, sinon leur compagnie, du moins leur vision. Rien n’est plus beau que voir une femme en train de marcher. »

Mais qu’est-ce qu’elles ont ces femmes ? Qu’est-ce qu’elles ont de plus que toutes celles que je connais ? Et bien justement ce qu’elles ont de plus, c’est qu’elles sont des inconnues…

Mais qui sont toutes ces femmes ? Où vont-elles ? A quel rendez-vous ? Si leur cœur est libre, alors leur corps est à prendre, il me semble que je n’ai pas le droit de laisser passer la chance…

Elles veulent l’amour, tout le monde veut l’amour, toutes sortes d’amour, l’amour physique et l’amour sentimental ou même simplement la tendresse désintéressée…

« Pour moi, rien n'est plus agréable à regarder qu'une femme, pourvu qu'elle soit habillée d'une robe ou d'une jupe qui bouge au rythme de sa marche »


    « L’homme qui aimait les femmes » se laisse encore regarder avec beaucoup d’intérêt et de tendresse, même 32 ans plus tard. On y voit aussi une Nathalie Baye très jeune qui débutait. Leslie Caron, aussi, touchante d’authenticité. Charles Denner est surprenant avec son jeu désinvolte et sa voix ferme et sûre (formidable acteur). L’érotisme du film passe par les jambes des femmes (et encore que sous les genoux)(il y a sans doute là aussi un fétichisme de la part de Truffaut : dans « Vivement dimanche » il filme de la même manière et avec autant de sensualité et d’érotisme, les jambes de Fanny Ardant), l’affiche est parlante, mais c’est tout, la sensualité s’arrête là. Le mystère féminin demeurera.
    Enfin les blessures apparaissent et c’est tout l’art de Truffaut, si le simple personnage de Morane peut énerver par sa puissance génésique et ses obsessions (ce qui à l’époque irrita certaines associations féministes), une scène vers la fin (Vera) prouve que lui aussi peut souffrir, mais cela est juste esquissé et on n’en saura guère plus de cette histoire d’amour-là.

    Le film reste un enchantement et un beau panégyrique de l’éternel féminin de Goethe. Truffaut, mort trop jeune, nous laisse des films d’exception. (je suis sûr cependant que ce film plaira davantage aux messieurs qu’aux dames, allez savoir pourquoi ?). :-)

    Et le plus fort est là : quand Denner est interrogé, il dit : "je leurs expliquerai"...
sublime résumé des relations hommes-femmes

 
C. Denner s'est retiré dans sa salle de bain pour écrire son roman sans être dérangé, ça pourrait être moi, ça  :-)



http://www.frenchpeterpan.com:80/article-34377612.html


Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 14:19


essai sur la sensualité
par adriane75



Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Epicuriens et libertins
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Dimanche 5 juillet 7 05 /07 /Juil 12:28

"Plonger la langue dans une soupe de bave. Mouliner. Dans un sens, puis dans l’autre. En gardant les yeux fermés. Mais, pour vérifier que l’autre est bien en pâmoison sous l’effet de ce patin de la mort, le ou la surveiller du coin de l’œil et, ce faisant, croiser son regard en très gros plan. Un premier palot, c’est mémorable. Et c’est toujours un peu mécanique. Comme dit Hervé, le héros des Beaux gosses, le film de Riad Sattouf, «la technique, ça se peaufine» . Suffit de s’entraîner, éventuellement contre le miroir de la salle de bains. Ou, comme Hervé, en enfournant son doigt dans la bouche d’un copain qui n’a jamais embrassé de sa vie, rien que pour lui démontrer que la salive ne coule pas sur les côtés.


Un film pareil, c’est mille fois mieux qu’une madeleine de Proust. Pourquoi ? Parce que le rappel des terribles tourments de l’époque -toutes ces vexations et ces sidérations vécues au collège dans la quête obsédante mais redoutée d’un contact charnel avec le grand amour- est tordant. Pas pour tout le monde, il est vrai. Le public adolescent rit jaune, nous l’avons constaté dans plusieurs salles de cinéma. Pétris de pudeur et encore englués dans les affres de leur ingrat statut, les ados d’aujourd’hui trouvent le film
«trop trash», sonhumour «crado» , en résumé pas franchement valorisant. Mais pour leurs parents, c’est une pépite, un truc qui soulage, une machine à remonter le temps sans se faire mal. Confidences d’ex-boutonneux, le temps d’un retour au collège.


Jean-Pierre,à Versailles en 1973

«J’avais 16 ans et à mon époque, il n’y avait pas encore de mixité à l’école. La seule possibilité de choper des filles, c’était de participer à des activités extrascolaires. C’est comme ça que moi, le laïcard gauchiste, j’ai dû me rapprocher de l’aumônerie qui organisait un club théâtre avec le lycée de filles voisin. Nous avons pris le car pour aller répéter le temps d’un week-end en baie de Somme. J’obsédais grave sur Véronique V. Elle m’ignorait complètement. Pourtant, je faisais tout pour paraître le plus intelligent, le plus sensible, le plus artiste. De tout le week-end, il ne s’est rien passé. Et puis, juste au moment de remonter dans le car, j’ai cru percevoir le signe d’une ouverture quand elle a replacé une mèche de cheveux derrière son oreille. Je me suis assis à côté d’elle, programmant le patin que j’allais enfin réussir à lui rouler. On n’avait pas fait cinq kilomètres qu’elle a commencé à se sentir mal. Elle a vomi pendant tout le trajet de retour. Et puis il y a eu Caroline R. Elle m’avait fait parvenir le 45 tours de Françoise Hardy Message personnel, qui dit : "Si tu crois un jour que tu m’aimes…", etc. Le message était donc clair, sans ambiguïté, ça allait se faire. Sauf que ses copines, jalouses, m’ont raconté comment elle s’entraînait à me rouler ce premier palot en étreignant un polochon. La perspective de jouer le rôle du polochon m’a totalement fait déchanter. J’ai refusé de sortir avec Caroline R.»


Laurent,dans la Drôme en 1984

«En quatrième, j’exhibais des photos de ma grande sœur en prétendant que c’était ma nana. Juste pour qu’on arrête de me coller la pression. Tout le monde avait des bottes camarguaises -mais ma mère n’a jamais voulu m’en acheter- et un sac US kaki tout tagué et couvert de pin’s. Moi j’avais le cartable en cuir de mon oncle Henri-Jean. J’étais pas dans le coup. Je passais pour le romantique à qui l’on peut tout dire car il ne passe jamais à l’action. J’écoutais, je consolais, c’est tout. Tandis qu’un pur kéké, Nicolas, tombait toutes les nanas. J’aurais voulu qu’il meure. Je découpais sa tête sur la photo de classe et je collais la mienne à sa place.»


Melrose,à Valenciennes et Cambrai en 1986

«Quand les garçons se retrouvaient dans la cour de récré, ou pendant l’interclasse, il y en avait toujours un pour mimer une sodomie en agitant les reins dans le dos d’un copain. C’était leur façon de se saluer. Ça m’a toujours fascinée.»


Gérard,à Argenteuil en 1981

«Comme il n’y avait pas une boum par semaine, je misais sur le cinéma pour rouler des pelles. Là, dans l’obscurité de la salle, j’avais toujours une chance d’arriver à mes fins et de peloter des seins. Il y avait une fille avec qui je sentais que je pouvais m’aventurer un petit peu plus bas. Sauf qu’elle portait une ceinture disco, et que moi j’étais un hard rocker : j’ai jamais compris comment ouvrir sa ceinture. Un vrai plan galère.»


Tristan,à Champigny-sur-Marne en 1983

«Je repiquais ma quatrième et je n’avais pas encore grandi, je me faisais beaucoup chambrer sur mon physique, et bien sûr je n’avais encore jamais embrassé personne. Un jour, sur le trajet du collège, une fille de ma classe se plante devant moi : "Est-ce que tu veux sortir avec moi ?" J’ai paniqué. Ce n’est pas qu’elle était trop moche, juste que je n’en étais pas là. Mais comme le sujet de conversation numéro 1 entre les gars c’était le rapport sexuel, je lui réponds : "Non. Mais est-ce que tu veux faire l’amour avec moi ?" Elle a mis du temps à encaisser, puis très sérieusement a répondu : "Non. Mais toi, est-ce que tu veux sortir avec moi ?" Je suis parti en courant.

Quelques mois plus tard, je repiquais ma troisième. J’en étais toujours au même stade, quand Sandrine, très entreprenante, se colle à moi, super sensuelle, et m’embrasse super bien. Elle m’accompagne à la maison, on s’embrasse, j’ai le vertige. Puis elle se jette sur mon lit et me lance : "Alors, on couche ?" Pour moi, la façon de le dire, le comportement, tout, c’était le summum de la vulgarité.»"

Recueilli par MARIE-JOËLLE GROS

http://www.liberation.fr/vous/0101577821-quand-j-etais-beau-gosse



 



Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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