Insolite

Mardi 15 juin 2 15 /06 /Juin 12:20

Ne gâchez pas votre salive !

Article spécialement conçu pour Stéphanie...

L’intégration de la salive dans le baiser est un acte jugé un peu plus intime que le baiser sans salive.

- Ce liquide permet d’humecter les lèvres, empêchant ainsi l’irritation

- Ce liquide permet une légère lubrification

- La salive change de consistance durant l’excitation sexuelle. Après le début de l’excitation, la salive devient plus lubrifiante, plus visqueuse permettant une réelle lubrification des organes sexuels

- l’intégration de la salive ajoute aux baisers sur la bouche d’autre stimulant, la salive de l’autre a un goût différent, une température différente ce qui stimule la bouche et la langue de la personne qui reçoit

- La salive est un liquide corporel et son échange a une valeur symbolique (partager ses liquides) pouvant rappeler la partie animale de la sexualité et le coté intime du baiser

- Le goût de la salive est jugé comme bon ou très bon par de nombreuses personnes, d’autant que la salive contient des éléments qui peuvent diffuser un goût sucré. Ce goût à été loué et détaillé dans les livres de manuels de pratiques sexuelles au moyen âge, des manuels arabes, ou indiens

- Le goût la salive permet aussi aux partenaires d’avoir une idée sur la santé de chacun, et sur son hygiène.

- La salive provoque aussi la stimulation de l’odorat

En dépit de la simplicité de ce geste, certains jugent le goût du baiser aussi important que le geste de déposer un baiser. Certaines femmes détestent par exemple l’odeur du tabac, d’autres l'apprécient, de même que l’alcool

Sophie Demeyer

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Vendredi 21 mai 5 21 /05 /Mai 17:22

Accros d'acro(baties)

acrobate30

André Brito

Jade

PRECEDENTES CONTORSIONNISTES : http://poilnet.erog.fr/article-contorsionnistes-et-acrobates---3-37394932.html

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : sexblog
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Samedi 8 mai 6 08 /05 /Mai 18:10

Danse : une vidéo réalisée par un étudiant en art.

DANSE DE VENUS

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 5 mai 3 05 /05 /Mai 14:03

Avoir les boules

A en perdre la boule !

Action douce

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : sexblog
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Lundi 29 mars 1 29 /03 /Mars 18:28

Jouer aux dames ou être mis en échec par elles...

Quoi qu'il en soit, elles savent souvent nous damer le pion... et à suivre le "chemin des dames" autant choisir le plus agréable et le moins terrifiant...

Jane Russel

Ph. Perter Gorman

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : La Femme, en Photographies
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Mardi 23 mars 2 23 /03 /Mars 10:56

Donnez-moi deux leviers, je prendrai un pied d'enfer !

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 15:07

Donnez-moi un levier, je soulèverai le monde...

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Dimanche 14 mars 7 14 /03 /Mars 15:11

Circasienne nue

Asagi Ageha
par TKFATPK

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Par Michel Debray - Publié dans : Insolite - Communauté : Art' sex
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Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 17:17

Bondage ou Shibari : les ficelles du métier...

ARTE a fait beauoup pour populariser cette pratique avec la diffusion pour la Saint-Valentin du film de Xavier Brillat : Haruki Yukimura et Nana-Chan.
Une jeune femme traverse un jardin japonais, puis entre dans une maison traditionnelle en se déchaussant avec lenteur. Elle vient rendre visite à un « maître », un homme âgé d'une soixantaine d'années qui l'accueille avec solennité et respect. A peine le rituel du salut accompli, il va inlassablement nouer des cordes autour de son corps composant des figures de plus en plus complexes. La jeune femme est d'abord habillée, puis seins nus, puis totalement dénudée.
En expert, le maître fait et défait ses liens, élaborés avec une sophistication extrême, l'obligeant à prendre des poses improbables.
La scène se passe dans un silence vibrant sans qu'aucun mot ni son ne soit échangé, le maître contemplant après chaque composition son oeuvre. Quelques secondes de temps suspendu plus tard, il la libère laissant cordes et corps abandonnés sur le tatami. Avant de reprendre une nouvelle composition...

BONDAGEHarukiYukimura

Les liens du cinéma avec l'univers du fantasme, le voyeurisme et l'érotisme sont bien connus. Du désir au plaisir (des protagonistes), de la pulsion scopique à la gêne (des spectateurs), le film de Xavier Brillat, en joue, nous mettant dans une situation inconfortable. Quelque part au Japon, un homme, Haruki Yukimura et une femme, Nana-Chan, s'adonnent au bondage. Mais la lenteur des gestes, la douceur des voix, le parti pris d'enchaîner les scènes par des fondus au noir, la présence ténue de bruissements de la nature, tout nous invite à sortir de l'évidence voyeuriste. D'une situation qui ne pourrait être qu'érotique, le film nous amène peu à peu vers la performance, la cérémonie ritualisée : le corps de la femme, corps attaché, corps soumis, corps contraint, lieu d'inscription du nouage patient et méticuleux de l'homme, nous offre une succession de poses, sinon d'étapes. Pour qui ? Pour elle, pour lui, pour nous ?

La juste distance adoptée par Xavier Brillat pour filmer les scènes confère au documentaire un statut singulier, comme si nous assistions à un rituel érotique secret.
Une curiosité contemplative pour la nuit.

Le film a été sélectionné pour une présentation en avant-première au Festival du Documentaire de Marseille 2007.