Vendredi 9 septembre 5 09 /09 /Sep 15:05
Par Michel Debray - Publié dans : Toiles - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 8 septembre 4 08 /09 /Sep 16:27

 

Précédents damiers : http://poilnet.erog.fr/article-jouer-aux-dames-ou-etre-mis-en-echec-par-elles---2-70035267.html

 

 

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Art' sex
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Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 17:43

 

 

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  Articles précédents : ICI

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : La beauté sexy
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Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 17:30

 

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Simplement nue
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Mercredi 31 août 3 31 /08 /Août 20:02

 

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Je n’aime pas à voir la brune secrétaire

Qui suce avec pudeur, affecte un vif émoi

Et se trouble si fort qu’elle crache par terre

En disant : « Oh ! pardon, je me croyais chez moi. »

 

Je n’aime pas à voir ces jeunes filles suisses

Qui, si quelqu’un leur dit : « Où donc est le buffet ? »

Répondent simplement : « Il est entre mes cuisses. »

Ce sont là des propos qui font mauvais effet.

 

Je n’aime pas la bonne à la trop belle bouche,

Qui dit au nouveau maître, avec un air penché,

« Si monsieur veut sonner à l’heure où il se couche

Je fais soixante-neuf par-dessus le marché ! »

 

Je n’aime pas à voir qu’une actrice allemande

Coure aux water-closets sans prendre de bougeoir

S’encule par erreur sur un homme qui bande

Et fasse refouler létron qui voulait choir.

 

Je n’aime pas à voir la tendre fiancée

Qui dit, en déployant les lèvres de son cul :

« N’ai-je point sous mes poils une fleur de pensée ? »

Je verrai là plutôt un péril de cocu.

 

Je n’aime pas à voir le studieux potache

Qui se branle à plein poing derrière sa maman

Et, sans même songer que le foutre ça tache,

Décharge sur la robe avec ravissement.

 

Je n’aime pas à voir derrière une roulotte

La gitane en levrette et qui baise trop bien,

Ruisselle par la croupe, inonde la culotte,

Puis se torche le cul dans l’herbe comme un chien.

 

Je n’aime pas à voir la douce concubine

Qu’on encule toujours et qui, d’un doigt lascif

Se branle le bouton, se tire la barbiche,

Pour soulager son cul douloureux et passif

 

Je n’aime pas à voir, leste comme une mouche,

Le petit corps penché d’une arpète aux yeux noirs

Qui travaille bien moins des mains que de la bouche

Et moins à l’atelier que dans les urinoirs.

 

Je n’aime pas à voir la gosse mal foutue

Qui me tire la manche en disant : « M’sieur ! eh ! M’sieur,

Venez donc rigoler, maman me prostitue,

Vous m’enfilerez bien sur elle dans le pieu. »

 

Je n’aime pas qu’au Bois, une vierge insinue

En caressant les poils de son nouveau manchon :

« J’en montre encore bien plus quand je suis toute nue,

Mais vous ne verrez pas ceux-là, petit cochon. »

 

Je n’aime pas à voir deux jeunes ingénues

Qui, pour faire plaisir à leur frère cadet,

Lui masturbent la pine entre leurs cuisses nues

Puis se lavent le cul sur le même bidet.

 

Je n’aime pas à voir le chasseur de buvette

Porter un billet doux à la putain du coin,

Qui se met vite à poil, le cul dans la cuvette

Et dit : « Viens m’enfiler, mon petit. J’ai besoin. »

 

Je n’aime pas à foutre une fille endormie

Qui s’étend sur le ventre, ouvre un cul mal torché,

Rêve encore que ma pine est celle d’une amie

Et crie : « Ah ! qu’il est gros ton nouveau godmiché ! »

 

Je n’aime pas à voir une pauvre pucelle

De treize ans, qui se fait enculer sous un pont

Puis accroupit son cul d’où le foutre ruisselle.

C’est obscène, le cul d’une vierge qui pond.

 

Je n’aime pas à voir la soeur des Ursulines

Qui songe, en explorant ses organes poilus :

« Dieu m’a donné dix doigts pour m’en servir de pines

Et je n’ai que deux trous ! J’en voudrais huit de plus »

 

Je n’aime pas à voir la vierge en tulle rose

Qui rejoint à l’écart un jeune homme inconnu

Et dit : « Pour commencer, fais-moi feuille de rose. »

Ce n’est pas pour cela, vraiment, qu’il est venu.

 

Je n’aime pas la vierge aux prunelles d’opale

Qui branle son cousin parce qu’il bande trop

Et qui crie en voyant jaillir le foutre pâle :

« Ça m’excite un garçon qui pisse du sirop ! »

 

Je n’aime pas à voir la vaste maquerelle

Qui se fait un sérail de ses vingt-deux putains

Leur baise le derrière, en couche sept sur elle

Et décharge sept fois, rapport à ses instincts.

 

Je n’aime pas à voir que le soir de ses noces

La mariée en blanc se torde, pousse un cri,

Rie à pisser de rire, accouche de deux gosses

Et généreusement les donne à son mari.

 

Je n’aime pas à voir la femme trop contente

Qui dit : « Ma jeune soeur et mon fils n’ont qu’un lit

À chaque fois qu’il bande, il enfile sa tante

Et plus qu’il la ramone et plus qu’elle s’embellit. »

 

Je n’aime pas qu’Irma se débraille pour boire

Ouvre une aisselle à poils, s’amuse à la friser,

Dresse le sombre bout de ses tétons en poire

Et dise : « J’ai trop bu, je voudrais bien baiser. »

 

Je n’aime pas à voir sept gougnottes en groupe

Qui vont chier ensemble au jardin, n’importe où,

Pour voir l’étron sortir du milieu de la croupe

Et se torcher le cul d’un coup de langue au trou.

 

Je n’aime pas à voir la grande bohémienne

Qui dit sur une route au naïf écolier :

« Montre-moi ta bibitte et tu verras la mienne »,

Puis lui présente un con touffu comme un hallier.

 

Je n’aime pas la gosse amatrice d’andouilles

Qui suçant un long vit jusqu’aux choses poilues

Le mord avec fureur, le tranche au ras des couilles

Et soupire : « Pardon ! je ne le ferai plus. »

 

Je n’aime pas à voir que Gilda langoureuse

Serre contre son cour sa pine en caoutchouc

Et dise : « Cher amour, que tu me rends heureuse !

Fais-moi jouir encore, situ bandes, mon chou. »

 

Je n’aime pas à voir ce bordel de Narbonne

Où deux jeunes soldats, qu’il faudrait surveiller

Restent dans le couloir pour enculer la bonne,

Puis lui coupent sa bourse au lieu de la payer.

 

Je n’aime pas à voir la mercière en cornette

Se tromper de client quand j’arrive au comptoir

Et dire à la trottin : « Mademoiselle Annette !

C’est pour vous enculer, passez dans le foutoir. »

 

Je n’aime pas Fifi, haute comme une puce

Qui me dit en m’offrant un bouquet de deux sous

« M’sieur ! Prenez un sapin ! Laissez que je vous suce

Et vous tâterez bien ma fente par-dessous. »

 

Je n’aime pas l’enfant, la pauvre bouquetière,

Qui gagne beaucoup moins à vendre son muguet

Qu’à sucer les passants le long du cimetière

Pendant que sa grand-mère, à deux pas, fait le guet.

 

Je n’aime pas au lit la petite Lucile,

Qui prend son pauvre con douillet et cramoisi

Dit : « J’aime mieux sucer, maman, c’est plus facile »

Et qu’on gifle d’un mot : « Tu baiseras aussi. »

 

Je n’aime pas Fifi qui raconte : « C’est drôle ;

Maman a mille poils, moi rien qu’un peu,

Et chaque soir papa nous baise à tour de rôle,

Mais toujours moi d’abord, et maman quand il peut. »

 

Je n’aime pas à voir la naïve promise

Qui tire par le vit son petit prétendu

Et dit, en soulevant sa cotte et sa chemise :

« Ce qu’on a de fendu, ça n’est pas défendu. »

 

Je n’aime pas l’élève avec sa grosse tresse

Qui, seule dans la classe, écrit sur le tableau :

« J’ai fait soixante-neuf avec la sous-maîtresse

Son foutre me dégoûte. Il fait comme de l’eau. »

 

Je n’aime pas à voir la trottin blonde et rose

Qui lève ses jupons, pisse dans le ruisseau

Et dit au sénateur qui regarde son chose :

« T’as jamais vu de con, espèce de puceau ? »

 

Je n’aime pas à voir la bouche d’une Anglaise

Avaler un grand vit qui bande éperdument.

Je n’aime pas à voir surtout qu’elle s’y plaise

Jusques à décharger plus tôt que son amant.

 

Je n’aime pas à voir, chez la mauresque où j’entre,

Fatma qui montre à nu tout son corps moricaud

Et puis danse du cul comme on danse du ventre

En disant : « Moi, je fais ça kif kif bourricot. »

 

Je n’aime pas à voir la gosse dans la rue

Qui dit : « M’sieur, j’ai trop bu. Emmenez-moi pisser ! »

Puis qui tripote et prend les tétons d’une grue

Et crie : « Où qu’est ma pine ? On lui ferait sucer. »

 

Je n’aime pas à voir que la pauvre Ninette

Se branle sur sa mère et lui dise : « Maman !

Maman ! lèche mon cul ! Maman, fais-moi minette

Ou laisse-moi sortir, que je trouve un amant. »

 

Je n’aime pas à voir la pucelle irritable

Qui pour peu qu’on lui touche une cuisse à dîner

Crie en riant : « Papa ! je jouis sous la table !

Je voudrais bien sortir pour me faire piller. »

 

Je n’aime pas à voir la pauvre gosseline

Qui se graisse l’anus mais se trompe de pot,

S’encule de moutarde au lieu de vaseline

Et hurle en aboyant comme un petit cabot.

 

Je n’aime pas à voir un vieux con, rouge et chauve,

Qui se gonfle d’amour et dégueule son rut,

Bâille et bave en ouvrant un large vagin mauve

Et dit : « Je t’aime ! » (Hélas !) quand je soupire : « Zut ! »

 

Je n’aime pas qu’un homme assis sur une chaise

Enfile par-derrière une pauvre trottin

Et lui fourre deux doigts au cul lorsqu’il la baise,

Pour se branler la pine à travers l’intestin.

 

Je n’aime pas qu’Iris en mousseline bleue

Caresse au bal ma verge et dise en la baisant :

« Je commence toujours les romans par la queue. »

Le mot est vif, ma chère, encore qu’il soit plaisant.

 

Je n’aime pas, après un long flirt équivoque

La jeune fille en blanc qui voudrait s’en aller

Et qui, lorsqu’on lui dit : « Cette histoire vous choque ? »

Répond gaiement : « Non ! non ! mais je vais me branler. »

 

Je n’aime pas à voir la servante bretonne

Qui, sur le canapé, baise avec le valet

Puis se torche dans la housse de cretonne

Et se met à genoux pour dire un chapelet.

 

Je n’aime pas à voir dans la rue, à Bruxelles,

L’horrible maquignonne, au visage hideux,

Qui dit : « Joli bandeur, voulez-vous des pucelles ?

J’en loue à tous les prix, depuis cinq francs les deux ! »

 

Je n’aime pas à voir la grosse douairière

Qui, pour rester fidèle au feu duc, son cocu,

Fait l’amour tous les soirs par le trou de derrière

Et crie à ses valets : « La valetaille ! en cul ! »

 

Je n’aime pas à voir la bonne de Marcelle

Qui, chaque soir, au lit la gougnotte (ô combien !)

S’assure en même temps qu’elle est toujours pucelle

Et qui dit à sa mère en passant : « Tout va bien. »

 

Je n’aime pas, qu’à poil, deux soeurs couchent ensemble

Se touchent par-devant et derrière aussi ;

Puis d’un long doigt bandeur qui masturbe et qui tremble

Se branlent pour leurs flirts et se disent : « Merci. »

 

Je n’aime pas qu’un soir la fille de cuisine

Sculpte une pine en bois sans couillons par-dessous,

Puis, subrepticement, la passe à ma cousine

Qui crie : « Ah ! que c’est chic ! » et lui donne cent sous.

 

Je n’aime pas à voir la joyeuse Niniche

Qui dit en s’excusant de revenir si tard,

« Maman, je suis pucelle, on veut voir ma moniche

Ils m’ont tous fait l’amour par le petit pétard. »

 

Je n’aime pas à voir qu’une femme de chambre

Déconne sa maîtresse au lit sans s’excuser,

Empoigne avec fureur son maître par le membre

Et s’enfile en criant : « C’est mon tour de baiser ! »

 

Je n’aime pas qu’un homme, aux brutales caresses,

Retroussant un trottin debout dans le métro,

Lui foute impudiquement sa pine entre les fesses

Et décharge en disant : « Pardon ! je bandais trop ! »

 

Je n’aime pas à voir la maîtresse du Pape

Qui, pour monter en grade et changer de milieu,

Coïte avec un Christ en forme de Priape

Et se croit chaque soir la maîtresse de Dieu.

 

Je n’aime pas à voir, tout près d’une ingénue

Qui, d’un doigt leste et dur, se branle devant eux,

Un fils tout nu piner sa mère toute nue.

Ce n’est pas seulement immoral. C’est honteux.

 

Je n’aime pas à voir qu’à l’hôtel la gérante,

Invitée à fournir sur l’heure une putain,

Se présente elle-même au numéro quarante

Disant : « Je peux baiser jusqu’à demain matin. »

 

Je n’aime pas la noce aux portes de la ville

Où la fille d’honneur, que je baise debout,

Crie : « Au secours, Maman ! Y en a un qui m’enfile ! »

Même si chacun sait que sa mère s’en fout.

 

Je n’aime pas à voir sous la verte crépine

Le lycéen qui baise et la fille qui geint.

Non qu’elle soit en rut mais parce que la pine

Blesse le chancre à vif qu’elle a dans le vagin.

 

Je n’aime pas à voir la jeune fille amère

Qui dit : « Je me résigne à n’avoir pas d’amant

Mais depuis dix-huit mois que je gousse ma mère

Je voudrais bien changer de cul, pour un moment. »

 

Je n’aime pas à voir la fillette qui suce

Et qui, juste au moment que le foutre jaillit,

Recule sur les draps pour se prendre une puce

Tandis que le miché décharge sur le lit.

 

Je n’aime pas qu’un homme errant dans une allée

Trousse une pauvre jupe, enfile un pauvre anus,

Puis, cherchant par-devant le con de l’enculée,

Trouve un petit Priape au lieu d’une Vénus.

 

Je n’aime pas à voir la fille encore petite

Qu’un vieux flagellateur frappe sans la baiser

Et qui me dit dehors : « M’sieur ! Enfilez-moi vite

J’ai besoin de le faire. On vient de me fesser. »

 

Je n’aime pas à voir mousser la grosse bonne

Qui fout six coups par jour avec un vieux flacon

Et ne veut plus s’asseoir que sur une bonbonne

Pour se foutre un goulot dans la gorge du con.

  

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 17:06

 

 

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Jean-Michel Ansard

 

 

 

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 Khadija et Malik

 

 

 

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Couleurs - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 15:30

 

 

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http://poilnet.erog.fr/article-exhibitions---7-masturbation-ferroviaire-51935007.html

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Formes et lumières - Communauté : Epicuriens et libertins
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Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 13:29

 

Précédente publication : http://poilnet.erog.fr/article-vanessab-toujours-78646299.html

 

 

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Par Michel Debray - Publié dans : Coeur - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Lundi 22 août 1 22 /08 /Août 14:52

 

 

Léontine la perle de jais

...-« Oh Léon, à l’évidence t’as monté le grand mat de misaine ?
-« Oui,, Léontine, ma perle de jais t’as vu ? C’est pour ton anniversaire mon petit café-chocolat !
-« Ohh mon Léon ! C’est pas une riquiqui ballade en trottinette ça ! C’est la virée harmonieusement sublissime de notre arc en ciel nocturne que tu m’offres…!
-« Oui oui ma douceur chocolatée !
-« Ohhh Léon, Vite, vite en mer ! La brigantine, sera le candide drap de notre active juxtaposition amoureuse et nous sentirons le parfum entêtant des lilas et néfliers en fleurs venu des côtes de mon Afrique noire.
-« Oui oui oui mon savoureux, pressé et intolérant petit zan……zou, je vais te déguster !
-« Ohhhhh Léon, mon frénétique sorcier amoureux t’as pas besoin d’une graine d’orviatan pour m’embarquer dans le carrousel de la béatitude ! T’es jamais fatigué, toi !
-« Ouiiiiiiiiiiiiiiii sois toute à moi, Léontine, mon orchidée noire, ma plénitude réussie, la belle vengeresse de mes humeurs sombres, la grande prêtresse de mes intimes corruptions ….
-« Ohhhhhh Léon, suis pas sectaire, moi, toute latitude pour toi, mon amour… Je te donne, prends ! Prends !
-« Ouiiiiiiiiiiiiiiiii Léontine…..Léontine….. Plus un mot ma chocolatine !
Eteins les loupiotes de tes mirettes,
suis antiélectromélanomètre
et si amoureux du noir…Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

 

 

 

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♥..♥.♥..♥..♥..♥..♥ ♥  ♥ ♥
 Encore Léon Encore
 !
-« Léon, hé Léon mon beau capitaine, t’endors pas Léon, secoue-toi fainéant je n’ai pas le Barbadjouj  platonique, moi !
-« OH amor mio au corps de miel, pas de rémission avec toi ! Vitupère pas mon petit berlingot, mon alliage d’or, comment songer  à ce vieux crouton de Platon à côté de toi, bonbonnière qui génères tant  de  douceurs ? Humm mm, viens-là !
-  « Léon,  León  dis-moi-s-en-zencore d’autres mots,"zamour" pleins de mots doux  ou gras grisants piquants, allez zou on se requinque quoi ! J’ai pas envie de fermer l’écoutille, moi ! Emmène moi encore dans ta lune et tes étoiles,  fais-moi danser le tango intersidéral mon beau zouave berbère !
 -  « heu ! Heu ! Attends…. Voilà : « Tes deux seins, sont comme les deux faons jumeaux de la  gazelle d’ambre de mon grand sud brûlant »
-« Oh quelle insolence ! Tu triches Léon c’est le Cantique des Cantiques ça. ! ..Tu te fous de moi ou quoi ? Je vais à l’office tous les dimanches et nous les noirs  on n’est pas tristes comme vos paroissiens à la noix rance ! Les beaux textes  on les chante on les danse même : Tiens, regarde, écoute :" ♫♫♪♪♥♫♪♥♫♪♥♪♪♫. Mon bien-aimé est à moi, ♫♫♪♪♥♫♪♥♫♪♥♪♪♫. et je suis à lui, qui paît parmi les lis jusqu’à ce que l’aube se lève ♫♫♪♪♥♫♪♥♫♪♥♪♪♫. et que les ombres fuient ♫♫♪♪♥♫♪♥♫♪♥♪♪♫.».
-« Oh comme c’est beau mon petit fennec, mon cygne noir chante, chante encore, chante,  tourbillonne sans rémittence, fais tanguer ton alléchant popotin mon  petit gospel de bronze! Tu me grises !
-« Non,  non non, je veux d’autres mots, Léon je te dis…des mots de  vieille Lettre d’amour oubliée au fond d’un tiroir, des mots qui me caressent et me brûlent,  m’agressent autant que des piqures de tarentelles, autant que ton barbarouffement de Lamentin  du grand large, autant que  tes grandes paluches sur moi !
-« OK, je vois, je vois,  mon  suave abricot sucré ! Tu veux les mots de fleurs  de mon jardin intersidéral? Les mots de mes  chansons d’amour en  anglais des flibustiers, en espagnol des conquistadores, en arabe ou berbère de mon pays natal?
-« M’en fous Léon,…mais  des mots que je ne comprends pas, un tourbillon de mots qui me fouettent qui me font m’envoler là-bas tout là-haut au dessus du grand mat ……des mots d’oiseaux si tu veux mon Léon,  mais des mots qui m’excitent qui m’emportent pour un tour  interstellaire sur ta vespa velutina..Oui, Léon fais de ta douce langue notre langage spécifique !
-«  Tu es ma  spécificité, ma chatounette, tu es plus vibrante et piquante que la bourrache digestive et le cactus de Noël,
-«  Oh  non,  non, pas cette bête et  tiède tisane du jardin de ma  grand-mère, mon fougueux amant ! Je connais ces mots …..trouve-s-en d’autres
-«  Ok, ok, mon  cornouiller, ma coronille mauve, mon vinaigrier ma  jolie vipérine  mon tonique et entreprenant cormoran bronzé !
-«  Ah là oui ! Oui,  des noms d’oiseaux ! Encore, encore Léon, ça me plait ça ! Oh oui !
-«  Ma trilette rose, mon microcarbo des mers mon phalacrocorax des iles, ma tassekort kabyle….Hemlerk !*
-«Ah oui !  Là Léon c’est le pied, je m’envole, je vole, vole haut, haut…
-« Courcaille, courcaille à n’en plus finir ! jolie callibristis …..!
-« Oh Léon, ça y est. …Je vois l’Amérique! »
-« Oh yes my love? Ok! I reached up your nice nest my Petrel gongon!  Do I arrive well my Moguillemot of Troïl?
-« Yesssss, Léon ! Oh Léon offrons-nous un repas d’amoureux à la chandelle …. Zou allons diner au Y!
♥..♥.♥..♥..♥..♥..♥ ♥  ♥ ♥.♥..♥.♥..♥..♥..♥..♥ ♥  ♥ ♥.♥..♥.♥..♥..♥..♥..♥ ♥  ♥ ♥.♥..♥.♥..♥..♥..♥..♥ ♥  ♥ ♥.

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 19 août 5 19 /08 /Août 17:16

 

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Billet à Cagliostro,

Ne me retenez point je rentre au couvent

Apprenez mon cher qu’à minuit sonnant

Une jolie nonne au regard luisant

Me fera connaitre  un désir troublant

Sous les hautes voûtes d’un cloitre élégant

Je connaitrai enfin les amours d’antan.

Soulevant mon voile de  novice bleue

De sa  main experte,  Elle me conduira

De l’ignoble terre au plus haut des cieux !

De cela, mon cher, j’attends grand émoi.

Glissez-vous dans l’ombre, ami Libertin

Sous la bure luit le satin coquin 

Entendez  baisers et cris chuchotés…

Comme cette nonne sachez donc m’aimer !

Votre amante éplorée.

 

 

Chère amante,

Vous ne m’abuserez pas avec vos douceurs

Messianiques

Divin Marquis je suis

Divin Marquis je reste

Ah ! Vous aimez les messes ?

J’en connais de perverses          

Le soleil de Messidor

Tropique du cancer,

Se change, sous mon jeu   

Libidineux

De Zodiaque sadique

En Lune

 Funeste de Saturne 

 Débauchée  érotique

Messe noire  de thermidor !

Attendez-vous à souffrir

Flagellation  fellation

 Destination Soumission

J’aime m’entourer de femmes

 Chorégies pétillantes

Détraquées,  

Analphabètes

Hirsutisme de Beauté troublante

Aiguiser leur jalousie me charme

Berger, projecteur

D’un Spectacle macabre

La jouissance est petite mort

Prélude à la grande

Regardez mon cœur

Ce que sera tantôt

Votre joli corps

Et votre ravissant visage …

 Une tête de mort !

A vous sans ambages

Cagliostro.

 

 

068Dolmance

 

 

A Cagliostro,

Hier, vous me vouliez, mon bel  amant, accroche-cœur,

Nue,  pour jouir de moi «  Oh Calcutta », étendue endormie

Acceptez  donc  mon rêve d’aujourd’hui,   douce  palinodie

 Je vous désire en  chaste statue éburnéenne

 Ne  touchez à mes formes, je me charge du reste

Bel éphèbe impuissant, l’orgueilleux déchirement 

De votre panne sera  ma victoire 

Ni  bras, ni  jambes, seuls  le phallus et la bouche!

 Regardez si vous voulez, vous n’avez plus le choix

 Comme vous êtes beau ! Vous   romain, et moi patricienne

 Face à face à l’Espresso des bains et des douches latins.

Mes mains caressent votre nuque et touchent au plus intime espoir

Mon corps chaud et vivant va réchauffer votre  sexe d’ivoire.

Par l’entonnoir des mâchicoulis de Saint Ange

Votre  cœur a reçu l’amoureuse  flèche

Pauvre Cagliostro, à ma merci vous êtes!

Votre amante

 

 

040baiser

 

 

Chère amante,

Je suis resté de pierre, selon votre désir clandestin

Mais bel éphèbe romain, polyandre avéré, en  statue de mendiant de la cour des miracles

Me voici de fonte coulé ? Pauvre ère, sans  rien pouvoir, des abysses de mon obscurité 

Suis- je  donc condamné à  vous contempler  en proie aux regards concupiscents

 De ces noirs philistins ?

Tous ceux qui sous mes ordres de cardinal dans ma ruelle tremblaient

Vous examinent sans gêne : Voyeurs masqués: curé, archiprêtre, moinillons,

Pénitents érudits d’une prétentieuse science occulte.

Prenez-en garde. Crapahutant sans gêne jusqu’à vos murs, ils sont prêts,

Après avoir joui  de vous, à  vous mener sans miséricorde 

Au bucher dont les flammes sont déjà allumées

Pourquoi leur montrez-vous cet unique grain de beauté cerise

Ce bijou secret qui vous  donne de l’ocelot, un si  sauvage éclat ?

Ne savez-vous pas que  pour tous ces acharnés-là,

De par  leurs principes de religieuse cruauté et les écrits de leurs grimoires suspects

Porteuse du  « stigma diaboli » et  sorcière vous serez déclarée ?

Ah ! Ma beauté, vous serez,  sous la  douche insultante  et vivats des laides et des frustrées 

Oui ! Ma beauté, vous serez,  sans que j’en puisse mais, démantibulée et brûlée !

Rhabillez-vous bien  vite en nonne  rouge pour  plus de sureté,

Et gardez donc pour moi cette admirable intimité !

Votre amant

Cagliostro.

 

 

 

 

032confesseur.jpg

 

 

Cher Cagliostro

Cacher mes appâts disiez-vous ?

Soit ! Je suivrai votre appoggiature

Je serai  aujourd’hui « Diseuse de male aventure » 

Guérisseuse de frustrations, donneuse de vertiges.

 Noire « musca diaboli » piquée à ma bouche félibrige

Chapeau à plumes, sur mes  cheveux  couleur d’orange

Col montant, lunette  face à main, je suis  caricature.

J’offre mes prestations en  Madame- tchoupolait   Irma 

Archange initié, vengeur des oulémas !

Pétard  de non de Zeus !  Aussi  peu sexy, avouez

Qu’un prof  de maths femelle en mal de logique !

Fermez  les yeux mon cher, demeurez hypnagogique.

 Ceux qui, hier m’auraient comme sorcière brulée,

Vicieux, reluquant  ma fraise en criant « oh quel cul t‘as » 

Je vais  de leur crédulité  aujourd’hui  me jouer

Mettant  à ma merci tous ces vieux bigots- là,

Voyante « extra lucide » racontant des sornettes

Mes cartes  prédiront  l’amour qui tue et rend dément.

 Hideux crâne de mort tarmac de cimetière

Corbeau noir, visionnaire du malheur effrayant, 

Statue égyptienne, œil de saphir clairvoyant

Ces superstitieux sont en haleine  et suffocants.

Le gel de leurs moustaches n’a d’égal

Que celui de leurs âmes stupides

Voyez leurs têtes obscènes de gargouilles

Paralysées d’un immense fluide glacial,

Leurs regards effarés, tremblants de Trouille 

Je vais traire leur graisse à ces bourgeois imbéciles !

                       *********

Amant voyeur, tapi dans l’ombre de l’incroyance,

 Vous convoitez, La belle bohémienne à l’étoile bleue,

Ma jolie Lolita, fumeuse de cigarillos ?

 Elle vous attend, mon beau ténébreux

 Et  ouvrira ses bras, sachant ma tolérance !

Libre et fraiche aurore au vent du matin

Ses créoles d’or palpitent  sans fin

Au rythme des amours de  grelotteros.

Nous serons  deux belles pour Cagliostro …

Venez mon  sisyphéen…

Votre amante

 

 

 

 Cher Amant,

Aujourd’hui pour aller à la messe

J’ai mis mon ombrette bretonne

Belle dentelle ajourée

Identique à  celle du curé

veni ad confiteamur peccata nostra

Au dieu d’Amour qui tout pardonne

Et irai près de vous, libertin  communier.

Amaneus  De La Mothe, archiprêtre.

Burdigalensis danConcila,

En langue d’Ovide nous a prêchés

“panen  muta in corpus  christi”

Difficile d’ouïr et de jouir

Et dans l’extase  tout saisir

Quand on ne sait pas le latin

Et ne connait que l’armoricain !

Libretti patenôtres ahanâmes.

Quam Crédubili, summus !

Corpus tuum  appétibli manducem

Tincidunt dulcis Pantone sucré

Agrégeable en son entier

De mon réceptacle, vraie manne…

J’en suis toute rassérénée

Aussi tremblante que nonnain 

J’approche mes lèvres du  calice adoré

Non verberat vinum tuum

Replevit sacramentum !

Voilà  de Noël, le vrai miracle :

Panem tuum et vinum tuum

Je suis pour toujours l’habitacle!

Ton  Amante

 

  micheldebray_clovistrouille02.jpg

 

  Peintures de Clovis Trouille.

 

 

 

Par Michel Debray - Publié dans : Mots - Communauté : Arts érotiques
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