Le blog de Michel Debray

 

 

Dim 14 aoû 2011 1 commentaire

Si c'est là la réponse à l'un de mes récents et toujours trop longs et touffus (moi qui ai un faible pour les vulves glabres!) commentaires, soyez-en remercié du fond du coeur !

La sublimité est presque atteinte au sens alchimique du terme : ce n'est pas du rêve, cest une sorte de quinte-essence.

Le drapé, allié à la dissolution dans l'espace, les fruits du jardin d'Eden, offerts et intouchés... et malgré tout une souffrance évoquée, une mélancolie suggérée...

Ces fusions et superpositions de photos anciennes nostalgiques et compassées, créent une atmosphère particulière que j'ai évoqué en me souvenant de ce que Roland Barthes a écrit sur ces portraits d'êtres qui ne vivent plus : c'est la raison pour laquelle je voudrais voir des survivantes nues des années 60 à 80, ne serait-ce que pour leur rendre hommage et prouver que la beauté n'a que peu de choses à voir avec la joliesse et la mièvrerie.

MERCI ENCORE

ODRADEK - le 14/08/2011 à 19h56