Le blog de Michel Debray
Le peintre vaudois Félix Vallton a une oeuvre considérable qui va de la peinture à la gravure, de l'aquarelle à la sanguine.
Ses sujets ne se cantonnent pas au nu : il traite le paysage et le portrait.
Son oeuvre est inégale. Il semble attiré parfois par le pur fauvisme, d'autres fois par un certain naturalisme.
Mes oeuvres ne sont pas d'unérotisme flamboyant car les modèles sont saisis dans leur quotidienneté : femmes à la toile, femmes endormies, femmes avec des chats, jouant aux cartes...
On remarquera la présence d'aisselles fournies, élément essentiel de l'érotisme d'avant la dictature des cosmétiques épilatoires...
A vous de vous faire votre opinion...
Super cette série.
Merci.
Aisselles fournies des modèles au début du siècle dernier / pubis imberbes des "muses du Net" au début du XXIème siècle .... où l'érotisme est-il le plus fort ?
Sauf erreur de ma part,compte-tenu des interdits de l'époque portant sur les représentations de la toison pubienne,le meilleur moyen de la suggérer était de représenter les toisons axillaires situées sur les articulations homologues des aines;le sillon intermammaire et le rouge aux lèvres avaient une fonction évocatrice analogue;pour notre plus grand plaisir de mâles explorateurs des ultimes mystères nos compagnes,à l'image de ces véritables intellectuelles qu'étaient les hétaïres grecques (Phrynée),acceptent de s'épiler et d'offrir à notre adoration pas seulement contemplative "la fente et le contenu de la fente",poussant l'amabilité et la complaisance jusqu'à "écarquiller" ce qui est,selon mon sentiment,"une Monstrance"(cf.Luis Bunuel [j'ai pas de tilde!])