Le blog de Michel Debray
Quand une petite fille a deviné quel est le bon ami de sa maman, elle ne doit, sous aucun prétexte, aller le dire à son papa.
Ne désignez jamais à l'amant de votre mère une jeune fille qui se branle pour lui, surtout si cette jeune fille, c'est vous.
Si l'amant est en avance et que madame votre mère vous prie de faire attendre, faites-le bander mais ne le sucez pas.
Elle ne doit pas non plus, à l'heure où sa mère revient du rendez-vous, lui demander si c'était bon, combien de fois elle l'a fait, si le monsieur bandait bien, etc. .. Ces questions ne mériteraient que le fouet.
Il lui est également interdit de prendre à part le bien-aimé pour lui demander : "Déchargez-vous dedans? Est-elle bien cochonne ? Suce-t-elle gentiment ? Avale-t-elle le foutre ? Se fait-elle enculer ? etc. ".
Ni surtout pour lui dire : "Papa a baisé maman la nuit dernière. C'est ma bonne qui me l'a dit." Cette dernière information ne serait pas accueillie avec plaisir.
Si vous savez que votre mère attend son amant chez elle, ne vous cachez pas sous le lit, surtout pour sortir en faisant : "Boum! c'est moi!" pendant qu'on jouit dans sa bouche. Vous seriez capable de la faire étrangler.
Ne choisissez pas non plus cet instant pour entrer brusquement dans la chambre en criant : "Voilà papa !" lorsque vous savez très bien que monsieur votre père est en voyage.
Si monsieur votre père est absent pour six mois ou un an, ne vous hasardez pas, un jour d'adultère, à cacher l'injecteur de votre maman, de telle sorte qu'elle s'en aperçoive trop tard. Les plus graves conséquences pourraient s'en suivre, et la farce ne serait pas goûtée.
Si vous découvrez que vous êtes la fille de l'amant et non du mari, n'appelez pas ce monsieur "papa" devant vingt-cinq personnes.
C'est le mari de votre mère que vous devez appeler papa. Et même si vous êtes certaine de ne pas lui être unie par les liens du sang, ne lui dites pas à l'oreille : "Je veux bien te sucer, tu n'es pas mon père !" La fin de la phrase détruirait tout ce que les premiers mots auraient de vraiment aimable.
Si une visite se présente quand votre mère fait l'amour et si l'on vous charge d'aller répondre : "Maman est souffrante" , ne donnez pas de détails sur la maladie. Si l'on vous demande : "Qu'est-ce qu'elle a ?" ne répondez pas : "Une pine dans le cul."
Rubrique spéciale pour se faire dépuceler
À partir de l'âge de huit ans, il n'est pas convenable qu'une petite fille soit encore pucelle, même si elle suce la pine depuis plusieurs années.
Quand vous aurez huit ans accomplis, si l'on vous demande votre pucelage, il faut le donner; si on ne vous le demande pas il faut l'offrir poliment.
Pour vous faire dépuceler, étendez-vous au milieu du lit, ôtez votre chemise ou tout au moins relevez-la jusqu'aux aisselles, écartez les jambes et ouvrez à deux mains les lèvres du con. Si le monsieur préfère d'abord dépuceler vos petites fesses, présentez-les immédiatement : c'est à lui de choisir la voie qui lui plait.
Si votre dépucelage a lieu sur l'herbe, ou sur le banc d'un jardin, ou dans une voiture, ou sur un siège de water-closets, ou dans la cave, sur un tonneau, ou dans le grenier sur une vielle caisse, ne vous plaignez pas d'être mal couchée. On baise où l'on peut.
Quand on vous aura dépucelée, gardez-vous bien d'aller le raconter à monsieur votre père. Cela ne se fait pas.
Ne le dites même à votre bonne que si elle a l'habitude de vous branler tous les soirs, auquel cas elle risquerait de découvrir elle-même la trace du loup.
Ayez tous les amants qu'il vous plaira, mais ne racontez pas aux jeunes ce que vous faites avec les vieux. Ni réciproquement.
N'oubliez pas de dire "s'il vous plait" quand vous demandez une pine, ou de répondre "merci" quand on vous la donne.
Quand vous êtes debout devant un monsieur qui bande au niveau de votre ceinture et se propose de vous enconner, montez sur un tabouret pour mettre votre petit con à la hauteur des circonstances.
En général, cependant, placez-vous plutôt à genoux sur un fauteuil, relevez vos jupes sur le dos et ouvrez-vous les fesses avec les deux mains, de façon à présenter vos deux orifices entre lesquels le monsieur pourra choisir sa voie en toute liberté. C'est la posture la plus jolie.
Quand vous venez de sucer quelqu'un, n'allez pas à la cuisine pour cracher le foutre dans la marmite. Cela vous ferait mal juger des domestiques.
Si madame votre mère vous accompagne chez votre amant, laissez là baiser la première, c'est l'usage; et quand vous baiserez vous-même, faites lui minette pour l'occuper.
Tant que vous serez impubère, vous pourrez sans aucun danger faire l'amour avec les nègres si les nègres vous excitent; mais dès que vous aurez vos règles, priez vos amants noirs de vous enculer, car si vous accouchiez d'un petit mulâtre, cela n'irait pas sans dommage pour votre renommée.
Si vous êtes une petite fille extrêmement baiseuse, si vous avez tout le temps la chemise pleine de foutre et les draps couverts de taches, branlez un peu la bonne pour qu'elle ne dise rien.
Ne sucez jamais le valet de chambre en présence de la cuisinière. Elle serait jalouse et vous dénoncerait.
En montant dans l'automobile de vos parents, n'embrassez pas le chauffeur dans le cou, même si vous lui êtes très reconnaissante de ce qu'il vient de vous baiser six fois.
Ne vous plaignez pas à madame votre mère de ce que la nouvelle bonne ne veut pas vous faire minette. Faites la chasser sous un autre prétexte.
N'enculez pas de force la femme de chambre avec un manche à balai. Vous pourriez lui faire très mal.
Quand votre bonne anglaise est endormie, ne lui coupez pas les poils pour vous faire des moustaches blondes.
Si la cuisinière veut bien vous laisser examiner sa connasse dans tous les détails, ne fourrez pas dedans du poil à gratter.
Si vous surprenez la fille de cuisine en train de se branler avec le rouleau à pâtes, ne le répétez pas à madame votre mère. Quand une pauvre fille est en chaleur, elle prend ce qu'elle a sous la main.
Ne faites pas feuille de rose à vos domestiques. C'est un service que vous pouvez leur demander mais qu'il est plus convenable de ne pas leur rendre.
N'entrez jamais à l'office en relevant vos jupes jusqu'à la ceinture et en criant : "Pinez-moi donc tous !" Ces gens n'auraient plus de respect pour vous.
Quelque soit la vénalité du valet de chambre qui vous enfile, ne lui donnez pas un bijou de madame votre mère chaque fois qu'il montera sur vous.
N'exigez pas d'une femme de chambre qu'elle vous fasse minette plus de deux fois par jour. Il ne faut pas fatiguer les domestiques.
Avec M. le Président de la République
Appelée à l'honneur de réciter un compliment devant le Président de la République, ne lui dites pas à l'oreille quand il vous embrasse : "Viens chez maman, je te ferai bander."
Si même vous le reconnaissez comme un vieil habitué de la maison où vous prostituez votre petite bouche, ne l'appelez pas "gros bébé" devant sa maison militaire.
Ne l'appelez pas non plus "vieux satyre" en lui réclamant cent mille francs pour le prix de votre discrétion.
Si, par contre, il vous fait enlever secrètement, et se précipite sur votre derrière pour assouvir sa lubricité, rien ne vous oblige à vous laisser violer par le chef de l'état.
Si, de votre plein gré, vous couchez avec lui, et s'il vous prie de lui faire pipi dans la bouche, ne lui objectez pas que cet acte serait indigne du respect que vous lui devez. Il connaît le protocole mieux que vous.
Vous pouvez demander à monsieur le Président de la République une mèche de ses cheveux pour vous rappeler ses faveurs, mais il serait indiscret de lui couper la pine pour la conserver en souvenir de lui.
Si au cours d'une vadrouille nocturne, vous rencontrez le Président de la République, complètement soûl, tombé dans le ruisseau, faites-le reconduire à l'Élysée avec les honneurs dus à son titre.
Si monsieur le Président de la République venait à mourir subitement pendant que vous tétez son foutre, vous pouvez raconter l'histoire à tout le monde : on ne vous poursuivra pas. Il y a des précédents.
Ne dites jamais à un homme du monde : "Faut-il vous la sucer ?" Ce sont les petites filles de rues qui s'expriment ainsi. Dites tout bas, et à l'oreille : "Voulez-vous ma bouche ?"
Si c'est un monsieur que vous n'avez jamais sucé, ne vous livrez pas à des lècheries savantes tout le long de la pine et derrière les couilles. Il aurait mauvaise opinion de votre passé.
Prenez modestement la pine dans la bouche, en baissant les yeux. Sucez lentement. Écartez les dents pour ne pas mordre et serrez les lèvres pour ne pas baver.
Quand le monsieur est sur le point de jouir, ne vous interrompez pas pour lui demander des nouvelles de sa mère, même si vous avez oublié de le faire en son temps.
Dès que vous êtes couchée avec une amie, mettez-lui la main au con, n'attendez pas qu'elle vous en prie.
Ne vous moquez pas d'une jeune fille parce qu'elle est encore pucelle. Il y a des personnes infortunées qui n'ont jamais fait bander personne.
Souvenez-vous que dans la position dite "69" la place d'honneur est réservée à la personne couchée. Une petite fille doit toujours occuper la place de dessus.
Si votre amie s'y prenait mal pour agiter sa langue au point où elle vous touche, il serait du dernier mauvais goût de lui pisser à la figure dans un accès de mécontentement.
Quand vous éteignez la lumière en disant à votre compagne : "Laissez moi vous appeler Arthur", ne vous dissimulez pas que vous lui faites une confidence.
Ne faites pas honte à une jeune fille qui vient d'exécuter sur le trou de votre cul ses plus savantes feuilles de rose. Elle l'a fait certainement dans une bonne intention.
Si des revers de fortune obligent vos parents à vous prostituer avant l'âge légal, montrez-vous digne de la confiance qu'ils vous accordent et prouvez-leur qu'ils n'ont pas eu tort de vanter vos jeunes talents.
Enfermée avec le vieillard, ne vous déshabillez pas tout de suite. Laissez le fouiller sous vos jupes et glisser lui-même ses vénérables doigts jusqu'à la partie de votre corps qui l'intéresse le plus.
N'abusez pas des titres honorifiques en parlant à votre protecteur. Excellence, Monseigneur, Monsieur le vice-président du Sénat sont des expressions qu'il vaut mieux laisser de côté. Bien plus, ne craignez pas de l'appeler : Cochon ! Petit Salop ! Grand Polisson ! Ces gros mots prononcés avec un petit sourire seront toujours bien accueillis.
Dans toute circonstance, tourner le dos à un vieillard est une attitude considérée comme impolie. Cependant une petite fille nue qui présente ses fesses à un vieux marcheur est sûre de n'être pas grondée.
Si le monsieur vous pose des questions sur vos mœurs, sachez les présenter comme pire qu'elles ne sont. Affirmez par exemple que vous vous masturbez quatre ou cinq fois par jour, même si vos habitudes n'en comportent qu'une, et que vous pourléchez tous les soirs le clitoris de madame votre mère, même si vous savez qu'elle préfère votre amant.
il éjacule, avalez silencieusement jusqu'à la dernière goutte, et dites-lui une phrase aimable sur le goût de la liqueur que vous avez bue.
Cela fait, ne priez pas le monsieur de vous donner dix sous. Les petites filles du monde sucent pour l'honneur.
Si vous êtes couchée avec un monsieur que vous connaissez très bien et que vous faites décharger pour la vingtième fois, vous pouvez alors lui sucer la peau des couilles et lui fourrer la langue dans le cul sans préambule; mais laissez lui croire qu'il est le seul à qui vous accordiez ces petites complaisances. Si le monsieur débande entre vos lèvres, n'en accusez pas la faiblesse de ses moyens, mais votre propre inexpérience.
S'il meurt, commencez par reboutonner son pantalon avant d'appeler la bonne, et ne racontez jamais dans quelles circonstances il a
rendu son âme à Dieu.